1 réponse
Bonjour,
Oui, quand on vit en union libre (c'est quand même plus joli que "concubinage" !) on n'hérite pas de son compagnon. C'est comme ça.
Plus ennuyeux, on ne peut pas non plus léguer vraiment à son gré. Par exemple, votre compagnon ayant 2 enfants ne peut disposer à votre égard que d' 1/3 de son patrimoine (quotité disponible). Vous êtes jeune et en cas de disparition prématurée de votre ami, le simple droit d'usage et d'habitation (même pas l'usufruit) risque excéder cette quotité disponible. Quant à pouvoir vendre...
On n'oubliera pas deux choses :
- Les droits de succession entre "concubins" sont prohibitifs (60 %) ;
- Le fils de votre ami ou plutôt sa mère...
Maintenant quelques idées :
- Le mariage (chic, on fait la fête !), assorti d'une donation entre époux ;
- Le PACS, complété par un testament (ou plus exactement, un chacun) ;
- Assurer le risque par une assurance-décès (une chacun ou une "deux têtes) pour pouvoir instantanément racheter les parts indivises des enfants (licitation).
Cordialement.
Oui, quand on vit en union libre (c'est quand même plus joli que "concubinage" !) on n'hérite pas de son compagnon. C'est comme ça.
Plus ennuyeux, on ne peut pas non plus léguer vraiment à son gré. Par exemple, votre compagnon ayant 2 enfants ne peut disposer à votre égard que d' 1/3 de son patrimoine (quotité disponible). Vous êtes jeune et en cas de disparition prématurée de votre ami, le simple droit d'usage et d'habitation (même pas l'usufruit) risque excéder cette quotité disponible. Quant à pouvoir vendre...
On n'oubliera pas deux choses :
- Les droits de succession entre "concubins" sont prohibitifs (60 %) ;
- Le fils de votre ami ou plutôt sa mère...
Maintenant quelques idées :
- Le mariage (chic, on fait la fête !), assorti d'une donation entre époux ;
- Le PACS, complété par un testament (ou plus exactement, un chacun) ;
- Assurer le risque par une assurance-décès (une chacun ou une "deux têtes) pour pouvoir instantanément racheter les parts indivises des enfants (licitation).
Cordialement.
28 janv. 2009 à 13:28
merci de votre réponse, maintenant j'ai pas tout compris :
"On n'oubliera pas deux choses :
- Les droits de succession entre "concubins" sont prohibitifs (60 %) ;
- Le fils de votre ami ou plutôt sa mère... "
pourquoi me parler de son ex-femme?
et si mon ami decede, je peux vendre la maison pour que ses heritiers puissent avoir leur part?
cordialement