Changement de logement, il m'impose 9 mois
dadoow
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bailleurx Messages postés 5575 Statut Contributeur -
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Bonjour,
Voilà je suis étudiante et je vais changer d'appartement. A la rencontre de mon nouveau propriétaire et en prenant connaissance du futur contrat de location meublée, il me dit que la durée de mon bail devra être au minimum neuf mois. Sauf si je trouve un nouveau locataire.
Si je comprend bien, il m'impose 9 mois... ce qui me mène à louer l'appartement jusqu'à la mi-août.
Dans les condition du contrat il est écrit :
"Il (le bail ndlr) peut être consenti pour une durée de NEUF MOIS lorsque le locataire est étudiant, pour coincider avec la durée de l'année universitaire.
Que dois-je en conclure? Car la fin de l'année universitaire est au mois de juin et donc les neuf mois indique bien la durée universitaire qui s'étend de septembre à juin.
Merci de votre attention.
Voilà je suis étudiante et je vais changer d'appartement. A la rencontre de mon nouveau propriétaire et en prenant connaissance du futur contrat de location meublée, il me dit que la durée de mon bail devra être au minimum neuf mois. Sauf si je trouve un nouveau locataire.
Si je comprend bien, il m'impose 9 mois... ce qui me mène à louer l'appartement jusqu'à la mi-août.
Dans les condition du contrat il est écrit :
"Il (le bail ndlr) peut être consenti pour une durée de NEUF MOIS lorsque le locataire est étudiant, pour coincider avec la durée de l'année universitaire.
Que dois-je en conclure? Car la fin de l'année universitaire est au mois de juin et donc les neuf mois indique bien la durée universitaire qui s'étend de septembre à juin.
Merci de votre attention.
A voir également:
- Peut-on imposer une durée de location
- Quelle est la durée de garantie d'une réparation automobile ? - Guide
- Contrat de location entre particuliers gratuit à imprimer - Guide
- Protection du consommateur location de voiture - Guide
- Contrat de location meublé pdf - Guide
- Location sans chauffage que dit la loi - Guide
4 réponses
Bonjour,
Les baux "étudiants" en meublés sont effectivement de neuf mois minimum. Mais peu importe : vous pouvez donner votre congé quand vous voulez avec un préavis d'un mois.
Les baux "étudiants" en meublés sont effectivement de neuf mois minimum. Mais peu importe : vous pouvez donner votre congé quand vous voulez avec un préavis d'un mois.
dadoow
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D'accord donc je n'ai aucune obligation de rester jusqu'à la mi-août...
dadoow - 15 déc. 2012 à 22:05 Donc que dois-je en conclure? Sachant que je sort d'un appartement meublé avec préavis d'un mois, mon ancien bailleur ne m'avait pas parlé de cette particularité ( 9 mois) aussi j'y suis restée seulement deux mois (de mi-octobre à mi-décembre) et la fin de contrat s'est fait sans problème, il ne m'a pas dit que je devais rester 9 mois. C'est pour cela que ça m'a surpris que mon nouveau bailleur me précise que je dois rester jusqu'à mi'août afin de respecter les 9 mois... Merci de l'attention que vous portez à mon cas.
comme vous l'aurez compris pour l'instant nous sommes dans l'impossibilité de vous dire clairement quelque chose sans prendre de risque de vous mettre dans une situation delicate
mais vous pouvez peut être nous apporter des éléments de réflexion complémentaires et sur lesquels nous aurons peut être des moyens de contester
- quels sont les articles de loi qui sont cités dans votre contrat?
- quelle est la clause de votre contrat qui parle de ça et que dit elle exactement? de quelle taille sont les caractères de ce texte (minuscules moyens ...)
- et quelles sont les clauses qui compenseraient à votre profit si c'était le propriétaire qui venait à rompre le contrat?
ps cliquez sur répondre pour generer
bonjour
j'ai trouvé ça hier soir
je pense que ca répond parfaitement à votre question
sur le site info droit service
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F929
et en bas de page on trouve un lien pour modèle de lettre
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16629
qui dit
j'ai trouvé ça hier soir
je pense que ca répond parfaitement à votre question
sur le site info droit service
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F929
et en bas de page on trouve un lien pour modèle de lettre
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16629
qui dit
<gras>Vous louez un logement meublé et souhaitez donner votre congé à votre propriétaire </gras>
Vous êtes locataire d'un logement loué en meublé et vous souhaitez donner congé. Vous pouvez le faire à tout moment sous la seule condition de prévenir votre bailleur un mois à l'avance, comme le prévoit l'article L. 632-1 du Code de la construction et de l'habitation.
