Chercher logement pendant période de préavis
hanidoli
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dna.factory Messages postés 25364 Date d'inscription mercredi 18 avril 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 21 novembre 2024 - 1 juin 2021 à 10:19
dna.factory Messages postés 25364 Date d'inscription mercredi 18 avril 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 21 novembre 2024 - 1 juin 2021 à 10:19
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Mric11235813
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1 septembre 2022
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31 mai 2021 à 14:59
31 mai 2021 à 14:59
Bonjour,
Tant que vous n'avez rien, cela risque d'être compliqué effectivement.
Une fois que vous avez une promesse d'embauche écrite qui spécifie bien votre fonction, votre statut, votre période d'essai et votre salaire, ce sera bien plus simple.
Il restera bien entendu des gens qui refuserons de vous louer parce que vous serez en période d'essai, mais vous devriez quand même trouver.
Cordialement,
Tant que vous n'avez rien, cela risque d'être compliqué effectivement.
Une fois que vous avez une promesse d'embauche écrite qui spécifie bien votre fonction, votre statut, votre période d'essai et votre salaire, ce sera bien plus simple.
Il restera bien entendu des gens qui refuserons de vous louer parce que vous serez en période d'essai, mais vous devriez quand même trouver.
Cordialement,
djivi38
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20 novembre 2024
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31 mai 2021 à 15:44
31 mai 2021 à 15:44
bonjour,
c'est une "possibilité" d'utiliser le motif de zone tendue... pas une "obligation".
Vous avez aussi la possibilité de mentionner dans votre courrier de congé une date un peu postérieure à celle présumée de la réception effective de la notification de votre congé (je vous rappelle que c'est la date de réception effective par le bailleur de la notification de votre congé qui fait démarrer votre préavis) :
par exemple :
=> envoi le 16/06 d'un courrier RAR de congé avec préavis réduit à 1 mois pour le motif de "zone tendue" -> réception effective par le bailleur le 18/06 -> début du préavis le 18/06 -> fin du préavis le 18/07 : loyer et charges sont dus jusqu'au 18/07, sauf si, pour un départ anticipé, le bailleur relouait pendant ledit préavis.
=> envoi le 15/06 d'un courrier RAR de congé avec préavis réduit à 1 mois pour le motif de "zone tendue" ET avec une date de départ mentionnée au 30/07 -> réception effective par le bailleur le 20/06 -> début du préavis le 20/06 -> loyer et charges sont dus jusqu'au 30/07.
=> envoi le 29/06 d'un courrier RAR de congé (avec ou sans préavis réduit ou avec ou sans date de départ souhaité) ... mais pas de réception effective par le bailleur (pour x raison : pas entendu le facteur et pas allé récupérer son courrier à la Poste dans le délai de mise à disposition, parti en vacances, séjour à l'hôpital, ... etc.) --> votre RAR vous revient sous quinzaine = le préavis ne peut donc pas commencer et vous devrez alors redonner votre congé en vous tournant vers 1 des 2 autres façons de délivrer un congé :
- soit par remise en main propre contre émargement : le préavis démarre le jour des signatures (prévoir 2 exemplaires)
- soit par remise par un huissier : le préavis démarre le jour de son passage, même si le bailleur est absent.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1168
Par ailleurs, tout accord écrit avec votre bailleur actuel (en détail et avec signatures sur votre exemplaire et le sien) reste valable pour une durée de préavis différente de celle énoncée dans la loi.
cdt.
"j'habite dans une ville ou le préavis de fin de location est réduit à un mois. "
c'est une "possibilité" d'utiliser le motif de zone tendue... pas une "obligation".
Vous avez aussi la possibilité de mentionner dans votre courrier de congé une date un peu postérieure à celle présumée de la réception effective de la notification de votre congé (je vous rappelle que c'est la date de réception effective par le bailleur de la notification de votre congé qui fait démarrer votre préavis) :
par exemple :
=> envoi le 16/06 d'un courrier RAR de congé avec préavis réduit à 1 mois pour le motif de "zone tendue" -> réception effective par le bailleur le 18/06 -> début du préavis le 18/06 -> fin du préavis le 18/07 : loyer et charges sont dus jusqu'au 18/07, sauf si, pour un départ anticipé, le bailleur relouait pendant ledit préavis.
