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Pomaikai
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26 sept. 2008 à 00:03
Pomaikai Messages postés 33 Date d'inscription vendredi 26 septembre 2008 Statut Membre Dernière intervention 2 novembre 2008 - 27 sept. 2008 à 16:10
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kikietfranck
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29 juin 2012
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26 sept. 2008 à 03:04
26 sept. 2008 à 03:04
Bonjour,
Si votre ex demande un réamènagement du droit de visite auprès du tribunal, il a toutes les chances de l'obtenir. En effet, les tribunaux seront enclins à satisfaire un père qui assume ses devoirs en prenant régulièrement ses enfants malgré le fait qu'il réside à 300 km. Ils ne voient pas ça tous les jours ! Vos arguments concernant des écarts d'horaires de faible importance, n'auront aucun impact sur les juges, qui risquent de vous considérer comme faisant preuve de mauvaise volonté et que vous n'agissez ainsi que pour "embêter" votre ex.
Le droit de visite, comme son nom l'indique est un droit, pas une obligation. Les juges détestent intervenir dans des conflits mineurs de couples qui pourraient résoudre eux-mêmes leurs problèmes, sans faire appel à eux.
Le droit de visite ne s'applique pas montre en mains, c'est aux parents de se comporter en personnes responsables, et de prévenir l'autre parent quand il y a un retard ou un imprévu. Le fait que votre ex ramène les enfants plus tôt ne peut lui être reproché sur un plan juridique. Il a droit à 48h maximum, mais a tout-à-fait le droit de les prendre moins longtemps s'il le souhaite.
Le seul argument à opposer aux juges est l'intérêt de l'enfant, et bien sûr, sa sécurité. S'il n'expose pas vos enfants à un réel danger, vous ne pourrez pas faire grand-chose. Votre ex pourrait même dire au juge que c'est votre intransigeance qui met les enfants en danger, puisque votre refus de le laisser les ramener à 18h l'oblige à les laisser seuls. Tout ce que vous pouvez demander, c'est qu'il prenne les enfants à partir de 19h, en raison de vos horaires de travail, mais vous serez obligée d'accepter qu'il les ramène à 18h. Ceci dit, je ne vois pas bien en quoi cela pose un problème, à partir du moment où vous en êtes avertie à l'avance.
Comment se passent les relations entre le père et ses enfants ? Vous dites que le grand était furieux et la petite en pleurs, mais pourquoi ? Quand on songe à tous les pères divorcés qui renoncent trés vite à prendre régulièrement leurs enfants, on pourrait se dire que les votres ont de la chance. Si votre fils ne veut pas voir son père pour une quelconque raison, il peut demander à être reçu par un juge pour enfants.
Je terminerai en vous conseillant de trouver un arrangement avec votre ex, sans passer par le tribunal. Ne perdez pas de vue que votre ex pourrait tout-à-fait demander que les enfants soient hébergés chez lui, à son domicile éloigné. Je l'ai vécu avec mes enfants, et croyez-moi, c'était difficile pour eux de passer des heures et des heures dans le train, sans pouvoir faire les devoirs et pour ne profiter que peu de temps de leur père.
Si votre ex demande un réamènagement du droit de visite auprès du tribunal, il a toutes les chances de l'obtenir. En effet, les tribunaux seront enclins à satisfaire un père qui assume ses devoirs en prenant régulièrement ses enfants malgré le fait qu'il réside à 300 km. Ils ne voient pas ça tous les jours ! Vos arguments concernant des écarts d'horaires de faible importance, n'auront aucun impact sur les juges, qui risquent de vous considérer comme faisant preuve de mauvaise volonté et que vous n'agissez ainsi que pour "embêter" votre ex.
Le droit de visite, comme son nom l'indique est un droit, pas une obligation. Les juges détestent intervenir dans des conflits mineurs de couples qui pourraient résoudre eux-mêmes leurs problèmes, sans faire appel à eux.
