Condition suspensive dépassée un accord puis un refus
Melyf
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kasom Messages postés 33824 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
kasom Messages postés 33824 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
Bonjour,
Je vais essayer de vous expliquer la situation le plus clairement possible
Notre agence immobilière vend une maison et un mandataire souhaite visiter cette maison avec son client .
Tout roule, il fait une offre que vos vendeurs acceptent . Le mandataire nous fournit une étude de faisabilité de leur courtier .
Compromis signé en notre agence le 15 mai. Avec une date de condition suspensive mise au 15 juillet.
Une date de signature authentique fixe vers le 1 er septembre
Souvent nous demandons l’avancée du prêt à la mandataire et nous rassure que c est entre bonne voie , que le courtier a trouvé une banque qui le suit …
Le 15 juillet arrive, toujours rien, mais la courtière dit au mandataire que ça prends du temps à cause des vacances mais que le dossier n est pas compliqué, et que l’accord ne devrait pas tardé…. La courtière ne demande pas de prorogation
Nous informons nos vendeurs de ce fait .
Après plusieurs relance de notre agence auprès de ce mandataire, qui nous dit que tout roule, un accord de principe est enfin là le 20 août .
Nous informons nos vendeurs qui du coup commencent à chercher une location .
L’acquéreur reçoit dans la foulée un accord des assurances .
Nos client trouvent une location et emménage le 29 août dans leur nouvel appartement
L’acquéreur a un rdv avec la banque, et lorsque celle ci lui pose des questions sur le bien qu elle achete, l’acquéreur a du mal à s exprimer ( car étranger et il ne parle pas bien le français)
La conseillère envoie un mail à sa direction en informant qu il y a ses incohérences et que l acquéreur n a pas l air de savoir ce qu il achète.
Dans la foulée il lui donne un refus.
Mes vendeurs sont très en colère contre la mandataire et le courtier .
De notre côté , même si ce n est pas notre acquéreurs nous l avons emmener voir notre courtier et attendons la faisabilité
En attendant mes vendeurs se retrouvent avec un loyer à payer avec un bail de 3 mois et en plus un crédit immobilier et les charges de leur résidence principale .
Ils nous informent que si l acquéreur est finançable ils souhaitent que la part de commission du mandataire soit réduite et que cela leur reviennent en net vendeur pour le préjudice occasionné
Si l acquéreur n est pas finançable ils demandent s’ils peuvent se retourner contre le mandataire et l agence du courtier ?
Ils savent qu ils peuvent demander également les 10% à l’acquéreur mais ils savent qu il est de bonne foie et que c est au niveau du courtier et de la banque que là travail à été bancal
Qu en pensez vous
Je vais essayer de vous expliquer la situation le plus clairement possible
Notre agence immobilière vend une maison et un mandataire souhaite visiter cette maison avec son client .
Tout roule, il fait une offre que vos vendeurs acceptent . Le mandataire nous fournit une étude de faisabilité de leur courtier .
Compromis signé en notre agence le 15 mai. Avec une date de condition suspensive mise au 15 juillet.
Une date de signature authentique fixe vers le 1 er septembre
Souvent nous demandons l’avancée du prêt à la mandataire et nous rassure que c est entre bonne voie , que le courtier a trouvé une banque qui le suit …
Le 15 juillet arrive, toujours rien, mais la courtière dit au mandataire que ça prends du temps à cause des vacances mais que le dossier n est pas compliqué, et que l’accord ne devrait pas tardé…. La courtière ne demande pas de prorogation
Nous informons nos vendeurs de ce fait .
Après plusieurs relance de notre agence auprès de ce mandataire, qui nous dit que tout roule, un accord de principe est enfin là le 20 août .
Nous informons nos vendeurs qui du coup commencent à chercher une location .
L’acquéreur reçoit dans la foulée un accord des assurances .
