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3 réponses
Bonjour,
Vous oubliez l'avantage fiscal en entrée PER :
Déductibilité des sommes versées, et donc un impôt sur le revenu diminué.
Vous oubliez l'avantage fiscal en entrée PER :
Déductibilité des sommes versées, et donc un impôt sur le revenu diminué.
Bonjour,
Non, vous utilisez un argument faussé : je ne parle pas des impôts sur le revenu, cette imposition en sortie de PERP est logique, je suis d'accord.
CE QUI EST ILLEGITIME (et je maintiens mon propos) ce sont les prélèvements sociaux sur la totalité de la rente (ou en cas de sortie en capital), alors que ces prélèvements sociaux sur les versements que j'ai effectués ont déjà été prélévés, car cet argent versé sur le PER était issu de mes revenus, soumis alors à ces mêmes prélèvements sociaux.
En gros : mon salaire est de 100€ (après charges salariales), les PS sont de 17.5%, soit 17.50€, donc mon net est de 82.50€.
Je verse ces 82.50e sur mon PER, je ne suis pas imposé sur ces revenus .
Mon PER fait des petits au fil des ans, par exemple 10.00€, donc sa valeur est devenue 92.50€ avec les intérêts.
Je clôture ce PER en sortant en capital, je paie des impôts sur le revenu, soit à 7.5% libératoires, soit dans ma tranche courante (normal) et MAIS AUSSI 9.1% de PS, qui s'ajoutent aux 17.5% déjà prélevés sur mon salaire.
J'accepte de payer 17.5% de PS sur les intérêts (les 10.00€) MAIS PAS sur les 82.50€ !!!
Je ne pense pas être à côté de la plaque en tenant ces propos, cet outil est vendus à beaucoup de gens qui font un sacrifice pour améliorer leur future retraite (il y en aura besoin), je suis scandalisé que cette erreur persiste, depuis tant d'années (c'était identique avec le PERP).
Merci de votre lecture.
Cordialement.
Non, vous utilisez un argument faussé : je ne parle pas des impôts sur le revenu, cette imposition en sortie de PERP est logique, je suis d'accord.
CE QUI EST ILLEGITIME (et je maintiens mon propos) ce sont les prélèvements sociaux sur la totalité de la rente (ou en cas de sortie en capital), alors que ces prélèvements sociaux sur les versements que j'ai effectués ont déjà été prélévés, car cet argent versé sur le PER était issu de mes revenus, soumis alors à ces mêmes prélèvements sociaux.
En gros : mon salaire est de 100€ (après charges salariales), les PS sont de 17.5%, soit 17.50€, donc mon net est de 82.50€.
Je verse ces 82.50e sur mon PER, je ne suis pas imposé sur ces revenus .
Mon PER fait des petits au fil des ans, par exemple 10.00€, donc sa valeur est devenue 92.50€ avec les intérêts.
Je clôture ce PER en sortant en capital, je paie des impôts sur le revenu, soit à 7.5% libératoires, soit dans ma tranche courante (normal) et MAIS AUSSI 9.1% de PS, qui s'ajoutent aux 17.5% déjà prélevés sur mon salaire.
J'accepte de payer 17.5% de PS sur les intérêts (les 10.00€) MAIS PAS sur les 82.50€ !!!
Je ne pense pas être à côté de la plaque en tenant ces propos, cet outil est vendus à beaucoup de gens qui font un sacrifice pour améliorer leur future retraite (il y en aura besoin), je suis scandalisé que cette erreur persiste, depuis tant d'années (c'était identique avec le PERP).
Merci de votre lecture.
Cordialement.
Bonjour,
La CSG est en bonne place dans l'arsenal fiscal français, puisqu'elle arrive avant l'impôt sur le revenu.
Bien que votre exposé soit exact, de même que l'on peut comprendre votre désapprobation, l'erreur des épargnants est l'oubli de la fiscalité de sortie qui peut s'avérer pénalisante.
Et comme si ça ne suffisait pas, nous sommes entrés dans un monde inflationniste. Inflation "officielle" (France) de 2.9% en janvier, auxquels il faut rajouter 1 à 2% afin de refléter l'inflation réelle. Inflation durable et non pas transitoire comme annoncé par nos Elites. Les épargnants en subiront les conséquences d'année en année, ça n'est autre que la dévalorisation de la monnaie avec perte en pouvoir d'achat.
Sans oublier, avant les dix prochaines années, la réforme monétaire mondiale très peu évoquée dans les médias.
Seuls quelques économistes (et même financiers) indépendants disent clairement vers quels actifs orienter son épargne afin de sauver les meubles.
Cdt
La CSG est en bonne place dans l'arsenal fiscal français, puisqu'elle arrive avant l'impôt sur le revenu.
Bien que votre exposé soit exact, de même que l'on peut comprendre votre désapprobation, l'erreur des épargnants est l'oubli de la fiscalité de sortie qui peut s'avérer pénalisante.
Et comme si ça ne suffisait pas, nous sommes entrés dans un monde inflationniste. Inflation "officielle" (France) de 2.9% en janvier, auxquels il faut rajouter 1 à 2% afin de refléter l'inflation réelle. Inflation durable et non pas transitoire comme annoncé par nos Elites. Les épargnants en subiront les conséquences d'année en année, ça n'est autre que la dévalorisation de la monnaie avec perte en pouvoir d'achat.
Sans oublier, avant les dix prochaines années, la réforme monétaire mondiale très peu évoquée dans les médias.
Seuls quelques économistes (et même financiers) indépendants disent clairement vers quels actifs orienter son épargne afin de sauver les meubles.
Cdt
La législation juridique et financière évolue en permanence...