=> envoi le 15/06 d'un courrier RAR de congé avec préavis réduit à 1 mois pour le motif de "zone tendue" ET avec une date de départ mentionnée au 30/07 -> réception effective par le bailleur le 20/06 -> début du préavis le 20/06 -> loyer et charges sont dus jusqu'au 30/07.
=> envoi le 29/06 d'un courrier RAR de congé (avec ou sans préavis réduit ou avec ou sans date de départ souhaité) ... mais pas de réception effective par le bailleur (pour x raison : pas entendu le facteur et pas allé récupérer son courrier à la Poste dans le délai de mise à disposition, parti en vacances, séjour à l'hôpital, ... etc.) --> votre RAR vous revient sous quinzaine = le préavis ne peut donc pas commencer et vous devrez alors redonner votre congé en vous tournant vers 1 des 2 autres façons de délivrer un congé :
- soit par remise en main propre contre émargement : le préavis démarre le jour des signatures (prévoir 2 exemplaires)
- soit par remise par un huissier : le préavis démarre le jour de son passage, même si le bailleur est absent.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1168
Par ailleurs, tout accord écrit avec votre bailleur actuel (en détail et avec signatures sur votre exemplaire et le sien) reste valable pour une durée de préavis différente de celle énoncée dans la loi.
cdt.
hanidoli
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31 mai 2021
31 mai 2021 à 15:59
31 mai 2021 à 15:59
Bonjour,
Merci pour cette précision. Effectivement j'ai été trop concis sur ce point dans mon message. Je me laisse effectivement la possibilité de définir un préavis plus long.
Merci pour cette précision. Effectivement j'ai été trop concis sur ce point dans mon message. Je me laisse effectivement la possibilité de définir un préavis plus long.
dna.factory
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1 juin 2021 à 10:19
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Pour avoir été globalement dans cette situation, il faut accepter que vous ne trouverez pas de logement classique dans votre nouvelle ville d'ici la fin de votre période d'essai. Point.
Le corollaire, c'est que vous allez perdre de l'argent en travaillant. Il faut aussi l'accepter, et ne pas essayer de prendre des 'raccourcis' qui s’avéreront au final pire (arnaques, ou se retrouver à la rue sans logement du jour au lendemain).
Il faut donc trouver une solution.
En général, la première semaine, faut envisager directement l’hôtel.
Alors, oui, pas le ritz ou le mercure 4*, mais plutôt le formule 1 avec la douche hors de la chambre.
L'avantage de l’hôtel, c'est qu'hors zone et période touristique, normalement, en 10 minutes, vous avez une chambre et vous pouvez passer à la suite.
L'inconvénient de l’hôtel, c'est évidemment le prix. Je n'ai jamais testé une auberge de jeunesse. Apparemment, ça peut s'avérer moins cher.
Si la saison le permet, même la camping n'est pas à dénigrer. On parle de 'quelques jours'.
Pendant les premiers mois de la période d'essai, il sera compliqué de trouver un logement. Rien n’empêche d'essayer déja, mais il faut bien se loger quelque part pendant ce temps là, comme indiqué, l’hôtel risque de coûte cher, et il faut donc envisager les solutions intermédiaires.
Si l'age le permet, le foyer de jeune travailleur est sûrement la meilleure solution. C'est globalement le milieu entre l’hôtel et le logement classique que ce soit en terme de prix qu'en terme d'accessibilité.
A mon époque, les AirBnB n'existaient pas. Je ne sais pas si ils sont intéressants en terme de prix.
Le couch-surfing non plus, et personnellement, je serais très hésitant à y avoir recours, mais normalement, c'est plutot bon marché.
Y'a aussi le célèbre logement contre services qui se développe. Sauf que dans 90%, on recherche des 'jeunes femmes', et le service attendu est sans équivoque. Personnellement, ça me dérange pas si tout le monde est d'accord et y trouve son compte, mais c'est pas le cas de la majorité (qui considère par contre la femme au foyer comme parfaitement acceptable).
A regarder aussi du coté des appart-hotels.
Pendant tout ce temps, vous voulez conserver votre logement actuel sans même donner votre préavis de départ. Que ce soit pour conserver vos affaires, ou pour récupérer un logement si ça se passe mal.
Oubliez la possibilité d'un logement social, au meilleur des cas dans les meilleures des zones ça prendra quelques semaines/mois. Vous pouvez toujours tenter d'en faire la demande, mais il faudra quand même trouver une solution.
