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fanchb29
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24 août 2010 à 21:36
24 août 2010 à 21:36
Helas pour vous, même s'il s'agit d'une erreur de l'administration, elle a le droit de vous réclamée le remboursement du trop-perçu et ceci en remontant 30 ans en arrière.
Il est anormal que l'administration est mis si longtemps à se rendre compte de son erreur mais n'ayant pas d'écrit pour justifier de cette prime, il ne vous sera pas possible d'en justifier la véracité de son obtention.
Un échéancier est pour toi la meilleure solution pour éviter que l'administration demande un prélèvement de la totalité de la somme en 1 seule fois.
Il est anormal que l'administration est mis si longtemps à se rendre compte de son erreur mais n'ayant pas d'écrit pour justifier de cette prime, il ne vous sera pas possible d'en justifier la véracité de son obtention.
Un échéancier est pour toi la meilleure solution pour éviter que l'administration demande un prélèvement de la totalité de la somme en 1 seule fois.
J'ai fais une recherche sur internet et s'il était vrai que l'Etat pouvait récupérer sans limite, une jurisprudence datant de 2002 a établi de nouvelles règles :
Un trop perçu peut résulter :
1) soit d'une simple erreur dans la liquidation, non créatrice de droit, le salarié doit rembourser (c a dire quand l'administration verse par erreur une somme sans avis explicite. Ce qui n'est pas mon cas je pense puisque cette décision a été prise par rapport à un décret n° 2000-56 du 19/01/2000 article 2 et que cela apparaît sur mon bulletin de salaire en tant que "compensatrice article 2",
2) soit d'une décision illégale, mais créatrice de droit (s'il y a une décision explicite de l'administration, formalisée par un document (avis de promotion...) Mais la mention d'une indemnité sur le bulletin de paie peut aussi suffire à créer ce droit, dans ce cas, l'administration n'aurait pu la remettre en cause que dans les 4 mois suivant le début de son exécution. Au-delà elle n'est plus en droit de réclamer les sommes en question.
Par contre ce n'est pas une décision illégale et c'est l'administration qui nous l'a proposée.... je ne sais pas si j'interprète bien cette loi ?
Un trop perçu peut résulter :
1) soit d'une simple erreur dans la liquidation, non créatrice de droit, le salarié doit rembourser (c a dire quand l'administration verse par erreur une somme sans avis explicite. Ce qui n'est pas mon cas je pense puisque cette décision a été prise par rapport à un décret n° 2000-56 du 19/01/2000 article 2 et que cela apparaît sur mon bulletin de salaire en tant que "compensatrice article 2",
2) soit d'une décision illégale, mais créatrice de droit (s'il y a une décision explicite de l'administration, formalisée par un document (avis de promotion...) Mais la mention d'une indemnité sur le bulletin de paie peut aussi suffire à créer ce droit, dans ce cas, l'administration n'aurait pu la remettre en cause que dans les 4 mois suivant le début de son exécution. Au-delà elle n'est plus en droit de réclamer les sommes en question.
Par contre ce n'est pas une décision illégale et c'est l'administration qui nous l'a proposée.... je ne sais pas si j'interprète bien cette loi ?