Crédit consomation sans assurance décès
max1349
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Germain -
Germain -
Bonjour,
Mon beau-père a contracté un crédit revolving (compte open auprès du crédit agricole) d'une valeur de 6000 euros à l'age de 77 ans alors qu'il était atteint d'un cancer généralisé, et ce sans assurance décès. 6 mois après il est décédé et nous, ses héritiers, sommes aujourd'hui dans l'obligation de rembourser ce crédit.
Ma question est la suivante: comte tenu de son age et de son état de santé, comment ce fait-il que la banque lui ait accordé ce prêt sans assurance décès? en avait-elle le droit?
Merci pour vos réponses, cordialement.
Mon beau-père a contracté un crédit revolving (compte open auprès du crédit agricole) d'une valeur de 6000 euros à l'age de 77 ans alors qu'il était atteint d'un cancer généralisé, et ce sans assurance décès. 6 mois après il est décédé et nous, ses héritiers, sommes aujourd'hui dans l'obligation de rembourser ce crédit.
Ma question est la suivante: comte tenu de son age et de son état de santé, comment ce fait-il que la banque lui ait accordé ce prêt sans assurance décès? en avait-elle le droit?
Merci pour vos réponses, cordialement.
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3 réponses
Bonjour
Dans ce genre de crédit l'assurance est. toujours facultative.
C'est a chacun de bien prendre conscience du risque encouru.
Dans ce genre de crédit l'assurance est. toujours facultative.
C'est a chacun de bien prendre conscience du risque encouru.
Asilly a raison. De plus, aucune assurance n'aurait accepté d'assurer votre beau-père, le résultat serait le même.
S'il n'y a pas d'actif (biens immobiliers ou autres), les héritiers peuvent refuser l'héritage et donc se dispenser de payer le passif. Mais faites bien le calcul entre ce que le beau-père laisse (actif) et ce qu'il doit (passif).
S'il n'y a pas d'actif (biens immobiliers ou autres), les héritiers peuvent refuser l'héritage et donc se dispenser de payer le passif. Mais faites bien le calcul entre ce que le beau-père laisse (actif) et ce qu'il doit (passif).
Bonjour,
Je pense effectivement que l'organisme n'aurait pas dû lui accorder ce crédit, surtout qu'il n'avait pas d'assurance. Toutefois, je pense que votre beau-père aurait dû mieux s'informer avant de s'engager, car ce type d'emprunt peut revenir très cher. C'était aussi sa responsabilité. De plus, si sa situation financière le lui permettait, la banque n'avait pas vraiment le droit de lui refuser ce prêt. S'il s'agissait d'un investissement immobilier il n'aurait certainement pas eu cet emprunt, mais là il s'agit de crédit consommation.
Je pense effectivement que l'organisme n'aurait pas dû lui accorder ce crédit, surtout qu'il n'avait pas d'assurance. Toutefois, je pense que votre beau-père aurait dû mieux s'informer avant de s'engager, car ce type d'emprunt peut revenir très cher. C'était aussi sa responsabilité. De plus, si sa situation financière le lui permettait, la banque n'avait pas vraiment le droit de lui refuser ce prêt. S'il s'agissait d'un investissement immobilier il n'aurait certainement pas eu cet emprunt, mais là il s'agit de crédit consommation.
Je pense effectivement que l'organisme n'aurait pas dû lui accorder ce crédit, surtout qu'il n'avait pas d'assurance
Je ne suis pas d'accord avec toi Gégé. Un crédit, c'est un client et tout un ensemble. Ici, il y a ingérence de ta part...
la banque n'avait pas vraiment le droit de lui refuser ce prêt
Là aussi, jugement arbitraire.
Je t'asticote, mais je t'aime bien quand même...
Je ne suis pas d'accord avec toi Gégé. Un crédit, c'est un client et tout un ensemble. Ici, il y a ingérence de ta part...
la banque n'avait pas vraiment le droit de lui refuser ce prêt
Là aussi, jugement arbitraire.
Je t'asticote, mais je t'aime bien quand même...
La législation juridique et financière évolue en permanence...