Non inscription à la médecine du travail
Kang74 - 12 mars 2024 à 20:33
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7 réponses
10 mars 2024 à 18:53
Bonjour
Est-ce que l'employeur a développé votre soit disant insubordination dans la lettre de licenciement ?
10 mars 2024 à 21:48
Bonjour oui il a repris dans la lettre tous les motifs évoqués oralement lors de l’entretien préalable. Il les a bien développés (en rajoutant des mensonges) et il a même rajouté des détails de ces motifs, détails qu’il n’avait pas dit lors de l’entretien (même si ces détails font partie du même motif)
Modifié le 11 mars 2024 à 06:39
Bonjour
Concrètement, quelle est la faute reprochée et sa date ?
Pour ce qui est du medecin du travail, quelle est la date de votre dernière visite auprès d'un medecin du travail ? Vous avez un statut particulier ?
Pour ce qui est du 13 eme mois, rien n'oblige à le payer en une seule fois ( quelle est votre CCN)
Quelle est la modification de contrat dont vous parliez ?
Pour ce qui est du salaire entre le 01/01/2024 et le 18/01/2024 , maintenant qu'on sait que vous étiez en arrêt de travail, il est donc normal de ne pas avoir reçu de salaire puisque vous étiez en arret de travail .
11 mars 2024 à 07:21
Bonjour, pour parler du médecin du travail je n’ai jamais pu le voir pour la simple et bonne raison que mon employeur ne m’a jamais inscrite à la médecine du travail. Renseignements pris auprès de cette dernière je n’ai pas pu avoir de rdv car le contrat de mon employeur est suspendu depuis longtemps pour des factures impayées (4). J’ai été en arrêt de travail du 3/01 au 18/02, soit plus d’un mois, j’ai donc voulu prendre rendez-vous avec le médecin du travail pour une visite de reprise et je n’ai rien pu obtenir puisque mon employeur ne m’a jamais inscrite. Je n’ai même jamais eu de visite d’embauche malgré mes multiples demandes auprès de mon employeur. Elle trouvait diverses excuses « bidons » comme par exemple je n’arrive pas à les joindre ou je réessaierai demain ou je leur ai envoyé un courrier ou c’est bon la convocation arrive, ce qui était bien évidemment faux puisque son contrat est suspendu. J’ai été en dépression suite aux conditions de travail j’ai voulu voir le médecin du travail mais mon employeur m’a privée de mes droits. Je n’ai donc eu aucun suivi. Pour mon salaire durant mon arrêt maladie je l’ai reçu puisqu’il y a eu un maintien de salaire et c’est mon employeur qui a perçu les IJ de la cpam ce qui est normal mais à partir du moment où j’ai été mise à pied il n’y a donc plus de versement de salaire de la part de l’employeur ce qui signifie qu’elle ne doit plus percevoir les IJ vu qu’elle ne me verse plus rien (dû à la mise à pied). Ces IJ doivent permettre au salarié privé de revenu durant la mise à pied de subvenir à ses besoins. Elle les perçoit indûment et moi je ne perçoit rien même pas mon salaire avant ma mise à pied. Comme je n’ai encore reçu aucun solde de tout compte je ne sais pas si mon salaire avant la mise à pied et les IJ perçus indûment seront inclus dans le solde de tout compte. Concernant la faute reprochee est l’insubordination (j’ai été obligée de taper moi-même et de ma propre initiative mon contrat 3 mois après mon embauche car elle ne voulait rien faire, j’ai dû batailler pour qu’elle le signe, elle m’a obligée de mettre la date de mon embauche, j’ai été embauchée en avril 2023 et je n’avais pas reçu mon BS des mois de mai et juin, je les ai obtenus début juillet et je me suis rendue compte que les salaires versés ne correspondaient pas aux montants indiqués sur les BS, montants en ma défaveur de 132 €, elle devait des factures impayées à son expert comptable et lui ne délivrait pas les BS tant que ses factures n’étaient pas payées. Elle me virait donc un salaire « au pif », elle m’a imposé le ménage au bureau (j’ai été embauchée en tant que secrétaire), elle voulait modifier mon contrat en ce sens, ce que j’ai refusé, elle m’a imposé le versement de mon 13eme mois sur 12 mois sans mon accord, je me faisais traiter d’incompétente et d’incapable par des clients parce que pour se dédouaner du fait qu’elle ne faisait pas le travail que ses clients attendaient d’elle elle leur disait que le travail était en attente d’être tapé chez la secrétaire ce qui était bien entendu faux. Les clients me téléphonaient en me hurlant dessus et en m’insultant. Le client est roi mais il y a des limites. Quand j’en ai parlé à mon employeur elle a osé me dire que ça faisait partie de mon métier !!!). Tout ceci est une partie de mon insubordination mais je pense que n’importe