Le droit de visite ne s'applique pas montre en mains, c'est aux parents de se comporter en personnes responsables, et de prévenir l'autre parent quand il y a un retard ou un imprévu. Le fait que votre ex ramène les enfants plus tôt ne peut lui être reproché sur un plan juridique. Il a droit à 48h maximum, mais a tout-à-fait le droit de les prendre moins longtemps s'il le souhaite.
Le seul argument à opposer aux juges est l'intérêt de l'enfant, et bien sûr, sa sécurité. S'il n'expose pas vos enfants à un réel danger, vous ne pourrez pas faire grand-chose. Votre ex pourrait même dire au juge que c'est votre intransigeance qui met les enfants en danger, puisque votre refus de le laisser les ramener à 18h l'oblige à les laisser seuls. Tout ce que vous pouvez demander, c'est qu'il prenne les enfants à partir de 19h, en raison de vos horaires de travail, mais vous serez obligée d'accepter qu'il les ramène à 18h. Ceci dit, je ne vois pas bien en quoi cela pose un problème, à partir du moment où vous en êtes avertie à l'avance.
Comment se passent les relations entre le père et ses enfants ? Vous dites que le grand était furieux et la petite en pleurs, mais pourquoi ? Quand on songe à tous les pères divorcés qui renoncent trés vite à prendre régulièrement leurs enfants, on pourrait se dire que les votres ont de la chance. Si votre fils ne veut pas voir son père pour une quelconque raison, il peut demander à être reçu par un juge pour enfants.
Je terminerai en vous conseillant de trouver un arrangement avec votre ex, sans passer par le tribunal. Ne perdez pas de vue que votre ex pourrait tout-à-fait demander que les enfants soient hébergés chez lui, à son domicile éloigné. Je l'ai vécu avec mes enfants, et croyez-moi, c'était difficile pour eux de passer des heures et des heures dans le train, sans pouvoir faire les devoirs et pour ne profiter que peu de temps de leur père.
Pomaikai
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2 novembre 2008
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26 sept. 2008 à 07:47
26 sept. 2008 à 07:47
Merci de votre réponse.
Cependant si je m'accroche à ces horaires, c'est pour des raisons bien précises. Bien-sûr mon cas n'est pas aussi simple que ce que j'ai exposé.
S'il prenait les enfants le weekend pour les voir et passer du temps avec eux, encore je comprendrais, mais ce n'est pas le cas. Il les prends par obligation et quand son travail le lui permet. Et lui accorder 18h -18h, ce sera lui accorder 17h-17h plus tard.
Et moi dans tout cela ?
Et surtout les enfants ? Car les arguments qu'il leur avance, car c'est à eux qu'il les avance et pas à moi, puisque qu'il ne m'en a pas parlé depuis 4 ans, ne leur conviennent pas du tout et surtout la manière dont il les a exposés.
J'ai lu plusieurs forums où les pères se plaignaient que la mère était partie vivre à plusieurs centaines de kilomètres de chez eux sans les avertir.
Moi c'est le cas inverse. Et il n' a prévenu personne. Ni le juge le jour du divorce, ni moi-même et encore moins les enfants qu'il a mis devant le fait accompli.
"Votre ex pourrait même dire au juge que c'est votre intransigeance qui met les enfants en danger, puisque votre refus de le laisser les ramener à 18h l'oblige à les laisser seuls."
Sans accord mutuel, il me semble que l'on doit se tenir à la convention. Il est facile de mettre sur le dos d'une autre personne nos actes. Mais si cette personne n'est pas tenue au courant, elle ne peut pas en être responsable.
Je suis souple sur le fait qu'il ne prenne pas les enfants pendant un mois voir plus à cause de son travail, plus parce que je n'ai pas le choix. Mais c'est aussi une question de vie personnelle et d'équilibre. Je n'ai pas l'intention de laisser faire car je sais que les enfants seront perdants et moi aussi.
