Médecine du travail

Bonjour,


Voilà je travaille actuellement dans une entreprise de vente, livraison, prospection. Je suis en arrêt depuis le mois d'avril suite à une addiction et dépression.
A la fin de mon arrêt (début juillet) j'ai été convoqué par la médecine du travail, qui m'a déclaré ni apte ni inapte à reprendre mon poste et a fait une lettre à mon médecin traitant pour que celui-ci me remette en arrêt, chose qu'il a fait (arrêt de 1 mois). Sur le certificat de la médecine du travail il était mentionné "à revoir dans les 8 jours suivant la reprise effective du travail". Je me demande donc pourquoi je n'ai pas été convoqué pour une seconde visite dans les 15 jours suivants la première ?
Deuxièmement, j'ai été de nouveau convoqué à la fin de mon arrêt (donc à la fin du mois de juillet), et celle-ci m'a fait un certificat d'aptitude (alors qu'à la première visite elle m'a écrit qu'il fallait que je pense à changer de métier étant donner que je ne supportais plus la pression commerciale), alors que je ne suis en aucun cas guéri, je suis sous anti-dépresseur, je lui ai bien fait comprendre que pour moi il m'était impossible de retourner travaillé, sinon tout le travail fait sur moi-même avec l'aide d'un psy n'aura servit à rien (sachant que je n'ai toujours pas fini ma thérapie). Je me suis donc remit en arrêt pour 3 semaines, mais j'aimerais vraiment en finir avec ces arrêts, j'aimerais être aider, de plus j'ai déjà eu un épisode similaire en 2014 ce qui m'a coûté une sanction de ma boîte.

Que puis-je faire, j'ai l'impression d'être seul dans mon combat, personne ne m'écoute mise à part ma psy mais cela ne suffit pas, à chaque fin d'arrêt j'angoisse, comme l'impression que la spirale me retombe dessus. Je ne sais pas si un jour je pourrais reprendre ce métier qui me détruit à petit feu, j'aimerais vraiment m'en sortir, pouvoir m'épanouir dans un autre métier, et pour moi, une démission ne serait pas la solution, je crois que ce serait la goutte d'eau de trop, je me considère déjà comme un minable, une démission me mettrait à terre.