Marie un enfant d un autre homme
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babette
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samgunsjovirow Messages postés 45905 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
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Bonjour, je suis marie et je suis enceinte de mon amant es que mon amant peut t il reconnaitre l enfant es que mon enfant poura t il porte son nom
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8 réponses
Votre mari accepte que vous soyez enceinte d'un autre homme ?... Et qu'en plus, vous vouliez que cet enfant est le nom de l'homme avec qui vous le trompez...
Et bah dis donc....
Et bah dis donc....
OUps
pauvre gosse.....
cet enfant sera légalement le fils de votre mari puisque vous êtes marié.Si vous voulez qu'il soit le fils de votre amant et porte son nom il faudra divorcer vous remarier avec votre amant et faire une contestation de paternité.
Si votre mari ne reconnait pas l'enfant, tout dépendra de ce que vous aurez prévu de faire.
1- Si vous êtes la première à faire la reconnaissance anticipée, il portera votre nom de naissance.
2- Si votre amant le reconnait le premier, l'enfant portera son nom.
3 - Si vous et votre amant reconnaissez l'enfant en même temps, vous serez libre de faire une demande conjointe pour choisir le nom de votre enfant : ça pourra être le votre ou celui de votre amant ou bien encore les deux noms accolés dans l'ordre que vous choisirez.
En l'absence de demande conjointe du choix du nom, c'est le nom de votre amant qui sera donné à l'enfant.
Cordialement
1- Si vous êtes la première à faire la reconnaissance anticipée, il portera votre nom de naissance.
2- Si votre amant le reconnait le premier, l'enfant portera son nom.
3 - Si vous et votre amant reconnaissez l'enfant en même temps, vous serez libre de faire une demande conjointe pour choisir le nom de votre enfant : ça pourra être le votre ou celui de votre amant ou bien encore les deux noms accolés dans l'ordre que vous choisirez.
En l'absence de demande conjointe du choix du nom, c'est le nom de votre amant qui sera donné à l'enfant.
Cordialement
Bonsoir,
Oui votre amant peut tout à fait reconnaître son enfant bien que vous soyez mariée à un autre homme
Il faut qu'il se rende à l'état civil pour faire une reconnaissance anticipée muni de sa pièce d'identité et il obtiendra une copie de l'acte.
Pour que l'enfant puisse porter son nom il ne faut pas que vous vous fassiez une reconnaissance anticipée avant lui
https://www.service-public.fr
Cordialement
Oui votre amant peut tout à fait reconnaître son enfant bien que vous soyez mariée à un autre homme
Il faut qu'il se rende à l'état civil pour faire une reconnaissance anticipée muni de sa pièce d'identité et il obtiendra une copie de l'acte.
Pour que l'enfant puisse porter son nom il ne faut pas que vous vous fassiez une reconnaissance anticipée avant lui
https://www.service-public.fr
Cordialement
bonsoir,
"La reconnaissance par le père ne produit aucun effet si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci, et que ce dernier le traite comme son enfant."
Je ne suis pas d'accord avec vous guss, la reconnaissance anticipée de l'amant est tout à fait légale et entraîne sans contestation possible des droits et des devoirs pour le père biologique, même si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci.
Cordialement
"La reconnaissance par le père ne produit aucun effet si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci, et que ce dernier le traite comme son enfant."
Je ne suis pas d'accord avec vous guss, la reconnaissance anticipée de l'amant est tout à fait légale et entraîne sans contestation possible des droits et des devoirs pour le père biologique, même si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci.
Cordialement
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Bonsoir,
Si la mère est mariée et le père n'est pas son mari : le père, ou la mère sous son nom de jeune fille, ou les deux ensemble.
Dans ce cas :
La reconnaissance par le père ne produit aucun effet si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci, et que ce dernier le traite comme son enfant.
Si la mère est mariée et le père n'est pas son mari : le père, ou la mère sous son nom de jeune fille, ou les deux ensemble.
Dans ce cas :
La reconnaissance par le père ne produit aucun effet si l'enfant vit avec sa mère et le mari de celle-ci, et que ce dernier le traite comme son enfant.
Bonjour..
Quand la mère est mariée et non-séparée la filiation est automatique... Autrement dit l'enfant est présumé être fils du mari..
Voir ici les règles relatives aux parents mariés:
https://www.service-public.fr
Babette n'a pas précisé si elle est séparée d'où la confusion des réponses.. Le mieux serait de consulter un Juriste (Gratos en Mairie ou Greffe..).
A+
Quand la mère est mariée et non-séparée la filiation est automatique... Autrement dit l'enfant est présumé être fils du mari..