Et ce, même si votre contrat vous oblige, par exemple, à attendre la date anniversaire ou à respecter un préavis de trois mois. Il s'agit certainement d'un formulaire datant d'une époque où la location des meublés échappait à toute réglementation et où les conditions de la location, durée et préavis notamment, étaient fixées librement. Cette situation a pris fin en 2005.
Madame, Monsieur,
Je souhaite quitter le logement que vous m'avez loué, aussi, je vous donne mon congé pour le (date éloignée de plus d'un mois).
(Le cas échéant) J'ai bien lu que mon contrat de location ne me permettait pas de résilier avant le (précisez la date) et moyennant un préavis de trois mois.
Vous l'ignorez peut-être, mais l'article L. 632-1 du Code de la construction et de l'habitation, qui régit désormais le contrat de location en meublé, prévoit que « le locataire peut résilier le contrat à tout moment sous réserve du respect d'un préavis d'un mois ». Cette disposition est d'ordre public, elle s'applique en dépit des clauses contraires du contrat.
Je vous précise que je quitterai effectivement mon logement le (date) pour que nous convenions ensemble d'une date pour effectuer l'état des lieux.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.
(Signature)
et si vous perdez au tribunal vous viendrez le dire a val... comme ça elle sera renseignée
lire ceci
https://www.economie.gouv.fr/files/directions_services/dgccrf/documentation/publications/depliants/anciens_depliants/louer_logement.pdf
lire ceci
https://www.economie.gouv.fr/files/directions_services/dgccrf/documentation/publications/depliants/anciens_depliants/louer_logement.pdf
Bailleurs, comme vous pouvez le remarquer sur le lien, ce dépliant doit dater un peu puisqu'il fait partie des "anciens dépliants".
Cependant, pour en avoir le coeur net, j'ai adressé un message au CEDEF dont ce dépliant émane apparemment. J'ai aussi l'intention de l'envoyer à la DGCCRF puisqu'il semble que ce soit elle qui l'ait rédigé. Bien entendu, je vous ferai part de leurs réponses, si réponse il y a (j'espère !).
Cependant, pour en avoir le coeur net, j'ai adressé un message au CEDEF dont ce dépliant émane apparemment. J'ai aussi l'intention de l'envoyer à la DGCCRF puisqu'il semble que ce soit elle qui l'ait rédigé. Bien entendu, je vous ferai part de leurs réponses, si réponse il y a (j'espère !).
bonne idée VAL je pensais aussi le faire puisque j'ai vu en ligne que c'était possible...
quel est le contenu de votre question SVP ?
vous comprenez bien que je ne cherche pas à vous contredire pour le principe
mais tant qu'il y a des doutes il me semble qu'avant de répondre il faudrait s'assurer d'un certains nombre de points avec la personnes qui demande
- quel articles régissent le contrat
- quelles sont les clauses et contreparties
nous ne pouvons pas inviter des personnes à se mettre dans des situations délicates tant que nous ne sommes pas certains de ce que nous affirmons
les conseilleurs ne sont pas les payeurs
par exemple une locataire m'a fait un procès parce que j'ai refusé son préavis réduit
elle a reçu des conseils de personnes qui ont certainement voulu l'aider
mais aujourd'hui elle va perdre et devoir en plus me verser des indemnités
même un avocat malin à accepté de la "défendre", ses arguments sont tellement ridicules que ça vous ferait rigoler (en attendant il a encaisse l'aide juridictionnelle et ne s'est pas présenté au proces)
bref
tout ca pour dire que de vouloir aider il ne faut pas prendre le risque de mettre les gens dans des situation graves...
si non je suis tout a fait d'accord avec toutes vos autres réponses
cordialement
quel est le contenu de votre question SVP ?
vous comprenez bien que je ne cherche pas à vous contredire pour le principe
mais tant qu'il y a des doutes il me semble qu'avant de répondre il faudrait s'assurer d'un certains nombre de points avec la personnes qui demande
- quel articles régissent le contrat
- quelles sont les clauses et contreparties
nous ne pouvons pas inviter des personnes à se mettre dans des situations délicates tant que nous ne sommes pas certains de ce que nous affirmons
les conseilleurs ne sont pas les payeurs
par exemple une locataire m'a fait un procès parce que j'ai refusé son préavis réduit
elle a reçu des conseils de personnes qui ont certainement voulu l'aider
mais aujourd'hui elle va perdre et devoir en plus me verser des indemnités
même un avocat malin à accepté de la "défendre", ses arguments sont tellement ridicules que ça vous ferait rigoler (en attendant il a encaisse l'aide juridictionnelle et ne s'est pas présenté au proces)
bref
tout ca pour dire que de vouloir aider il ne faut pas prendre le risque de mettre les gens dans des situation graves...
si non je suis tout a fait d'accord avec toutes vos autres réponses
cordialement
Voici le contenu de mon message :
"Par le biais d'une recherche Google, je tombe sur ce dépliant (voir pièce jointe) qui apparemment émane de votre site dans la catégorie "anciens dépliants" concernant les logements meublés et qui dit :
"Mais on peut trouver, par exemple, une durée de trois mois renouvelable
de manière tacite, ou d'un an ferme, avec l'impossibilité pour
le locataire de quitter les lieux avant que cette année ne soit écoulée
sans préjudice financier.