Une fois la période d'essai validée, vous pourrez commencer à chercher un logement définitif. Si vous êtes actuellement en zone tendue, vous pourrez bénéficier du préavis réduit de toute façon, et dans ce cas, il est recommandé d'attendre d'avoir signé le bail de l'autre coté avant de donner son préavis.
Donc oui, plusieurs mois à double loyer... C'est le prix de la sécurité.
Le corollaire, c'est que vous allez perdre de l'argent en travaillant. Il faut aussi l'accepter, et ne pas essayer de prendre des 'raccourcis' qui s’avéreront au final pire (arnaques, ou se retrouver à la rue sans logement du jour au lendemain).
Il faut donc trouver une solution.
En général, la première semaine, faut envisager directement l’hôtel.
Alors, oui, pas le ritz ou le mercure 4*, mais plutôt le formule 1 avec la douche hors de la chambre.
L'avantage de l’hôtel, c'est qu'hors zone et période touristique, normalement, en 10 minutes, vous avez une chambre et vous pouvez passer à la suite.
L'inconvénient de l’hôtel, c'est évidemment le prix. Je n'ai jamais testé une auberge de jeunesse. Apparemment, ça peut s'avérer moins cher.
Si la saison le permet, même la camping n'est pas à dénigrer. On parle de 'quelques jours'.
Pendant les premiers mois de la période d'essai, il sera compliqué de trouver un logement. Rien n’empêche d'essayer déja, mais il faut bien se loger quelque part pendant ce temps là, comme indiqué, l’hôtel risque de coûte cher, et il faut donc envisager les solutions intermédiaires.
Si l'age le permet, le foyer de jeune travailleur est sûrement la meilleure solution. C'est globalement le milieu entre l’hôtel et le logement classique que ce soit en terme de prix qu'en terme d'accessibilité.
A mon époque, les AirBnB n'existaient pas. Je ne sais pas si ils sont intéressants en terme de prix.
Le couch-surfing non plus, et personnellement, je serais très hésitant à y avoir recours, mais normalement, c'est plutot bon marché.
Y'a aussi le célèbre logement contre services qui se développe. Sauf que dans 90%, on recherche des 'jeunes femmes', et le service attendu est sans équivoque. Personnellement, ça me dérange pas si tout le monde est d'accord et y trouve son compte, mais c'est pas le cas de la majorité (qui considère par contre la femme au foyer comme parfaitement acceptable).
A regarder aussi du coté des appart-hotels.
Pendant tout ce temps, vous voulez conserver votre logement actuel sans même donner votre préavis de départ. Que ce soit pour conserver vos affaires, ou pour récupérer un logement si ça se passe mal.
Oubliez la possibilité d'un logement social, au meilleur des cas dans les meilleures des zones ça prendra quelques semaines/mois. Vous pouvez toujours tenter d'en faire la demande, mais il faudra quand même trouver une solution.
Une fois la période d'essai validée, vous pourrez commencer à chercher un logement définitif. Si vous êtes actuellement en zone tendue, vous pourrez bénéficier du préavis réduit de toute façon, et dans ce cas, il est recommandé d'attendre d'avoir signé le bail de l'autre coté avant de donner son préavis.
Donc oui, plusieurs mois à double loyer... C'est le prix de la sécurité.
La législation juridique et financière évolue en permanence...
Modifié le 31 mai 2021 à 15:39
Je serais toujours dans mon emploi actuel au moment du déménagement, le but étant justement d'avoir déménagé avant la prise du nouveau poste et éviter d'être bloqué pendant 3 mois du à la période d'essai. Du coup ma crainte porte sur le fait d'être en cours de démission au moment de la recherche du nouveau logement. Certains bailleurs demandent en effet un attestation d'emploi indiquant bien que le salarié n'est ni en période d’essai, ni en préavis suite à démission. C'est donc sur cernier critère que je m'interroge.
J'aurai normalement déjà signé mon futur contrat à ce moment là donc pour le coup j'aurai mieux qu'une promesse d'embauche. Je crains qu'on m'oppose en revanche d'un côté d'être en situation de quitter mon emploi actuel, et de l'autre d'être en situation de période d'essai, et donc de pas être dans une situation stable. Je me sens un peu le *** entre deux chaises comme on dit :)
1 juin 2021 à 08:58
Effectivement, vous serez en période de préavis au moment de votre recherche de logement. C'est pourquoi il est parfois plus rassurant pur un bailleur de voir la promesse d'embauche de votre futur emploi et non votre ancien emploi encore en cours.