Voir ici les règles relatives aux parents mariés:
https://www.service-public.fr
Babette n'a pas précisé si elle est séparée d'où la confusion des réponses.. Le mieux serait de consulter un Juriste (Gratos en Mairie ou Greffe..).
A+
Ce n'est pas ce que dit la loi :
La présomption de paternité est écartée lorsque l'acte de naissance de l'enfant ne désigne pas le mari en qualité de père. Elle est encore écartée, en cas de demande en divorce ou en séparation de corps, lorsque l'enfant est né plus de trois cents jours après la date soit de l'homologation de la convention réglant l'ensemble des conséquences du divorce ou des mesures provisoires prises en application de l'article 250-2 , soit de l'ordonnance de non-conciliation, et moins de cent quatre-vingts jours depuis le rejet définitif de la demande ou la réconciliation.
https://www.alexia.fr/
La présomption de paternité est écartée lorsque l'acte de naissance de l'enfant ne désigne pas le mari en qualité de père. Elle est encore écartée, en cas de demande en divorce ou en séparation de corps, lorsque l'enfant est né plus de trois cents jours après la date soit de l'homologation de la convention réglant l'ensemble des conséquences du divorce ou des mesures provisoires prises en application de l'article 250-2 , soit de l'ordonnance de non-conciliation, et moins de cent quatre-vingts jours depuis le rejet définitif de la demande ou la réconciliation.
https://www.alexia.fr/
Re:
Après examen des textes du Code Civil effectivement s'il y a 'reconnaissance anticipée' par le père biologique c'est son nom qui apparaîtra sur l'Acte de naissance...
Mais on peut supposer qq problèmes par la suite.. Il peut y avoir contestation et au final un test ADN prescrit par le JAF... Ce test établira de façon définitive la filiation (A moins que le père légal ne conteste pas..).
A+
Après examen des textes du Code Civil effectivement s'il y a 'reconnaissance anticipée' par le père biologique c'est son nom qui apparaîtra sur l'Acte de naissance...
Mais on peut supposer qq problèmes par la suite.. Il peut y avoir contestation et au final un test ADN prescrit par le JAF... Ce test établira de façon définitive la filiation (A moins que le père légal ne conteste pas..).
A+
re,
Effectivement il y a aura un problème après, si le mari venait à déclarer lui aussi l'enfant.
Lorsqu'il y a deux reconnaissances paternelles pour le même enfant, l'officier de l'état civil s'en aperçoit au moment de la mention de reconnaissance à apposer en marge de son acte de naissance.
Devant la situation anormale, l'officier d'état civil soumet le problème au procureur de la république et ce dernier avertit l'homme qui aura déclaré l'enfant en second que sa reconnaissance ne peut pas être mentionné en marge de l'acte de naissance et lui indiquera la raison et les recours possibles.
Cordialement
Effectivement il y a aura un problème après, si le mari venait à déclarer lui aussi l'enfant.
Lorsqu'il y a deux reconnaissances paternelles pour le même enfant, l'officier de l'état civil s'en aperçoit au moment de la mention de reconnaissance à apposer en marge de son acte de naissance.
Devant la situation anormale, l'officier d'état civil soumet le problème au procureur de la république et ce dernier avertit l'homme qui aura déclaré l'enfant en second que sa reconnaissance ne peut pas être mentionné en marge de l'acte de naissance et lui indiquera la raison et les recours possibles.
Cordialement
Bonjour,
Au fil de la discussion, il semble convenu que l'amant d'une femme mariée peut faire une reconnaissance anticipée. Vous ne dites rien cependant des conséquences à la fois juridiques et pratiques : qui élève l'enfant ? Et qui le décide, le juge ? Quels seront les devoirs et les droits de l'amant ? Merci de répondre sur cette question de principe.
Question contextuelle et précisions : je suis a priori et très probablement dans cette situation d'amant père biologique. Mon amante fait tout (vraiment tout) pour affirmer que son mari est le père de l'enfant, après avoir souhaité en avoir un avec moi et dit qu'elle divorcerait, etc. J'ai cependant suffisamment d'éléments pour douter raionnablement de la paternité de son mari. Ceci étant, je ne peux pas être absolument sûr à 100 %, pas plus qu'elle d'ailleurs. Le doute est à deux jours près, dans la marge d'erreur de la première échographie, en février dernier (la date de naissance serait une bonne confirmation mais ce sera un peu tard pour une reconnaissance anticipée !). Je suis prêt à faire un test adn à la naissance, ce qui règlerait cette difficulté, mais elle ne le souhaite pas. Ma question est donc : si je reconnais l'enfant de manière anticipée et que je ne suis finalement pas le père, suis-je condamnable, ou comment prouver ma bonne foi. Il n'y a pas vraiment de preuves au sens juridique du terme pour être sûr et certain et par ailleurs, ce n'est pas mon amante qui m'aidera.