Dans ce cas, s'il y a rupture de la location avant son terme, le paiement
des loyers est dû par le locataire jusqu'au terme prévu."
Ce qui signifie visiblement qu'un locataire ayant un bail d'un an ferme en meublé ne peut quitter son logement avant l'année en question à moins de devoir des indemnités au bailleur équivalente aux loyers restant dus jusqu'à la fin du bail.
Or, ceci est en contradiction avec, entre autres, le CCH qui dit bien que le locataire est en droit de quitter le logement à tout moment.
Aujourd'hui, de nombreuses résidences hôtelières pour étudiants, ou des résidences HLM, ou des bailleurs privés incluent dans leur contrat de bail cette clause selon laquelle le locataire ne peut pas quitter les lieux avant la fin du bail ferme (généralement d'un an, mais peut être aussi de 9 mois), à moins de payer une indemnité équivalente soit à trois mois de loyer, soit aux loyers restant dus jusqu'à la fin du mois.
J'aimerais faire le point une bonne fois pour toutes car je rencontre de nombreux locataires (étudiants ou pas) qui restent bloqués par cette interdiction de quitter les lieux à moins de devoir une indemnité qui pourrait les mettre en difficultés.
Alors je pose la question : en location meublée, le bailleur peut-il, oui ou non, imposer une durée ferme du bail et une indemnité à devoir en cas de rupture anticipée ? est-ce légal ? et si oui : sur quelles bases légales et réglementaires cela s'appuie-t-il ?"
J'ai en plus demandé à la DGCCRF s'il s'agissait d'une clause abusive.
Mais je viens de m'apercevoir que je n'ai pas parlé d'habitation principale/secondaire ... j'espère qu'ils vont tilter !! :)
C'est quoi, exactement, votre cas ? pourquoi n'a-t-elle pas droit au préavis réduit ?
"Par le biais d'une recherche Google, je tombe sur ce dépliant (voir pièce jointe) qui apparemment émane de votre site dans la catégorie "anciens dépliants" concernant les logements meublés et qui dit :
"Mais on peut trouver, par exemple, une durée de trois mois renouvelable
de manière tacite, ou d'un an ferme, avec l'impossibilité pour
le locataire de quitter les lieux avant que cette année ne soit écoulée
sans préjudice financier.
Dans ce cas, s'il y a rupture de la location avant son terme, le paiement
des loyers est dû par le locataire jusqu'au terme prévu."
Ce qui signifie visiblement qu'un locataire ayant un bail d'un an ferme en meublé ne peut quitter son logement avant l'année en question à moins de devoir des indemnités au bailleur équivalente aux loyers restant dus jusqu'à la fin du bail.
Or, ceci est en contradiction avec, entre autres, le CCH qui dit bien que le locataire est en droit de quitter le logement à tout moment.
Aujourd'hui, de nombreuses résidences hôtelières pour étudiants, ou des résidences HLM, ou des bailleurs privés incluent dans leur contrat de bail cette clause selon laquelle le locataire ne peut pas quitter les lieux avant la fin du bail ferme (généralement d'un an, mais peut être aussi de 9 mois), à moins de payer une indemnité équivalente soit à trois mois de loyer, soit aux loyers restant dus jusqu'à la fin du mois.
J'aimerais faire le point une bonne fois pour toutes car je rencontre de nombreux locataires (étudiants ou pas) qui restent bloqués par cette interdiction de quitter les lieux à moins de devoir une indemnité qui pourrait les mettre en difficultés.
Alors je pose la question : en location meublée, le bailleur peut-il, oui ou non, imposer une durée ferme du bail et une indemnité à devoir en cas de rupture anticipée ? est-ce légal ? et si oui : sur quelles bases légales et réglementaires cela s'appuie-t-il ?"
J'ai en plus demandé à la DGCCRF s'il s'agissait d'une clause abusive.
