Crédit à la consommation

Gigi - 27 mars 2012 à 15:23
 Gigi - 27 mars 2012 à 16:33
Bonjour,

une organisme de crédit me réclame une dette au bout de 16 ans sans nouvelles. que j'avais contracté pour l'achat d'un véhicule. suite à des problèmes financiers je n'ai plus eu les moyens de payer. le mois dernier cette société m'a réclamé ce crédit. il m'ont fait parvenir un courrier avec un échéancier, ne connaissant pas mes droits à ce moment là je n'ai pas pris l'initiative d'aller faire une cherche sur un internet pour en savoir plus et malheureusement je leur ait envoyé un chèque. Après une recherche sur ce site je constate que cette société avait un délais maximum de deux ans pour e réclamer le paiement de cette dette. Voilà ma question puis-je maintenant que je me suis un peu plus renseigné sur mes droits décidé de ne pas envoyer d'autre chèques et voir la réaction de cette société où suis-je à cause de ce malencontreux moment de panique désormais obligé de payer le reste car l'envoi de mon chèque est vu comme une acceptation de cette dette est ainsi obliger de rembourser tout?
Merci d'avance pour vos réponses.

2 réponses

Afrikarnak Messages postés 35513 Date d'inscription lundi 12 octobre 2009 Statut Contributeur Dernière intervention 6 décembre 2024 12 092
Modifié par Afrikarnak le 27/03/2012 à 16:03
Bonjour..
Effectivement il y avait forclusion...
Ce ne peut être considéré comme 'reconnaissance de dette' que si un Tribunal en décide ainsi... Vois un Juriste il doit y avoir des astuces pour éviter ce piège... Montant du Principal (Rappel: prescription de 5 ans sur les intérêts éventuels..)??
A+
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Merci pour ta réponse. Le montant que je dois et d'un peu plus de 3000€ ils m'ont bien précisé la dernière fois qu'ils ont téléphoné qu'il n y avait pas d'intérêts (ce qui me parait quand même étrange.). Je pense que tu à raison et que je vais aller voir un juriste qui pourra me renseigner et me donner des astuces pour éviter le piège de décider de ne plus rien envoyer car la la forclusion repartirait de ce moment et je me serait fait avoir.
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