Fausse plainte pour violences conjugales - fausses attestations

Bonjour,

Depuis quelques mois mon frère se retrouve dans une situation incroyable. J'expose ce qui se passe bien que je fais beaucoup d'actions pour faire avancer les choses mais je pense que j'ai tout de même besoin d'aide et de conseils.
Voici les faits :
Il y a 6 mois mon frère rentre en fin de semaine à son domicile et découvre que sa conjointe est partie avec les enfants (5/6 ans). Il fait plusieurs démarches gendarmerie, services sociaux, école.... La gendarmerie appelle la conjointe qui dit être partie en urgence pour violences conjugales. Au fil des semaines nous découvrons que sa conjointe a déposé une plainte dans un département limitrophe le lendemain de son départ soit après avoir eu les gendarmes au téléphone. Durant un mois mon frère a ignoré ou se trouvaient ses enfants mais grâce aux gendarmes il les avait régulièrement au téléphone.
Mon frère prends une avocate que nous rencontrerons chaque semaine pendant 3 mois (je dit nous car je suis très investit dans la situation vu que mon frère a fait un infarctus un mois après le départ de ses enfants). La plainte fait l'objet d'un rappel à la loi (le gendarme a lu une partie des dires et non la totalité alors qu'il y avait des informations que mon frère auraient pu prouvé qu'elles étaient fausses). Après son infarctus il a connaissance de l'adresse de résidence et découvre que sa conjointe vit chez un homme. Il demande à voir ses enfants, son ex lui dit qu'elle va les accompagner jusqu'à son domicile mais le jour même il reçoit un coup de fil qui dit que les assistantes sociales lui ont déconseillé de lui permettre un droit de visite vu les violences faites devant les enfants.

De mon côté j'ai appelé le 119 enfance maltraité puisque depuis plus d'un an j'avais signalé des faits de maltraitances auprès du médecin de la PMI et de la Puéricultrice auprès de laquelle la conjointe de mon frère avait fait une demande d'agrément pour être assistante maternelle. Agrément qu'elle n'a bien entendu pas obtenu.

Après d'insistance auprès des services sociaux, nous sommes reçus pour parler suivant leur courrier de faits de maltraitances dénoncés (mon appel au 119). Hors durant l'entretien voici les questions posées par l'AS à mon frère : "monsieur est-ce que vous buvez", "pour vous c'est quoi la violence conjugale" et enfin entendre dire "il y a un conflit évident".

Donc depuis 6 mois, 3 avocates (2600 euros) et report du JAF 3 fois.... mon frère n'a toujours pas vu ses enfants. Il est régulièrement insulté par le nouveau conjoint et en présence des enfants les propos suivants : ton père il's'bourre la gueule, connard, gros P.., etc... Mon frère ne réponds JAMAIS aux insultes, il reste calme.

Au fil du temps nous découvrons également dans le dossier l'ex conjointe des attestations de personnes que mon frère n'a pas vu depuis 4 à 8 ans, des dires des enfants rapportés par leur grand-mère alors qu'un des enfants cité a un retard mental et ne s'exprime pratiquement que par "oui, Vais bien, T'aime". Une attestation du nouveau compagnon qui dit que mon frère aurait dit au téléphone à son enfant "oui j'ai tapé maman et on s'en fout" alors que nous étions mon mari et moi-même présent dans la pièce et que mon frère na jamais frappé son ex ni dit de tels propos à son enfant de 6 ans !!

Enfin nous avons découvert dans le PC, des tas de photos porno, des montages porno avec le visage de mon frère et surtout un document daté de plusieurs mois avec déjà la nouvelle adresse de l'ex et de son conjoint.

Donc voila, d'un côté nous avons des assistantes sociales qui ont aidé une femme a partir avec ses enfants pour rejoindre son amant sans qu'aucune enquête ne soit faite que ce soit auprès des voisins, de l'école des enfants, des parents d'élèves. Pire dans la plainte il est mentionné un fait de brutalité qui aurait du laisser une trace hors toute la semaine l'es a accompagné ses enfants à l'école et personne n'a vu quoi que ce soit. Et pour clore l'ex a donc été la veille de son départ voir le médecin pour se faire faire un certificat (sans ITT) mais 15 minutes avant son rendez-vous elle était confortablement installée en terrasse de café.

J'ai pris contact avec plusieurs asso d'enfants maltraités, j'envisage de dénoncé auprès du COnseil Général l'attitude des AS..... Que pouvez-vous me proposer comme conseils car depuis 6 mois j'ai l'impression de pas trouver le bon interlocuteur et je m'éparpille.

Mon frère est a bout et ses enfants subissent la situation par leur mère et son conjoint. Comment arriver a faire la lumière ce que s'est réellement passé et se qui se passe actuellement.

Je sais que j'ai été très longue dans mes explications mais je peux difficilement faire plus court. Merci de votre aide.