Vitime de harcèlement moral au travail
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ocflor123
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camille.t11 -
camille.t11 -
Bonjour,
Voilà deux semaines que je subi une pression énorme auprès de mon employeur.
Mon PDG monte systematiquement à mon bureau au moment où je m'octroie ma seule pose de 2 à 5 minutes dans ma journée pour discuter un peu avec mes collègues.
Au bout de la 2nde foi, il décide de me prendre à part en me faisant un sermon et me disant qu'il ne peut pas travailler avec des collaborateurs qui passent leur temps à discuter au lieu de travailler. Or, c'est un malheureux raccourci qu'il fait car les 98% du reste du temps, je suis à mon poste et j'en ai pour preuve les mails envoyés, les tâches demandées qui sont faites en temps et en heure.
Mon problème est multiple :
1/ J'ai l'intime conviction qu'un micro-caméra ou qu'un micro a été placé dans mon bureau. (Attrapée pendant ma pose 1 fois, é fois je veux bien mais je les ai compter voilà 7 fois qu'il est monté au moment où j'étais dans le bureau de mes collègues.
2/La 2ème fois qu'il a constaté que j'étais dans le bureau de mes collègues, il a fait une crise et a déboulé les 4 étages au sièges en disant à tout le monde que la dernière fois j'avais jurer que cela était une pure coïncidence, que j'étais tout le temps à mon poste.Il a dit à tout le monde "elle me prend pour un con, elle me casse les couilles!!!!"je le cite.
3/La semaine dernière, j'ai du consulter mon medecin qui m'a mise sous Lexomil en constatant un état depressif sous jacent. Je suis retourner travailler quand même en prenant sur moi mais hier s'en était de trop:
4/Je prend un appel, je dois faxer un doc et le lui citer par téléphone. Je précise qu'il s'agit d'une personne qui est en collaboration avec notre service. Je faxe. Il avait besoin d'un certain nb d'autre docs que je n'ai pas transmis attendant l'aval de ma responsable. Sorti de réunion, mon responsable m'appelle en me disant que sans accord préalable, je ne doit pas transmettre quelque doc que ce soit. Je tenteen vain de m'expliqueren commençant ma phrase par "Je pensais que" et me coupe alors la parole en me disant :"je ne vous demande pas de penser, je vous demande de faire, est-ce bien clair".C'est du harcèlement moral ni plus ni moins.
La coupe est pleine, je reviens de chez le docteur, me voilà arrêtée pendant 15 jours pour"état dépressif et anxieux" et avec du Déroxat, un antidepresseur à prendre une fois par jour. Je ne veux plus retourner à mon travail, j'ai la hantise d'y aller, des represailles. Mon idée est de me mettre en arrêt jusqu'à ce que je retrouve un autre travail en parallèle.Je ne veux plus les voir. Je suis en pleine depression.Merci de me donner votre avis, je pleure pour un rien, j'entends me dire que je vais pas assez vite alors que je fais des semaines de 45 heures je rentre chez moi, je ne vois même plus mes enfants ( 3 et 4 ans et demi), ils sont déjà couchés. Ce n'est plus une vie pour moi.De plus, le jour où le PDG a déboulé en trombe en criant sur moi et en cherchant ma responsable, elle qui était restée avec moi dans le bureau toute la journée et qui a vu que j'étais à mon poste ne m'a même pas défendue. Merci pour autre aide.
Par mesure de sécurité je ne vous dirait ma fonction que si vous me la demandez de peur d'être reconnue, on ne sait jamais.
Voilà deux semaines que je subi une pression énorme auprès de mon employeur.
Mon PDG monte systematiquement à mon bureau au moment où je m'octroie ma seule pose de 2 à 5 minutes dans ma journée pour discuter un peu avec mes collègues.
Au bout de la 2nde foi, il décide de me prendre à part en me faisant un sermon et me disant qu'il ne peut pas travailler avec des collaborateurs qui passent leur temps à discuter au lieu de travailler. Or, c'est un malheureux raccourci qu'il fait car les 98% du reste du temps, je suis à mon poste et j'en ai pour preuve les mails envoyés, les tâches demandées qui sont faites en temps et en heure.