Quant à moi, je n'ai pas peur de reconnaître l'enfant et d'assumer mes devoirs et mes droits. Hors ces aspects juridiques, je m'inquiète cependant pour la bonne santé de l'enfant. Elle va arriver dans un contexte difficile. Soit je suis le père reconnu, test adn compris, et il y aura conflit, avec le mari, les familles et surtout avec la mère. Soit je suis le père biologique non reconnu et l'enfant sera élevée dans le non-dit et le secret de sa mère (à elle, au mari et aux familles), ce que je trouve peu souhaitable.
Une autre solution consisterait à abandonner aujourd'hui, attendre la date de naissance comme indication supplémentaire et à donner les moyens à l'enfant devenue jeune adulte de faire un test adn (un coton tige en héritage...).
Merci de m'avoir lu et des réponses que vous pourrez formuler.
Au fil de la discussion, il semble convenu que l'amant d'une femme mariée peut faire une reconnaissance anticipée. Vous ne dites rien cependant des conséquences à la fois juridiques et pratiques : qui élève l'enfant ? Et qui le décide, le juge ? Quels seront les devoirs et les droits de l'amant ? Merci de répondre sur cette question de principe.
Question contextuelle et précisions : je suis a priori et très probablement dans cette situation d'amant père biologique. Mon amante fait tout (vraiment tout) pour affirmer que son mari est le père de l'enfant, après avoir souhaité en avoir un avec moi et dit qu'elle divorcerait, etc. J'ai cependant suffisamment d'éléments pour douter raionnablement de la paternité de son mari. Ceci étant, je ne peux pas être absolument sûr à 100 %, pas plus qu'elle d'ailleurs. Le doute est à deux jours près, dans la marge d'erreur de la première échographie, en février dernier (la date de naissance serait une bonne confirmation mais ce sera un peu tard pour une reconnaissance anticipée !). Je suis prêt à faire un test adn à la naissance, ce qui règlerait cette difficulté, mais elle ne le souhaite pas. Ma question est donc : si je reconnais l'enfant de manière anticipée et que je ne suis finalement pas le père, suis-je condamnable, ou comment prouver ma bonne foi. Il n'y a pas vraiment de preuves au sens juridique du terme pour être sûr et certain et par ailleurs, ce n'est pas mon amante qui m'aidera.
Quant à moi, je n'ai pas peur de reconnaître l'enfant et d'assumer mes devoirs et mes droits. Hors ces aspects juridiques, je m'inquiète cependant pour la bonne santé de l'enfant. Elle va arriver dans un contexte difficile. Soit je suis le père reconnu, test adn compris, et il y aura conflit, avec le mari, les familles et surtout avec la mère. Soit je suis le père biologique non reconnu et l'enfant sera élevée dans le non-dit et le secret de sa mère (à elle, au mari et aux familles), ce que je trouve peu souhaitable.
Une autre solution consisterait à abandonner aujourd'hui, attendre la date de naissance comme indication supplémentaire et à donner les moyens à l'enfant devenue jeune adulte de faire un test adn (un coton tige en héritage...).
Merci de m'avoir lu et des réponses que vous pourrez formuler.
@ hom
Bonsoir,
Si vous avez eu des relations sexuelles durant la période de conception, vous pouvez faire la reconnaissance anticipée.
A charge à la mère de l'enfant ou au mari d'apporter la preuve que vous ne pouvez pas être le père.
Néanmoins, pour vous défendre après, il faudra apporter des preuves de cette relation. Ensuite si vous perdez, dans le cas où elle avait bien deux partenaires sexuels dans le même temps, il est possible que vous ne soyez pas sanctionné puisque le doute était légitime (enfin c'est mon point de vue, rien ne vous empêche de consulter un avocat avant de prendre votre décision)
Cordialement
Bonsoir,
Si vous avez eu des relations sexuelles durant la période de conception, vous pouvez faire la reconnaissance anticipée.
A charge à la mère de l'enfant ou au mari d'apporter la preuve que vous ne pouvez pas être le père.
Néanmoins, pour vous défendre après, il faudra apporter des preuves de cette relation. Ensuite si vous perdez, dans le cas où elle avait bien deux partenaires sexuels dans le même temps, il est possible que vous ne soyez pas sanctionné puisque le doute était légitime (enfin c'est mon point de vue, rien ne vous empêche de consulter un avocat avant de prendre votre décision)
Cordialement
La législation juridique et financière évolue en permanence...