qui aurait réagi à ma place. J’ai employé un ton un peu sec car je n’en pouvais plus mais jamais d’insultes. Quand je lui envoyais des mails je ne mettais parfois pas les formes (pas de formule de politesse) qu’elle considère comme de l’insubordination. Je n’avais pas les outils adéquats pour mener à bien mon travail (ordinateur trop lent qui n’enregistrait ni mes courriers ni mes conclusions ce qui signifiait que j’étais continuellement obligée de tout retaper. Il manquait de mémoire mais elle ne voulait rien faire. Son informaticien lui a fait un devis pour l’achat de nouveaux ordinateurs. Elle n’y a jamais donné suite. Elle utilise la dictée vocale pour ses courriers et conclusions à taper. N’importe quelle secrétaire doit avoir à sa disposition une pedale pour la dictée vocale. Moi je n’en avais pas. J’étais obligée d’écouter mot par mot la dictée de tout retranscrire sur papier puis ensuite tout taper ce qui me faisait perdre un temps fou. Elle n’a jamais voulu acheter de pedale pretextant n’importe quelle excuse. Elle a téléchargé un logiciel gratuit sur son iPhone pour les dictées qu’elle a également installé sur mon ordinateur mais voilà il était impossible d’installer une pedale sur cette application et de son côté elle m’a fait croire que la pédalé avait été commandée ce qui était bien entendu faux. Il m’arrivait parfois de taper des conclusions via son iPhone car l’application de mon ordinateur ne fonctionnait pas. Je mettais le haut parleur de son téléphone j’écoutais la dictée je l’écrivais sur du papier et ensuite je la tapais. Parfois le son était tellement mauvais que d’une main je tenais le téléphone a mon oreille et de l’autre j’écrivais ce que j’entendais. Tout ceci n’est qu’une partie de ce que j’ai subi en 10 mois de travail. Aujourd’hui pour mettre toutes les chances de son côté elle a demandé à ses clients de faire des attestations contre moi !!! (Ceux qui m’ont traitée d’incapable et d’incompétente et d’autres avec qui je n’ai jamais eu de problème)
11 mars 2024 à 07:36
Inutile de dérouler le même discours ...
La visite de reprise est obligatoire au bout de 60 jours d’arrêt pas 30 .
Quelle est votre convention collective ?
"même pas mon salaire avant ma mise à pied. "
Car je ne vois pas de maintien de salaire prévu pour celle du personnel des avocats : vous avez moins d'un an d'ancienneté .
Donc il est normal de ne pas percevoir de salaire pour la période du 1er au 18 Janvier : vous étiez en arrêt de travail et cela jusqu'à la mise à pied .
Donc sur quelle base légale pensez vous avoir un complément de salaire ?
Pareil pour le 13 ème mois, absent de cette CCN .
Est ce que vous avez eu une VIP avant ce contrat pour le même genre de poste ?
Après oui, vous pouvez toujours contester la faute, m'enfin avec un avocat en face, il vaudrait mieux en avoir un aussi : pour seulement 8 mois d'ancienneté, est ce que le jeu en vaut la chandelle ?
11 mars 2024 à 07:53
J’ai oublié de vous préciser également que pour la visite médicale, s’agissant de mon ancien employeur, j’ai opté pour un licenciement pour inaptitude avec les conseils du médecin du travail (à Colmar (68000). La procédure s’est terminée en février 2023. Donc j’ai vu le médecin du travail mais une toute autre raison. Mon nouvel employeur est situé à Mulhouse (68100) et je n’ai jamais eu de visite médicale
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question11 mars 2024 à 07:46
La convention collective des avocats et du personnel (je suis secrétaire). J’ai été en arrêt de travail depuis le 3/01 au 18/02. J’avais un maintien de salaire. Je touchais mon salaire dans son intégralité puisque mon employeur a adressé dès le début de mon arrêt de travail une attestation de salaire à la cpam pour un maintien de salaire jusqu’en mai 2024. Je tiens également à vous préciser que lors de mon embauche j’ai non seulement négocié mon salaire mais également j’ai voulu récupérer mon ancienneté acquise chez mon ancien employeur (également avocat). Mes bulletins de salaire indiquent donc une ancienneté de presque 15 ans. Ce qui signifie également que j’ai non seulement droit à un 13eme mois (comme la convention collective le prévoit) mais également une prime d’ancienneté de plus de 309€ que je touche tous les mois en dehors de mon salaire de base.
11 mars 2024 à 08:21
Une attestation de salaire sert à calculer vos indemnités journalières .
Rien de plus .
Votre CCN est claire : on prend bien les années de présence dans la même étude ou le même cabinet pour ce qui est du maintien de salaire .
Sinon c'est le code du travail qui s'applique .