Cependant si je m'accroche à ces horaires, c'est pour des raisons bien précises. Bien-sûr mon cas n'est pas aussi simple que ce que j'ai exposé.
S'il prenait les enfants le weekend pour les voir et passer du temps avec eux, encore je comprendrais, mais ce n'est pas le cas. Il les prends par obligation et quand son travail le lui permet. Et lui accorder 18h -18h, ce sera lui accorder 17h-17h plus tard.
Et moi dans tout cela ?
Et surtout les enfants ? Car les arguments qu'il leur avance, car c'est à eux qu'il les avance et pas à moi, puisque qu'il ne m'en a pas parlé depuis 4 ans, ne leur conviennent pas du tout et surtout la manière dont il les a exposés.
J'ai lu plusieurs forums où les pères se plaignaient que la mère était partie vivre à plusieurs centaines de kilomètres de chez eux sans les avertir.
Moi c'est le cas inverse. Et il n' a prévenu personne. Ni le juge le jour du divorce, ni moi-même et encore moins les enfants qu'il a mis devant le fait accompli.
"Votre ex pourrait même dire au juge que c'est votre intransigeance qui met les enfants en danger, puisque votre refus de le laisser les ramener à 18h l'oblige à les laisser seuls."
Sans accord mutuel, il me semble que l'on doit se tenir à la convention. Il est facile de mettre sur le dos d'une autre personne nos actes. Mais si cette personne n'est pas tenue au courant, elle ne peut pas en être responsable.
Je suis souple sur le fait qu'il ne prenne pas les enfants pendant un mois voir plus à cause de son travail, plus parce que je n'ai pas le choix. Mais c'est aussi une question de vie personnelle et d'équilibre. Je n'ai pas l'intention de laisser faire car je sais que les enfants seront perdants et moi aussi.
tarasouris
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21 janvier 2011
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26 sept. 2008 à 09:51
26 sept. 2008 à 09:51
Bonjour ,
A la première lecture, j'étais tentée de répondre de la même façon : il y a déjà bien assez de soucis divers pour ne pas monter en épingle quelques "battements" entre l'heure officielle et l'heure possible, qui peut savoir si le premier carrefour sur la route ne sera pas bloqué pendant une heure par un accident ou l'un des enfants qui tardera à rentrer de son activité ... C'est notre lot à tous, dans un sens comme dans l'autre, et l'intransigeance devient vite intolérable .
A vous lire ensuite, il apparaît que le papa, par ses "abus" répétés et son "libre" exercice du D.V.H. à son seul avantage vous met, vos enfants et vous, à son entière disposition ... Toujours est-il qu'il semble quand même qu'il fait de son mieux, sans bien se rendre compte qu'il n'a pas la "manière de faire" surtout par rapport aux enfants !
Essayez de mettre le tout au clair avec lui, quels sont ses besoins et quels sont les vôtres, écrivez lui le résultat, quel qu'il soit, de cette discussion par RAR, précisant que vous-même organisez vos horaires de travail, que vous subissez des absences, certes, mais que l'inconnu de plus en plus fréquent des horaires se manifeste par le mécontentement et la perturbation de vos enfants ...
Bonne journée ,
--------------------------------------------------------------------
.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
A la première lecture, j'étais tentée de répondre de la même façon : il y a déjà bien assez de soucis divers pour ne pas monter en épingle quelques "battements" entre l'heure officielle et l'heure possible, qui peut savoir si le premier carrefour sur la route ne sera pas bloqué pendant une heure par un accident ou l'un des enfants qui tardera à rentrer de son activité ... C'est notre lot à tous, dans un sens comme dans l'autre, et l'intransigeance devient vite intolérable .
A vous lire ensuite, il apparaît que le papa, par ses "abus" répétés et son "libre" exercice du D.V.H. à son seul avantage vous met, vos enfants et vous, à son entière disposition ... Toujours est-il qu'il semble quand même qu'il fait de son mieux, sans bien se rendre compte qu'il n'a pas la "manière de faire" surtout par rapport aux enfants !