Mon problème est multiple :
1/ J'ai l'intime conviction qu'un micro-caméra ou qu'un micro a été placé dans mon bureau. (Attrapée pendant ma pose 1 fois, é fois je veux bien mais je les ai compter voilà 7 fois qu'il est monté au moment où j'étais dans le bureau de mes collègues.
2/La 2ème fois qu'il a constaté que j'étais dans le bureau de mes collègues, il a fait une crise et a déboulé les 4 étages au sièges en disant à tout le monde que la dernière fois j'avais jurer que cela était une pure coïncidence, que j'étais tout le temps à mon poste.Il a dit à tout le monde "elle me prend pour un con, elle me casse les couilles!!!!"je le cite.
3/La semaine dernière, j'ai du consulter mon medecin qui m'a mise sous Lexomil en constatant un état depressif sous jacent. Je suis retourner travailler quand même en prenant sur moi mais hier s'en était de trop:
4/Je prend un appel, je dois faxer un doc et le lui citer par téléphone. Je précise qu'il s'agit d'une personne qui est en collaboration avec notre service. Je faxe. Il avait besoin d'un certain nb d'autre docs que je n'ai pas transmis attendant l'aval de ma responsable. Sorti de réunion, mon responsable m'appelle en me disant que sans accord préalable, je ne doit pas transmettre quelque doc que ce soit. Je tenteen vain de m'expliqueren commençant ma phrase par "Je pensais que" et me coupe alors la parole en me disant :"je ne vous demande pas de penser, je vous demande de faire, est-ce bien clair".C'est du harcèlement moral ni plus ni moins.
La coupe est pleine, je reviens de chez le docteur, me voilà arrêtée pendant 15 jours pour"état dépressif et anxieux" et avec du Déroxat, un antidepresseur à prendre une fois par jour. Je ne veux plus retourner à mon travail, j'ai la hantise d'y aller, des represailles. Mon idée est de me mettre en arrêt jusqu'à ce que je retrouve un autre travail en parallèle.Je ne veux plus les voir. Je suis en pleine depression.Merci de me donner votre avis, je pleure pour un rien, j'entends me dire que je vais pas assez vite alors que je fais des semaines de 45 heures je rentre chez moi, je ne vois même plus mes enfants ( 3 et 4 ans et demi), ils sont déjà couchés. Ce n'est plus une vie pour moi.De plus, le jour où le PDG a déboulé en trombe en criant sur moi et en cherchant ma responsable, elle qui était restée avec moi dans le bureau toute la journée et qui a vu que j'étais à mon poste ne m'a même pas défendue. Merci pour autre aide.
Par mesure de sécurité je ne vous dirait ma fonction que si vous me la demandez de peur d'être reconnue, on ne sait jamais.
A voir également:
- Arrêt maladie pour harcèlement moral au travail forum
- Arrêt maladie stage rattrapage heures - Guide
- Lettre témoignage harcèlement moral au travail - Guide
- Lettre d'absence au travail pour raison personnelle - Guide
- Arrêt de travail sortie autorisée - Forum sécurité sociale
- Duplicata arret maladie - Forum arrêt maladie
9 réponses
dans un premier temps prendre un rdv avec la medecine du travail ce qui vous permettra d'avoir des sortie libre pour faire vos autre demarche, votre employeur sera donc obligè de vous licencier et vous aurez droit a vos primes de licenciments ainsi que vos congès payer. votre employeur ne pourra rien faire d'autre car cela viendra directement de la medecine du travail ( ils ont l'habitude de ce genre de cas ), de plus votre patron si il arrive a chaque fois que vous prener une pose c'est bien qu'il vous expionne a mon avis ce qui est puni par la loi sauf si il vous la signalez sur papier
laurent
laurent
bonjour,je viens de lire votre témoignage qui ressemble tellement a mon histoire.je m occupe de la mise en rayon dans un hyper marche(une grande enseigne).j ai des chefs qui s occupent de gérer notre temps de travail,car nous n avons plus d autonomie,moi et mon équipe.mes horaires étaient jusqu' a il y a 15jours:5h.12h 3fois par semaine et 5h.11h-13h.16h.2jours par semaine.Cela depuis 1ans.au par avant j étais sur un autre secteur du magasin,mais le chef que nous avions avec mes collègues était devenu odieux dans ses gestes et ses paroles,jusqu' au jour ou il a levé la main sur moi.ayant fait un témoignage écrit a mon directeur,il a juge plus utile de me changer de secteur plutôt que de sanctionner le chef.bon,me voilà arriver sur le secteur pgc.le matin quand on arrive,on se dit bonjour entre collègue et nous discutons 2ou3minutes,et comme vous:le chef arrive et hurle car je suis dans le rayon d un collègue.il me suit constamment,m épis.me dit que je ne suis pas rapide et lors d une discution avec lui m a carrément dit que j étais feignante.