Par de là, il est curieux que vous affirmiez avoir un maintien de salaire, et de l'autre n'être pas payée .
Vous avez votre fiche de paie du mois de Février ou Janvier ?
De toutes les façons, si vous voulez contester il va falloir faire étudier vos éléments par un avocat dont votre contrat de travail pour la clause stipulant donc une reprise d'ancienneté sans équivoque .
11 mars 2024 à 08:44
Oui j’ai eu le maintien de salaire en janvier (alors oui mon salaire a un peu diminué vu que d’une part il y a les 3 jours de carence de la cpam mais vu que j’ai exigé que mon 13eme mois soit payé sur 13 et non sur 12 et ce à partir de janvier 2024, la somme de 249,42 € apparaissant sur mon BS de décembre s’agissant de la prime de 13eme mois n’est plus mentionnée sur mon BS de janvier 2024). Raison pour laquelle il y a une différence de salaire entre décembre 2023 et janvier 2024 de 261,99 €. J’ai mon BS de janvier mais pas de février et c’est pour ce mois là que je n’ai pas reçu mon salaire (au moins les 18 premiers jours avant la mise à pied). Elle aurait dû justement envoyer à la cpam une nouvelle attestation de salaire à partir du jour de la mise à pied pour les informer qu’il n’y avait plus de maintien de salaire du à la mise à pied afin que justement la cpam calcule les IJ que j’aurais pu percevoir. Seulement la cpam qui ne connaît pas ma situation continue de verser à mon employeur les IJ car elle pense qu’il y a toujours un maintien de salaire ce qui n’est plus le cas depuis le 19/02
11 mars 2024 à 09:06
"Mon nouvel employeur est situé à Mulhouse (68100) et je n’ai jamais eu de visite médicale "
Il aurait été utile de spécifier que vous dépendiez du droit local pour l’arrêt de travail ...
11 mars 2024 à 09:08
Pardon je suis désolée d’avoir omis ce détail. Je n’y ai même pas pensé ????
11 mars 2024 à 09:09
A priori votre employeur non plus si vous avez 3 jours de carence ...
11 mars 2024 à 09:39
C’est ce que je vais faire. Pour le reste (médecine du travail non inscrite, elle a contacté mon médecin traitant pour l’accuser d’établir des certificats médicaux illégaux, ce qu’elle n’avait pas droit de faire car si elle avait des doutes sur l’illégalité des arrêts maladie elle avait d’autres moyens légaux pour le faire, mon salaire avant la mise à pied non versé et les indemnités journalières perçues indûment), pensez-vous que j’ai une chance d’obtenir gain de cause devant le CPH ? Pour mon salaire de février avant la MAP je ne sais pas si elle va l’incorporer dans le solde de tout compte. N’était elle pas obligée de me le verser comme habituellement entre le 1 et le 2 du mois suivant ? Elle m’a privée de tous revenus me permettant de pouvoir payer mon loyer et mes factures pour le mois de mars.
11 mars 2024 à 10:01
Sans voir tous les éléments comme le contrat de travail , les fiches de paie etc je ne pourrai pas faire de pronostics .
Sans compter que je ne connais pas les arguments et pièces de la partie adverse .
N'oubliez pas de fournir aussi votre avis d'inaptitude qui motive une VIP rapidement
Gardez bien tous les courriers ( avec envellope et recommandé) pour vérifier que le formalisme est respecté : de quand date la faute ? Quand avez vous reçu la convocation à l'entretien ?
Ces réponses à ces questions sont bien plus importantes qu'un long discours décousu ...
Il est toujours plus simple de remettre en cause le licenciement sur ce motif .
Vous auriez du demander à être accompagné à l'entretien notamment pour vous faire préciser la date des fautes .
Ce que je sais c'est qu'il ne faut pas partir dans tous les sens et prendre point par point vos arguments mais aussi les siens .
Le droit local ne lui permet, justement pas, de contrôler l’Arrêt de travail pour y retenir le maintien de salaire .
S'il y a une maison de la justice et du droit , il faut prendre rendez vous avec tous ces élements : s'ils sont confiants, il faudra prendre un avocat .
