Nous vivons dans une résidence de 15 appartements dans un quartier calme et l'un des ados des locataires a fait des parkings privés (en sous-sol, location indépendante à l'appartement) son lieu de débauche... Ils y èrent avec des yeux de lapins russes (une petite dizaine parfois), urines quelques fois sur les voitures (mais nous n'avons aucune preuve), laissent leurs déchets traîner (le bac « incendie » leur sert de cendrier et de dépotoir, lorsqu'ils sont encore suffisamment conscient pour ne pas les laisser traîner au milieu des voies de circulation)... Bien entendu, les parents nient que leur fils puisse traîner la nuit dans les garages.
Depuis quelques temps, des vols et des dégradations deviennent fréquents dans ces mêmes garages. Sans pour autant accuser le fil de notre voisin de ces faits, qui pourtant occupe les garages au même moment que les potentiels voleurs/casseurs, il laisse couramment les portes ouvertes pour laisser les copains (voir sans doute parfois des connaissances lointaines) entrer...
Peut-on forcer le propriétaire à prendre ses responsabilités vis-à-vis du squat dans nos communs ? En cas de sinistre, les assurances auto et immobilières se sont à chaque fois renvoyé la balle puisqu'il est avérer que des personnes qui ne sont pas de la résidence peuvent avoir accès au garage (et y « vivent »), qui devrait prendre en charge le remboursement des dommages ? Peut-on refuser de payer les augmentations de charges liées à l'usage de produits pour supprimer les traces de peintures (tags) et la surconsommation électrique des communs (puisque là précisément, ce sont les squatteurs qui en sont directement responsable) ?
La législation juridique et financière évolue en permanence...