je ne connais pas beaucoup de mère de famille avec 3enfants et un mari accidente grave qui se lève tous les jours a 3h30 pour un boulot sous paye!!! Suite a ce harcellement journalier et bien huilé de leur part,j ai craque et mon médecin m a mis au repos un peu plus de 2semaine en aout.il a été donc très facile de dire que je l avais fait exprès et que pour me punir,je passerai d après midi.13h 21h chaque jours de l année.j ai explique a mon directeur que c était ingérable avec mes enfants et mon mari(du a son handicape),il m a répondu qu' il n était pas un bureau d aide sociale. Mais que si je voulais je pouvais quitter la société pour abandon de poste et qu il ferait rapidement les papiers pour que je ne sois pas sans ressource trop longtemps. depuis le 28septembre je suis en arrêt et sous antidépresseur.comment vais je faire,car j ai très peur d y retourner.je n en dort pas la nuit et le peu de sommeil que je trouve c est pour faire des cauchemars?j ai eu un contrôle de secu qui a émis un avis favorable a mon état de santé.je suis tellement stressée et angoissée que j ai contractures musculaires et suis obligée de de faire des séances de kine .jusqu' ou vont ils aller.
je ne connais pas beaucoup de mère de famille avec 3enfants et un mari accidente grave qui se lève tous les jours a 3h30 pour un boulot sous paye!!! Suite a ce harcellement journalier et bien huilé de leur part,j ai craque et mon médecin m a mis au repos un peu plus de 2semaine en aout.il a été donc très facile de dire que je l avais fait exprès et que pour me punir,je passerai d après midi.13h 21h chaque jours de l année.j ai explique a mon directeur que c était ingérable avec mes enfants et mon mari(du a son handicape),il m a répondu qu' il n était pas un bureau d aide sociale. Mais que si je voulais je pouvais quitter la société pour abandon de poste et qu il ferait rapidement les papiers pour que je ne sois pas sans ressource trop longtemps. depuis le 28septembre je suis en arrêt et sous antidépresseur.comment vais je faire,car j ai très peur d y retourner.je n en dort pas la nuit et le peu de sommeil que je trouve c est pour faire des cauchemars?j ai eu un contrôle de secu qui a émis un avis favorable a mon état de santé.je suis tellement stressée et angoissée que j ai contractures musculaires et suis obligée de de faire des séances de kine .jusqu' ou vont ils aller.
je viens de lire les divers témoignages et je m'y retrouve aussi. Je suis actuellement en arrêt de travail pour sciatique et lumbago, si vous savez ce que c'est vous savez également que le seul remède préconisé est le repos et la position horizontale obligatoire. Malgré cela, je suis harcelée par mon supérieur depuis le début de mon arrêt.
"quand pensez-vous revenir ?, pensez-vous reprendre plus tôt ?" Mon agence s'est même proposée de venir m'installer un ordinateur à la maison pour que je continue de bosser... ça en dit long sur le respect qu'éprouve me direction envers ses employés. Je passe le plus clair de mon temps sur le lieu de mon travail, environ 9h00/jour dans les périodes calmes, jusqu'a 13h00/jour dans les périodes chargées, on bosse même certains samedi. Les heures supp ne sont pas payées, et lorsqu'il s'agit de les récupérer c'est le parcours du combattant !
Me voilà donc à la maison car je ne peux pas bouger, mais malgré cela il faudrait quand même que j'essaie de faire
un peu de travail !!! et du coup j'ai droit à des discours truffés de chantage "tu comprends, on est dans la merde ! on doit présenter de maquettes aujourd'hui... si ça se trouve on va perdre le client..." tout ce qu'il faut pour vous faire culpabiliser... c'est dégoutant. J'en suis venue à me demander si je ne vais pas négocier un départ à l'amiable de cette entreprise... Si, encore j'avais un salaire en fonction, mais ce n'est même pas le cas... ça fait deux ans que j'attends une augmentation qui ne viendra jamais, je me suis fait une raison !
cela fait déjà quelque temps que mon travail envahi ma vie, rend les choses plus compliquées dans mon couple, prend trop de place tout simplement sur le plan privé...
voici mon témoignage de ce jour. Je pense que je vais entamer une démarche pour faire arrêter tout cela.
