Bonjour,
J'ai visité hier une maison à vendre à un certain prix à Noailles dans l'Oise, j'étais intéressée car la classe DPE était niveau D donc moyen.
En visitant, quelle surprise : la porte d'entrée sur cuisine en bois d'un âge incertain, la fenêtre dans le même état. En fermant la porte, un souffle d'air que l'on continue de ressentir. Dans la salle à manger, 2 fenêtres dans le même état (tout le chauffage est par convecteurs PAC et les portes et fenêtres en simple vitrage bois). Les fenêtres dans les 2 chambres du bas sont dans le même état. Pour la salle de bain, 1 trou d'environ 25cm avec un tuyau pour VMC mais sans VMC, juste une sortie d'air directe en fait. A l'étage, un grenier aménagé, mais finalement non-aménagé : juste un sol en bois compressé, sans parquet ni autre sol aménagé, un trou dans le plafond compensé par une petite vitre et de la laine de verre autour, 2 velux bons à changer, et le toit dont l'isolation n'a pas été faite et par lequel vous pouvez sentir l'air arriver au-dessus de votre tête. Pire... une poutre qui fait toute la longueur du grenier cassée et maintenue par une barre en métal de 50cm avec la poutre affaissée et le toit qui s'est lui-aussi affaissé et risque de s'écrouler en cas d'hiver rude avec neige.
Comment une telle ruine a-t-elle pu être classée en niveau D ? Mystère...
Si le bien est d'avant 1948 la réglementation actuelle impose la méthode suivante : consommations chaufafge et ECS divisée par les m² habitables (peu importe s'ils sont chauffés). En attendant la réalisation effective de l'actuel (second) plan de fiabilisation
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14 août 2019 à 10:07