Propos diffamatoire ecrits

Résolu
staivys2 Messages postés 11 Date d'inscription dimanche 17 avril 2011 Statut Membre Dernière intervention 13 août 2014 - 12 août 2014 à 17:21
 staivys1 - 12 sept. 2014 à 15:34
Bonjour,
a la suite de la consultation de mon dossier individuel , j ai pris connaissance le 5 juin 2014
de propos diffamatoire et mensongers écrits de la part de mon supérieur
ces propos datent du 18 mars 2014.
je suis fonctionnaire

J ai donc demandé photocopie de mon dossier , ce qui est légal
on me l a donc remis.
en ce moment mon avocat et moi même cherchons la solution
en effet la loi prévoit un délai de prescription de 3 mois concernant des faits similaires
a savoir 3 mois depuis la date effective de ces dires
mais personne ne m a mis au courant et c est presque une chance que j ai pu m en rendre compte le 5 juin et signer attestation a cette date de prise de connaissance de mon dossier.
nous sommes le 12 août.

Quel qu un aurait il des notions , des infos en rapport avec mon affaire?

Merci d avance a tous
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6 réponses

Enka1 Messages postés 16100 Date d'inscription samedi 6 juillet 2013 Statut Membre Dernière intervention 13 juillet 2019 4 638
Modifié par Enka1 le 12/08/2014 à 22:04
Bonjour,

Pour mieux pouvoir cibler, il aurait été intéressant, éventuellement de savoir quelle était la teneur des propos et quels impacts ils pouvaient ou peuvent avoir.

Car, au vu de ce que vous avez indiqué, cela peut tout simplement relever des deux articles du code pénal ci-dessous ... A savoir ce que l' on appelle la diffamation et injure non publiques, et comme vous le verrez, ce n' est qu' une " péccadille" se résumant à une amende de 1ère classe et à 38 euros d' amende ...

Articles R. 621-1 et R. 621-2 du Code pénal - Diffamation et injure non publiques

« Article : R. 621-1. - La diffamation non publique envers une personne est punie de l'amende prévue pour les contraventions de la 1ère classe1.
« La vérité des faits diffamatoires peut-être établie conformément aux dispositions législatives relatives à la liberté de la presse ».

« Article R. 621-2. - L'injure non publique envers une personne, lorsqu'elle n'a pas été précédée de provocation, est punie de l'amende prévue pour les contraventions de la 1ère classe ».

1 Article 131-13, 1° du Code pénal : « 38 euros au plus pour les contraventions de la 1ère classe ».



Au pays des aveugles, les borgnes sont rois ...
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