Il faut du courage, mais je crois qu'il arrive un moment où doit se faire respecter ! c'est primordial.
"quand pensez-vous revenir ?, pensez-vous reprendre plus tôt ?" Mon agence s'est même proposée de venir m'installer un ordinateur à la maison pour que je continue de bosser... ça en dit long sur le respect qu'éprouve me direction envers ses employés. Je passe le plus clair de mon temps sur le lieu de mon travail, environ 9h00/jour dans les périodes calmes, jusqu'a 13h00/jour dans les périodes chargées, on bosse même certains samedi. Les heures supp ne sont pas payées, et lorsqu'il s'agit de les récupérer c'est le parcours du combattant !
Me voilà donc à la maison car je ne peux pas bouger, mais malgré cela il faudrait quand même que j'essaie de faire
un peu de travail !!! et du coup j'ai droit à des discours truffés de chantage "tu comprends, on est dans la merde ! on doit présenter de maquettes aujourd'hui... si ça se trouve on va perdre le client..." tout ce qu'il faut pour vous faire culpabiliser... c'est dégoutant. J'en suis venue à me demander si je ne vais pas négocier un départ à l'amiable de cette entreprise... Si, encore j'avais un salaire en fonction, mais ce n'est même pas le cas... ça fait deux ans que j'attends une augmentation qui ne viendra jamais, je me suis fait une raison !
cela fait déjà quelque temps que mon travail envahi ma vie, rend les choses plus compliquées dans mon couple, prend trop de place tout simplement sur le plan privé...
voici mon témoignage de ce jour. Je pense que je vais entamer une démarche pour faire arrêter tout cela.
Il faut du courage, mais je crois qu'il arrive un moment où doit se faire respecter ! c'est primordial.
bonjour,
je viens de lire ton message , la seule possibilitèe pour vous c'est de prendre rendez-vous avec la medecine du travail donc vous depender, apres avoir expliquer votre probleme il devrai vous metre en inaptitude a continuè a travailler pour cette employeur ce qui vous permeterai d' etre licencier et toucher vos droits. Avant de faire ça faite faire des attestations de temoinage de la part de vos colègues, apres cela portez plaint pour harcèlement je suis passer par la aussi en aucun cas ne demissionner pas c'est ce que votre patron cherche
laurent
je viens de lire ton message , la seule possibilitèe pour vous c'est de prendre rendez-vous avec la medecine du travail donc vous depender, apres avoir expliquer votre probleme il devrai vous metre en inaptitude a continuè a travailler pour cette employeur ce qui vous permeterai d' etre licencier et toucher vos droits. Avant de faire ça faite faire des attestations de temoinage de la part de vos colègues, apres cela portez plaint pour harcèlement je suis passer par la aussi en aucun cas ne demissionner pas c'est ce que votre patron cherche
laurent
Bonjour, merci pour votre message. En effet, je suis en train de prendre des infos afin de contacter l'inspection du travail. Je suis actuellement dans l'incapacité de me déplacer à cause de ma sciatique, mais grace à internet et le téléphone je pense pouvoir faire un maximum de démarche. Je ne souhaite pas demissionner, peut-être négocier un licenciement à l'amiable afin d'obtenir des droits...
Ce que je souhaite avant toute chose c'est me faire respecter, faire valoir mes droits et leur faire comprendre que l'on ne peut pas tout exiger de ses salariés. Pour ma part, ils sont allés bcp trop loin.
encore merci pour votre réaction à mon témoignage, ça aide à avancer.
Ce que je souhaite avant toute chose c'est me faire respecter, faire valoir mes droits et leur faire comprendre que l'on ne peut pas tout exiger de ses salariés. Pour ma part, ils sont allés bcp trop loin.
encore merci pour votre réaction à mon témoignage, ça aide à avancer.
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en effet, je crois qu'ils n'ont plus le choix...