11 mars 2024 à 10:15
Oui vous avez entièrement raison. Ça ne sert à rien d’aller dans tous les sens. Il faut que je monte un dossier solide. Je vais suivre vos conseils. Lors de l’entretien préalable j’étais accompagnée d’un conseiller du salarié de la CFTC. Il doit m’adresser son compte rendu. Il m’a dit que mon « insubordination » qui était légitime vu tous les problèmes rencontrés en l’espace de 10 mois de travail c’est son interprétation. Elle n’a pas dit que vous l’avez insultée ce qui est une bonne chose. De plus vous avez pu donner votre interprétation sur tous les points qu’elle a évoqués. Vous aviez des arguments. Il a proposé une rupture conventionnelle. Elle a demandé un temps de réflexion et a pris ses coordonnées. Elle a finalement opté pour le licenciement pour faute grave mais avant de partir elle voulait savoir si j’avais des choses contre elle qui pourrait lui nuire !!! Je n’ai pas répondu et je n’ai pas fait état non plus du problème de la médecine du travail. Le conseiller du salarié m’avait demandé de ne surtout pas en parler car c’est un point qui pourrait être bénéfique pour moi si je décidais d’aller plus loin. Il y a également (mais ça c’est autre chose) le fait qu’elle a une stagiaire en Master de droit depuis 2022 qu’elle n’a jamais déclarée et qu’elle paie de la main à la main en espèces (et ça j’ai des preuves).
11 mars 2024 à 10:27
Pour le travail non déclaré, vous allez dans tous les sens : il faut rester dans le cadre du licenciement et de sa contestation ( je ne vois pas trop pourquoi elle ne déclarerait pas un stage ... cela n'a pas de sens. On a le droit de payer en espèces)
Attention en justice il ne faut pas dire, il faut prouver .
Quelle est la date retenue par l'employeur pour la faute ? De quand date la reception de la convocation à l'entretien?( il faut arriver à répondre précisément aux questions posées pour qu'une personne puisse vous aider)
Il y a un un délai à respecter entre la faute et la notification du licenciement ( deux mois) : s'il n'est pas respecté, inutile d'aller chercher plus loin , le licenciement est sans cause réelle et sérieuse .
11 mars 2024 à 10:43
Oui je sais je vais dans tous les sens ???? pour la stagiaire en dehors de ses stages effectués au cabinet elle est par exemple venue travailler l’année dernière entre juin et août 23 du lundi au vendredi de 8h à 17h mais également 2 demi journées par semaine quand son emploi du temps a l’université le lui permettait et tout ceci en dehors de ses périodes de stages. Encore une fois j’ai des preuves qu’elle a travaillé au cabinet en dehors de ses stages. Concernant mon problème mon employeur n’a pas ciblé pour quelques uns des motifs les dates. Je ne sais pas s’ils sont « périmés ». Elle a fait faire des attestations contre moi par ses clients (attestations qui ont été établies durant mon arrêt de travail) mais il n’y a aucune date qui est précisée quant à ce problème que ses clients auraient rencontré avec moi. Ils ne ciblent aucune date. J’ai été mise à pied le 19 février date de ma reprise don mon arrêt de travail qui datait du 3/01. La convocation a eu lieu le 28/02 et j’ai reçu la notification du licenciement le 7/03 (datée du 5/03)
Modifié le 11 mars 2024 à 10:51
Pour la stagiaire , vous oubliez ... Cela ne vous concerne pas .
Pour la date des fautes , il est fort dommage que la conseiller du salarié ne lui ait pas fait préciser quand elle en a eu connaissance .
M'enfin étant en arret de travail et en mise à pied depuis le 3/01, vous n'avez pas pu être en contact avec ces clients pendant cette période( même si on retiendra la date ou l'employeur en a eu connaissance : il faudra bien lire les attestations qui comportent aussi des informations)
Il y a peut être des indices dans la notification du licenciement ou dans la convocation : ce pourquoi il faut qu'une personne étudie vos documents .
Sinon vous pouvez demander des précisions quant au motif exact du licenciement dans les 15 jours suivant la notification .
11 mars 2024 à 10:56
"La convocation a eu lieu le 28/02 "
Une convocation n'a pas lieu, on la reçoit soit par recommandé, soit par remise en main propre ( lors de la notification de MAP par exemple), pour vous informer de la date de l'entretien , de votre droit à être accompagnée .
11 mars 2024 à 11:08
Oui je sais que le problème du travail au black ne me concerne pas. On oublie… la convocation a l’entretien préalable devait m’etre remise en main propre le jour de la mise à pied mais je l’avais oubliée sur le bureau et du coup une fois arrivée chez moi je lui ai envoyé un mail afin qu’elle me l’adresse par voie postale (je l’ai reçue le lendemain par lettre simple et par LAR). L’entretien a été fixé le 28/02 a 10h. Pour les attestations je ne les ai pas. Elle en a juste recopié 2 dans la lettre de licenciement (elle en avait selon elle 4). Sur les 2 attestations recopiées dans la lettre de licenciement aucun des 2 clients ne précise de date. Ils disent juste que j’ai été désagréable avec eux mais sans préciser quand. Je suppose qu’il en est de même pour les 2 autres qu’elle n’a pas recopié dans la lettre. Concernant les précisions sur les motifs du licenciement je l’ai fait. J’ai envoyé une LRAR à mon employeur. Je l’ai envoyée samedi