Assurance vie
haka@74000
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condorcet Messages postés 39501 Date d'inscription jeudi 11 février 2010 Statut Membre Dernière intervention 21 juin 2023 - 28 août 2016 à 13:38
condorcet Messages postés 39501 Date d'inscription jeudi 11 février 2010 Statut Membre Dernière intervention 21 juin 2023 - 28 août 2016 à 13:38
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2 réponses
condorcet
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28 août 2016 à 13:38
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Ce placement en assurance vie issue d'un bien immobilier peut il échappé à la succession .
Ce n'est pas qu'il peut.
Il ne fait pas partie de la succession.
Cette somme d'argent placée à + de 80 ans peut elle permettre au bénéficiaire survivant de spolier les enfants de défunts
Les enfants ne seront pas spoliés.
Comme dans toutes les successions, il recueilleront ce qui reste et non ce qu'ils auraient souhaité recueillir.
Aucune loi, n'a rendu obligatoire aux parents de laisser quoi que se soit dans leur succession à leurs héritiers,leurs enfants soient-ils.
Si vos droits d'héritiers réservataires sont respectés, vous ne pouvez pas incriminer à vos parents d'avoir tenté, a dessein, de vous "déshériter"-expression qui n'a d'ailleurs aucun sens- en contractant cette assurance-vie.
A vous de le prouver.
Difficile cependant, puisqu'une partie du 1,2 million obtenu dans la vente de l'appartement a été réinvestie dans l'acquisition du suivant à hauteur de 650000.
Dans un contexte semblable avec une progéniture issue de 2 unions différentes, généralement rien ne se passe "harmonieusement", les parents ont pris une mesure appropriée pour se protéger des affres d'une indivision conflictuelle.
Ce n'est pas qu'il peut.
Il ne fait pas partie de la succession.
Cette somme d'argent placée à + de 80 ans peut elle permettre au bénéficiaire survivant de spolier les enfants de défunts
Les enfants ne seront pas spoliés.
Comme dans toutes les successions, il recueilleront ce qui reste et non ce qu'ils auraient souhaité recueillir.
Aucune loi, n'a rendu obligatoire aux parents de laisser quoi que se soit dans leur succession à leurs héritiers,leurs enfants soient-ils.
Si vos droits d'héritiers réservataires sont respectés, vous ne pouvez pas incriminer à vos parents d'avoir tenté, a dessein, de vous "déshériter"-expression qui n'a d'ailleurs aucun sens- en contractant cette assurance-vie.
A vous de le prouver.
Difficile cependant, puisqu'une partie du 1,2 million obtenu dans la vente de l'appartement a été réinvestie dans l'acquisition du suivant à hauteur de 650000.
Dans un contexte semblable avec une progéniture issue de 2 unions différentes, généralement rien ne se passe "harmonieusement", les parents ont pris une mesure appropriée pour se protéger des affres d'une indivision conflictuelle.
Gayomi
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Modifié par Gayomi le 28/08/2016 à 13:34
Modifié par Gayomi le 28/08/2016 à 13:34
Les quatre enfants s'inquiètent d'une éventuelle spoliation par l'un ou l'autre du conjoint bénéficiaire suite au décès de l'autre
Il n'y aura pas de spoliation dans la mesure où les parents sont libres dans leur choix de placements d'argent, et libres dans leur choix de bénéficiaire de l'assurance-vie souscrite. Mais je comprends l'inquiétude des enfants de voir leur échapper une partie de ce qui est aujourd'hui un patrimoine commun. Et ce peut-être contre la volonté profonde des parents qui ont probablement signé la clause type la plus utilisée en matière d'assurance-vie, sans penser à une future discrimination de certains des enfants.
Le mieux, afin de couper court à tout litige ou animosité ultérieure, serait de convaincre vos parents de se rendre chez un notaire, de se faire bien expliquer les conséquences de la clause bénéficiaire qu'ils ont choisie et éventuellement de la modifier en toute connaissance de cause.
Il n'y aura pas de spoliation dans la mesure où les parents sont libres dans leur choix de placements d'argent, et libres dans leur choix de bénéficiaire de l'assurance-vie souscrite. Mais je comprends l'inquiétude des enfants de voir leur échapper une partie de ce qui est aujourd'hui un patrimoine commun. Et ce peut-être contre la volonté profonde des parents qui ont probablement signé la clause type la plus utilisée en matière d'assurance-vie, sans penser à une future discrimination de certains des enfants.
Le mieux, afin de couper court à tout litige ou animosité ultérieure, serait de convaincre vos parents de se rendre chez un notaire, de se faire bien expliquer les conséquences de la clause bénéficiaire qu'ils ont choisie et éventuellement de la modifier en toute connaissance de cause.