Résiliation et mise en demeure salle de sport

SESE01100 Messages postés 2 Date d'inscription lundi 7 octobre 2019 Statut Membre Dernière intervention 8 octobre 2019 - 7 oct. 2019 à 22:56
SESE01100 Messages postés 2 Date d'inscription lundi 7 octobre 2019 Statut Membre Dernière intervention 8 octobre 2019 - 8 oct. 2019 à 22:48
Bonjour à tous,

Alors voilà je vous explique ma situation, elle m’angoisse quelque peu. Je me suis inscrite dans une salle de sport en avril dernier pour une durée de 1 an, dans la précipitation je n’ai pas lu les conditions générales il s’agissait d’une offre avec 1 mois de gratuité.

Il s’avère que je devais quitter ma ville pour un master à Chambéry, je n'étais pas au courant et pas sûre de cela, je l'ai été après avoir reçu un mail de la faculté m'assurant que j'étais prise. J'y ai réfléchi quelque temps avant de prendre la décision finale de quitter ma ville initiale. Durant 1 mois, j’ai essayé de régler cela avec la salle de sport qui n’a voulu rien entendre. Je leur ai expliqué que je ne pouvais faire autrement et que je devais partir.

En vain, j’ai décidé d’envoyé une LRAR à la salle expliquant ma situation, qu’il s’agissait d’un motif légitime et que si le contrat devait se maintenir dans cette situation c’était une clause abusive du contrat (étant étudiante en droit, j’ai ajouté quelques dispositions juridiques). Il s'agissait d'une lettre de résiliation. J'ai notamment évoqué la légitimité de ma situation puisque je ne pouvais savoir auparavant que j'allais devoir quitter ma ville pour des considérations "scolaires". Je sais que la jurisprudence reconnaît les considérations professionnelles dans ce cas, j'ai lu les CGV et le contrat en question ne le reconnaissait pas. Selon moi, on pourrait mettre ma situation dans cette catégorie, mais je n'ai aucune idée de l'usage de cette règle dans les tribunaux.

4 mois plus tard, aujourd’hui je reçois un mail des contentieux d’Auvergne qui vaudrait « mise en demeure», or les conditions de formes de celle-ci ne sont pas tout à fait respectées.
Ce n’est qu’un détail. Ils me disent que si je ne paie pas sous 48h la somme de 458€ ; une procédure judiciaire serait entamée.

Selon vous, que dois-je faire ? Je ne pense pas qu’ils soient légitimes et quand bien même il l’était je suis étudiante et ai aucun revenu, je suis dans l’impossibilité totale de payer cette somme. Que me conseillez-vous ?

Merci à vous,

Cordialement,

1 réponse

Energizor Messages postés 26001 Date d'inscription vendredi 18 mars 2011 Statut Modérateur Dernière intervention 25 novembre 2024 19 501
7 oct. 2019 à 23:02
Bonjour,

Très peu probable que quiconque vous assigne au tribunal pour 458 €, même si vous recevez des courriers qui prétendent le contraire.

A votre place, je ferais la morte et j'arrêterais de perdre du temps, de l'argent ou de l'énergie avec ces gens-là.
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SESE01100 Messages postés 2 Date d'inscription lundi 7 octobre 2019 Statut Membre Dernière intervention 8 octobre 2019
8 oct. 2019 à 22:48
Bonsoir,

Je vous remercie de votre réponse, cela me rassure. Je vous tiendrai au courant de l’avancée de la situation.
J’ai contacté une amie avocate pour voir ce qu’on pourrait éventuellement faire mais je pense que je vais me contenter de ne pas répondre.

Merci !
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