Heures supp jamais payées, primes supprimées, samedi travaillés et pas récupérés...
coups de téléphone pendant les vacances, les récups et l'arrêt de travail... ça fait bcp non ?
je pense que les arguments sont là. Je vais me renseigner auprès de la médecine du travail aujourd'hui et voir les démarches à suivre.
Nous sommes dans une période où il ne fait pas bon être au chômage, je constate que certains patrons le provoque ce chômage alors que tout pourrait bien se passer ! c'est un comportement lamentable à ne pas laisser sous silence !
encore merci pour vos conseils.
Heures supp jamais payées, primes supprimées, samedi travaillés et pas récupérés...
coups de téléphone pendant les vacances, les récups et l'arrêt de travail... ça fait bcp non ?
je pense que les arguments sont là. Je vais me renseigner auprès de la médecine du travail aujourd'hui et voir les démarches à suivre.
Nous sommes dans une période où il ne fait pas bon être au chômage, je constate que certains patrons le provoque ce chômage alors que tout pourrait bien se passer ! c'est un comportement lamentable à ne pas laisser sous silence !
encore merci pour vos conseils.
Non, je ne souhaite pas démissioner, je vais sans doute dans un premier faire prolonger mon arrêt de travail... déjà parce que je ne suis pas en mesure de reprendre mon travail avec ma sciatique. Demain, je prends contact auprès d'un contrôleur du travail qui m'expliquera la démarche à suivre en vue d'aller jusqu'au licenciement pour incapacité à travailler pour cet employeur. Je ne souhaite plus que mon actuel employeur abuse de mes compétences.
Je possède des diplômes supérieurs, 15 années d'ancienneté dans mon métier avec de bonnes appréciations à chaque fois... cet employeur ne me mérite pas. Je suis déterminée à me battre. Tout en conservant mes droits.
même si je dois passer par une période de chômage, mais au moins cela me permettra de me reconstruire et de rebondir en vue d'améliorer ma vie professionnelle et de relancer ma carrière.
Je possède des diplômes supérieurs, 15 années d'ancienneté dans mon métier avec de bonnes appréciations à chaque fois... cet employeur ne me mérite pas. Je suis déterminée à me battre. Tout en conservant mes droits.
même si je dois passer par une période de chômage, mais au moins cela me permettra de me reconstruire et de rebondir en vue d'améliorer ma vie professionnelle et de relancer ma carrière.
courage et tien moi au courant ton licenciment ira tres vite grace a la medecine du travail fais toi assister par un syndicaliste le jour que tu aura tes papier ,car ton patron cherchera a te mettre des batons dans les roues voir te metre les tord sur ton dos .
courage tiens moi au courant biz bon retablissement
laurent
courage tiens moi au courant biz bon retablissement
laurent
oui, j'ai cru comprendre que ça pouvait aller très vite. est-il possible que ça soit plus compliqué qu'on ne le croit ?
pour ma part, j'estime que les faits sont là et que mon patron a peu de recours... je crois qu'a partir du moment où la médecine du travail met les pieds dans le plat il ne peut rien faire. Le licenciement ne peut qu'avoir lieu.
Pour ma part, il peut essayer de me mettre des batons dans les roues, je n'ai aucun reproches à me faire.
En deux années, aucune absence pour maladie, aucun faux pas... toujours dispo, y compris les samedis, heures supp à répétition et puis je suis témoin d'un certain nombre de choses...
c'est en effet la seule chose qui me fait peur, le jour de la confrontation. J'espère que je n'aurais pas a reprendre mon travail avant la fin de la procédure. Est-il aussi possible que le harcellement ne soit pas reconnu ? ou que la médecine du travail estime que je nai pas assez d'arguments ?
pour ma part, j'estime que les faits sont là et que mon patron a peu de recours... je crois qu'a partir du moment où la médecine du travail met les pieds dans le plat il ne peut rien faire. Le licenciement ne peut qu'avoir lieu.
Pour ma part, il peut essayer de me mettre des batons dans les roues, je n'ai aucun reproches à me faire.
En deux années, aucune absence pour maladie, aucun faux pas... toujours dispo, y compris les samedis, heures supp à répétition et puis je suis témoin d'un certain nombre de choses...
c'est en effet la seule chose qui me fait peur, le jour de la confrontation. J'espère que je n'aurais pas a reprendre mon travail avant la fin de la procédure. Est-il aussi possible que le harcellement ne soit pas reconnu ? ou que la médecine du travail estime que je nai pas assez d'arguments ?