Mais je viens de m'apercevoir que je n'ai pas parlé d'habitation principale/secondaire ... j'espère qu'ils vont tilter !! :)
C'est quoi, exactement, votre cas ? pourquoi n'a-t-elle pas droit au préavis réduit ?
ok j'apprécie le contenu de votre question qui n'est pas orientée
je vous remercie d'avoir fait cette démarche et j'espère que vous nous en livrez la réponse
mon cas est celui d'une personne qui n'a envoyé un courrier disant qu'elle souhaite quitter le logement et que son préavis est de 3 mois à dater de la reception...mais que si elle trouve un nouvel emploi (étant au chômage) son préavis pourra être d'un mois
ce à quoi j'ai répondu oui mais vous devez m'envoyer un nouveau courrier pour faire valoir ce droit (ce que cette personne à refusé d'admettre prétextant que le 1er courrier envoyé suffisait à faire valoir soit le préavis normal de 3 mois soit celui de 1mois) elle a quitté le logement 1 mois après la réception du courrier en revoyant ses clefs par courrier et en joignant un justificatif d'embauche
je n'ai pas rendu le DG pour payement de l'exécution du préavis, cette personne maintient qu'elle n'avait pas a justifier de sa situation (la preuve pouvant être tardive) et que le justificatif joint aux clefs faisant tomber à un mois la durée du préavis à partir de son préavis initial je retiendrais indument le DG...
alors même que la forme du courrier reçu est contestable, il s'avère en plus que le préavis réduit ne peut être demandé que lorsque l'événement invoqué s'est produit (CAD que la demande pour un nouvel emploi n'est possible qu'a partir du moment ou le nouvel emploi est trouvé, pas dans l'éventualité ou il serait trouvé...)
donc le préavis qu'elle m'avait donné n'était pas acceptable comme préavis réduit... et elle l'aura dans le baba
mais elle a trouvé un gentil avocat qui m'écrit que le DG ne peut pas servir a payer le loyer (c'est une obligation du locataire pas du propriétaire) qui refuse d'entendre que le préavis donné n'est pas valable, et qui en plus n'envoie un justificatif d'embauche (identique à celui reçu) mais étrangement daté d'une autre date que celui qui m'a été envoyé... leurs arguments sont criblés de mensonges visiblement grotesques...
bref du grand n'importe quoi, mais je tient bon et je pense vraiment que je vais gagner
je vous remercie d'avoir fait cette démarche et j'espère que vous nous en livrez la réponse
mon cas est celui d'une personne qui n'a envoyé un courrier disant qu'elle souhaite quitter le logement et que son préavis est de 3 mois à dater de la reception...mais que si elle trouve un nouvel emploi (étant au chômage) son préavis pourra être d'un mois
ce à quoi j'ai répondu oui mais vous devez m'envoyer un nouveau courrier pour faire valoir ce droit (ce que cette personne à refusé d'admettre prétextant que le 1er courrier envoyé suffisait à faire valoir soit le préavis normal de 3 mois soit celui de 1mois) elle a quitté le logement 1 mois après la réception du courrier en revoyant ses clefs par courrier et en joignant un justificatif d'embauche
je n'ai pas rendu le DG pour payement de l'exécution du préavis, cette personne maintient qu'elle n'avait pas a justifier de sa situation (la preuve pouvant être tardive) et que le justificatif joint aux clefs faisant tomber à un mois la durée du préavis à partir de son préavis initial je retiendrais indument le DG...
alors même que la forme du courrier reçu est contestable, il s'avère en plus que le préavis réduit ne peut être demandé que lorsque l'événement invoqué s'est produit (CAD que la demande pour un nouvel emploi n'est possible qu'a partir du moment ou le nouvel emploi est trouvé, pas dans l'éventualité ou il serait trouvé...)
donc le préavis qu'elle m'avait donné n'était pas acceptable comme préavis réduit... et elle l'aura dans le baba
mais elle a trouvé un gentil avocat qui m'écrit que le DG ne peut pas servir a payer le loyer (c'est une obligation du locataire pas du propriétaire) qui refuse d'entendre que le préavis donné n'est pas valable, et qui en plus n'envoie un justificatif d'embauche (identique à celui reçu) mais étrangement daté d'une autre date que celui qui m'a été envoyé... leurs arguments sont criblés de mensonges visiblement grotesques...
bref du grand n'importe quoi, mais je tient bon et je pense vraiment que je vais gagner
Bailleurx,
Bien sûr que je vous en livrerai la réponse quand je l'aurai.
Dans votre cas, il n'y a, je pense, aucun malentendu possible : clairement, elle n'a pas posé le préavis dans les formes et si le locataire ne peut pas utiliser son DG comme paiement des loyers, le propriétaire lui, peut utiliser le DG comme paiement d'un impayé. Je pense aussi que vous avez de bonnes chances de gagner ...
Bien sûr que je vous en livrerai la réponse quand je l'aurai.
Dans votre cas, il n'y a, je pense, aucun malentendu possible : clairement, elle n'a pas posé le préavis dans les formes et si le locataire ne peut pas utiliser son DG comme paiement des loyers, le propriétaire lui, peut utiliser le DG comme paiement d'un impayé. Je pense aussi que vous avez de bonnes chances de gagner ...