Nos client trouvent une location et emménage le 29 août dans leur nouvel appartement
L’acquéreur a un rdv avec la banque, et lorsque celle ci lui pose des questions sur le bien qu elle achete, l’acquéreur a du mal à s exprimer ( car étranger et il ne parle pas bien le français)
La conseillère envoie un mail à sa direction en informant qu il y a ses incohérences et que l acquéreur n a pas l air de savoir ce qu il achète.
Dans la foulée il lui donne un refus.
Mes vendeurs sont très en colère contre la mandataire et le courtier .
De notre côté , même si ce n est pas notre acquéreurs nous l avons emmener voir notre courtier et attendons la faisabilité
En attendant mes vendeurs se retrouvent avec un loyer à payer avec un bail de 3 mois et en plus un crédit immobilier et les charges de leur résidence principale .
Ils nous informent que si l acquéreur est finançable ils souhaitent que la part de commission du mandataire soit réduite et que cela leur reviennent en net vendeur pour le préjudice occasionné
Si l acquéreur n est pas finançable ils demandent s’ils peuvent se retourner contre le mandataire et l agence du courtier ?
Ils savent qu ils peuvent demander également les 10% à l’acquéreur mais ils savent qu il est de bonne foie et que c est au niveau du courtier et de la banque que là travail à été bancal
Qu en pensez vous
A voir également:
- Condition suspensive dépassée un accord puis un refus
- Bon pour accord par mail - Guide
- Refus de servir un café dans un bar - Guide
- Accord de principe et refus de prêt forum - Forum emprunt immobilier
- Refus d'intervenir chez un client - Forum salariés
- Lettre accord voisin pour travaux - Guide
1 réponse
bonjour
Qu en pensez vous
1) que vous auriez pu conclure votre (longue) question par une formule du style merci ou autre à l'attention des bénévoles qui répondent . Manque de temps ou de place certainement...
2) que vous faites mal votre travail : avez vous signé un avenant depuis la date butoir ? vous avez écrit en recommandé avec AR à l'acheteur ?
si l'acheteur obtient son prêt ( ce que je vous souhaite, ) tout roule , mais en aucun cas le vendeur ne peut demander une remise sur honoraires , encore moins sur ceux du mandataire ( son fournisseur c'est vous , pas le mandataire, il n'a pas signé de mandat avec lui )
3) votre acheteur a déjà un refus de prêt, s'il a été fourni en bonne et due forme, le compromis est à priori déjà caduc si un seul refus de prêt est demandé dans le compromis
4) une acceptation d'assurance n'est pas une acceptation de prêt , vous auriez du conseiller au vendeur d'attendre l'offre de prêt avant de déménager
5) le vendeur ne pourra rien demander à l'acheteur , à la limite il pourra retarder de vous verser vos honoraires et il vous restera à vous à négocier avec le mandataire une éventuelle remise ( et sur vos honoraires aussi )
bonne vente
Qu en pensez vous
1) que vous auriez pu conclure votre (longue) question par une formule du style merci ou autre à l'attention des bénévoles qui répondent . Manque de temps ou de place certainement...
2) que vous faites mal votre travail : avez vous signé un avenant depuis la date butoir ? vous avez écrit en recommandé avec AR à l'acheteur ?
si l'acheteur obtient son prêt ( ce que je vous souhaite, ) tout roule , mais en aucun cas le vendeur ne peut demander une remise sur honoraires , encore moins sur ceux du mandataire ( son fournisseur c'est vous , pas le mandataire, il n'a pas signé de mandat avec lui )
3) votre acheteur a déjà un refus de prêt, s'il a été fourni en bonne et due forme, le compromis est à priori déjà caduc si un seul refus de prêt est demandé dans le compromis
4) une acceptation d'assurance n'est pas une acceptation de prêt , vous auriez du conseiller au vendeur d'attendre l'offre de prêt avant de déménager
5) le vendeur ne pourra rien demander à l'acheteur , à la limite il pourra retarder de vous verser vos honoraires et il vous restera à vous à négocier avec le mandataire une éventuelle remise ( et sur vos honoraires aussi )
bonne vente