Démissioner d'un CDD pour dépression - droit au chômage ?
bowouille
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tania57 Messages postés 38939 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
tania57 Messages postés 38939 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Bonjour,
Je suis actuellement en contrat pro en cdd. Je souhaite démissioner car en dépression depuis un an (vente de la boîte, collègues désagréables, travail non valorisant, ambiance malsaine, et autres soucis persos)
Le problème est le suivant : je souhaiterais démissioner mais je crois que cela n'est pas possible pour un CDD, est ce exact ?
Sinon, on m'a dit que je pouvais toucher le chômage car ça fait 1an et demi que je travaille, mais comme je démissionnerai, je n'aurais pas le droit aux alloc ? Existe t il des cas particuliers où je pourrais les recevoir en attendant de trouver un nouveau travail ?
Merci d'avance pour vos réponses !
À vous lire
Je suis actuellement en contrat pro en cdd. Je souhaite démissioner car en dépression depuis un an (vente de la boîte, collègues désagréables, travail non valorisant, ambiance malsaine, et autres soucis persos)
Le problème est le suivant : je souhaiterais démissioner mais je crois que cela n'est pas possible pour un CDD, est ce exact ?
Sinon, on m'a dit que je pouvais toucher le chômage car ça fait 1an et demi que je travaille, mais comme je démissionnerai, je n'aurais pas le droit aux alloc ? Existe t il des cas particuliers où je pourrais les recevoir en attendant de trouver un nouveau travail ?
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2 réponses
Bonjour,
Nous ne touchons pas le chômage, mais les étoiles !
Le mot chômage est une injure à l’origine, il me choque, voilà le pourquoi de ma réaction.
Chômeur et chômage viennent du mot : chômer qui veut dire se reposer. Chômeur et chômage originellement veulent dire un truc dans le genre : fainéant, paresseux.
D’ailleurs constater que les autres langues de part le monde disent : sans-emploi.
En France, c’est ce que l’on disait avant 1876 quand ces mots furent employer pour désigner les pauvres avec mépris, ces 2 mots furent instrumentaliser lors de la crise de 1929.
Ainsi, il vous faudrait dire : percevoir le chômage, si vous tenez à ce mot injurieux et percevoir et non toucher.
Mais avec de la culture, vous devriez dire : percevoir des indemnités perte d’emploi.
Pour répondre à votre question, vous pourriez percevoir des indemnités perte d’emploi si vous avez une preuve médicale de votre dépression, donc, établie par la médecine du travail, car votre démission serait légitime.
Voyez cette fiche, copiez le lien :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F40
Cordialement.
Nous ne touchons pas le chômage, mais les étoiles !
Le mot chômage est une injure à l’origine, il me choque, voilà le pourquoi de ma réaction.
Chômeur et chômage viennent du mot : chômer qui veut dire se reposer. Chômeur et chômage originellement veulent dire un truc dans le genre : fainéant, paresseux.
D’ailleurs constater que les autres langues de part le monde disent : sans-emploi.
En France, c’est ce que l’on disait avant 1876 quand ces mots furent employer pour désigner les pauvres avec mépris, ces 2 mots furent instrumentaliser lors de la crise de 1929.
Ainsi, il vous faudrait dire : percevoir le chômage, si vous tenez à ce mot injurieux et percevoir et non toucher.
Mais avec de la culture, vous devriez dire : percevoir des indemnités perte d’emploi.
Pour répondre à votre question, vous pourriez percevoir des indemnités perte d’emploi si vous avez une preuve médicale de votre dépression, donc, établie par la médecine du travail, car votre démission serait légitime.
Voyez cette fiche, copiez le lien :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F40
Cordialement.
Bonsoir,
Il eut été fort possible que vous employâtes le mot véhémence avec autant de précipitation que la pluie ou le mot chômage.
Toutefois, sachez que votre employeur est tenu de vous indiquer où se trouve votre médecine du travail en l’affichant du côté des panneaux d’information du personnel.
Si vous souhaitez être discret, anonyme sans que votre employeur sache que vous vous y intéresser, contacter l’Inspection du travail sectorisée sur l’adresse de votre employeur, eux vous l’indiqueront.
La carte en bleue :
http://direccte.gouv.fr/Organisation-d-une-Direccte.html
Cordialement.
Il eut été fort possible que vous employâtes le mot véhémence avec autant de précipitation que la pluie ou le mot chômage.
Toutefois, sachez que votre employeur est tenu de vous indiquer où se trouve votre médecine du travail en l’affichant du côté des panneaux d’information du personnel.
Si vous souhaitez être discret, anonyme sans que votre employeur sache que vous vous y intéresser, contacter l’Inspection du travail sectorisée sur l’adresse de votre employeur, eux vous l’indiqueront.
La carte en bleue :
http://direccte.gouv.fr/Organisation-d-une-Direccte.html
Cordialement.
La législation juridique et financière évolue en permanence...
Si le salarié est en danger !
J’affirme que votre réponse est fausse du fait qu’un salarié en danger peut démissionner pour se protéger, mais doit prouver le danger.
Pour ce cas-y, seul un médecin du travail peut établir quelque chose ou pas.
Si c'est un cas de harcèlement au travail, l'inspection du travail et une plainte au Pénal peuvent suffir.
mais lucifer est trop fort pour moi
Alea jacta est débat clos pour moi