Essayez de mettre le tout au clair avec lui, quels sont ses besoins et quels sont les vôtres, écrivez lui le résultat, quel qu'il soit, de cette discussion par RAR, précisant que vous-même organisez vos horaires de travail, que vous subissez des absences, certes, mais que l'inconnu de plus en plus fréquent des horaires se manifeste par le mécontentement et la perturbation de vos enfants ...
Bonne journée ,
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Pomaikai
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2 novembre 2008
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26 sept. 2008 à 19:38
26 sept. 2008 à 19:38
Le seul soucis est qu'il est impossible de discuter avec lui. Je ne suis pas facile non plus je vous l'accorde ....
Et cette demande cache autre chose dont je ne suis pas sensée être au courant.
La question que je me pose maintenant est de savoir si j'accepte le 19h-18h, sachant que dans quelques mois il va me demander autre chose et comment va-t-il présenter la chose aux enfants, surtout à la petite, sachant qu'il m'accuse régulièrement d'influencer la grande, ce qui n'est pas le cas en tout cas de manière intentionnelle.
Ce que je vois aussi c'est que j'ai de moins en moins de temps pour moi et ce sera encore plus le cas avec ces horaires et rien ne l'empêchera de demander plus car je sais déjà que 18h ne lui convient pas.
"Toujours est-il qu'il semble quand même qu'il fait de son mieux, sans bien se rendre compte qu'il n'a pas la "manière de faire" surtout par rapport aux enfants ! "
Il a la manière de faire, il est seulement égoïste, le temps qu'il est supposé passer avec les enfants il le passe avec sa copine ( avec laquelle il vit), ses amis et les enfants se plaignent de ne pas passer de temps seul avec leur père. J'ai beau leur proposer qu'ils en discutent avec lui par téléphone ou par mail mais leur réponse est toujours la même. : il ramène tout le temps la discussion sur lui et sur sa vie avec sa copine et les enfants se sentent exclus (surtout les grands).
Maintenant je suis pour qu'il les prennent, je suis pour qu'il passe du temps avec les enfants mais il a fait un choix de vie et ce n'est pas aux enfants et encore moins à moi de l'assumer.
Et cette demande cache autre chose dont je ne suis pas sensée être au courant.
La question que je me pose maintenant est de savoir si j'accepte le 19h-18h, sachant que dans quelques mois il va me demander autre chose et comment va-t-il présenter la chose aux enfants, surtout à la petite, sachant qu'il m'accuse régulièrement d'influencer la grande, ce qui n'est pas le cas en tout cas de manière intentionnelle.
Ce que je vois aussi c'est que j'ai de moins en moins de temps pour moi et ce sera encore plus le cas avec ces horaires et rien ne l'empêchera de demander plus car je sais déjà que 18h ne lui convient pas.
"Toujours est-il qu'il semble quand même qu'il fait de son mieux, sans bien se rendre compte qu'il n'a pas la "manière de faire" surtout par rapport aux enfants ! "
Il a la manière de faire, il est seulement égoïste, le temps qu'il est supposé passer avec les enfants il le passe avec sa copine ( avec laquelle il vit), ses amis et les enfants se plaignent de ne pas passer de temps seul avec leur père. J'ai beau leur proposer qu'ils en discutent avec lui par téléphone ou par mail mais leur réponse est toujours la même. : il ramène tout le temps la discussion sur lui et sur sa vie avec sa copine et les enfants se sentent exclus (surtout les grands).
Maintenant je suis pour qu'il les prennent, je suis pour qu'il passe du temps avec les enfants mais il a fait un choix de vie et ce n'est pas aux enfants et encore moins à moi de l'assumer.
tarasouris
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26 sept. 2008 à 20:18
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Alors, il y a une chose à faire, qui m'est arrivée sans que je l'ai cherchée ni envisagée : la saisie du Juge des Enfants ;
vous avez un fils en âge de le faire, il peut tout à fait y inclure sa fratrie .
Ecrivez, par vous-même, un courrier simple exposant les faits qui rendent vos enfants perturbés et pour lesquels le rapport avec le papa devient difficile, les horaires de plus en plus perturbants, et le report qu'ils vous en font, légitimant votre inquiétude à leur sujet et la difficulté pour vous de "gérer" ce malaise .
Le Juge des Enfants n'est intéressé que par les situations des enfants eux-mêmes . N'évoquez donc pas les (certaines!) répercussions sur votre vie à vous, pour l'instant, le couple parental n'est, au départ, pas le pb du J.E. !
S'il décide de donner suite à votre courrier, vous serez entendues, avec vos enfants : à eux d' expliquer leur malaise, à vous de rester très neutre, tout en faisant savoir que vous êtes pour le contact avec le papa, mais que la situation vous semble de plus en plus problématique ... ( peut importe si, au premier rapport, on en déduira que vous êtes peut-être une femme encore jalouse, etc, j'y ai eu droit alors que j'avais déjà officieusement presque refait ma vie ! ) ; en tout cas, les enfants sont entendus, si une décision d' A.E.M.O. est prise, soyez partante et participante, vous aurez votre parole, les enfants la leur, le père la sienne ... Nous n'avons jamais eu à nous rencontrer, donc à nous confronter ! Et le jugement a été en faveur de mes filles, qui ne souhaitaient plus les w.ends tous les 15 jrs, etc ... leur père étant toujours absent et sa compagne indifférente à elles !
Un avis autre là-dessus ?
-----------------------------------------------------------------------
.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
vous avez un fils en âge de le faire, il peut tout à fait y inclure sa fratrie .
Ecrivez, par vous-même, un courrier simple exposant les faits qui rendent vos enfants perturbés et pour lesquels le rapport avec le papa devient difficile, les horaires de plus en plus perturbants, et le report qu'ils vous en font, légitimant votre inquiétude à leur sujet et la difficulté pour vous de "gérer" ce malaise .
Le Juge des Enfants n'est intéressé que par les situations des enfants eux-mêmes . N'évoquez donc pas les (certaines!) répercussions sur votre vie à vous, pour l'instant, le couple parental n'est, au départ, pas le pb du J.E. !
S'il décide de donner suite à votre courrier, vous serez entendues, avec vos enfants : à eux d' expliquer leur malaise, à vous de rester très neutre, tout en faisant savoir que vous êtes pour le contact avec le papa, mais que la situation vous semble de plus en plus problématique ... ( peut importe si, au premier rapport, on en déduira que vous êtes peut-être une femme encore jalouse, etc, j'y ai eu droit alors que j'avais déjà officieusement presque refait ma vie ! ) ; en tout cas, les enfants sont entendus, si une décision d' A.E.M.O. est prise, soyez partante et participante, vous aurez votre parole, les enfants la leur, le père la sienne ... Nous n'avons jamais eu à nous rencontrer, donc à nous confronter ! Et le jugement a été en faveur de mes filles, qui ne souhaitaient plus les w.ends tous les 15 jrs, etc ... leur père étant toujours absent et sa compagne indifférente à elles !
Un avis autre là-dessus ?
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26
27 sept. 2008 à 16:10
27 sept. 2008 à 16:10
Merci de votre réponse ;)
En fait il y a deux choses différentes ici :
- Son attitude envers les enfants
- Son attitude envers moi.
Je n'apprécie guère qu'il me force la main en partant une heure plus tôt et en laissant les enfants seuls.
Et çà je ne peux pas l'admettre.
En fait il y a deux choses différentes ici :
- Son attitude envers les enfants
- Son attitude envers moi.
Je n'apprécie guère qu'il me force la main en partant une heure plus tôt et en laissant les enfants seuls.
Et çà je ne peux pas l'admettre.