Bonjour. Voilà, les démarches ont pris forme ce matin. J'ai donc pris contact avec une inspectrice du travail à qui j'ai fait part de tout les dysfonctionnements que j'avais relevé au sein de mon entreprise, ainsi que des reflexions ma l placées, des horaires à rallonge, des samedis travaillés, par récupérés, des primes supprimées, du comportement de la hiérarchie vis à vis de moi mais aussi du personnel en général et du harcellement téléphonique dont je suis victime depuis le début de mon arrêt de travail. Deux solutions s'imposent : soit la rupture conventionnelle / soit l'inaptitude au travail. Je lui ai expliqué que la première solution ne serait pas acceptée par mes patrons car sans vouloir me vanter, ils ont besoin de moi et nous allons entrer dans une période chargée en travail. Du coup, elle m'oriente vers la médecine du travail. J'ai RDV la semaine prochaine en vue d'expliquer mon problème et de tenter d'obtenir un certificat d'inaptitude à la reprise du travail, on connait l'aboutissement de cette procédure, c'est ce qui me semble le plus sage de faire. Donc, affaire à suivre. En attendant, vendredi j'ai RDV chez mon médecin traitant pour un prolongement de mon arrêt de travail. Merci pour tous vos conseils. je ne manquerai pas de vous tenir au courant de l'évolution de mon dossier.
bonjour, je suis dans la même situation que vous, en fait j'ai eu une petite fille au mois de juillet 2008, mon congé maternité devait s'arrêter le 16 octobre mais étant donné qu'il y a des soucis à mon travail, le stress de reprendre dans ces conditions déplorables, j'ai fais des crises d'angoisses énormes, j'ai consulté mon médecin traitant peu avant de reprendre le travail, qi m'a dit que je faisais un début de dépression suite à cette reprise, donc il m'a donné un anti-dépresseur et des anxiolytiques, et un arrêt de travail jusqu'au 2 novembre, j'ai donc repris le 3 novembre, mais vu les conditions de travail, le travail en retard, l'ambiance hallucinante qui y régnait, j'ai tenu le coup, en prenant beaucoup sur moi, jusqu'à mi janvier, puis j'ai fait un malaise au travail, depuis je suis en arrêt maladie, mon médecin traitant m'a donné du lexomil mais ça me couche, j'ai deux enfants, je suis incapable de m'en occuper.
Aussi, mon patron a accepté ma reprise de travail à 80%, à la fin de mon congé maternité et m'accordait tous mes mercredis pour être avec mes enfants et en plus ça me faisait une coupure,
mais le 4 février, étant toujours en arrêt maladie, je reçois un courrier recommandé de la part de mon employeur qui m'informais que mes horaires changeaient et que j'allais travailler 5 jours par semaine, en gros je dois faire 5h30 de travaille par jour, une pause de 2 heures pour déjeuner alors que je mange sur place,
Je l'ai appellé pour avoir une explication, il m'a dit que je l'avais pris pour un con parce qu'il m'avait accepté mon 80% et tous mes mercredis, et qu'en fait c'était toujours dans le même sens qu'il ne pouvait pas compter sur moi, en gros il m'a dit que c'était c'est du chantage si il m'avait changé mes horaires et qu'il ne reviendrait pas sur sa décision. il ne veut pas m'écouter, d'après lui c'est lui qui a raison, il ne prend même pas la peine de prendre de mes nouvelles, aussi je lui ai dit que je faisais des migraines céphallées suite à toute cette pression et cette fatigue physique et psychologique et je dois passer un scanner cérébral, il en a rien à taper, j'ai pris rendez vous avec la médecine du travail pour avoir un appui, un constat du médecin, je ne peux plus y retourner dans cette société, ça me donne envie de vomir, j'ai la boule au ventre, je pleure constamment, je ne sais plus quoi faire..........
Aussi, mon patron a accepté ma reprise de travail à 80%, à la fin de mon congé maternité et m'accordait tous mes mercredis pour être avec mes enfants et en plus ça me faisait une coupure,
mais le 4 février, étant toujours en arrêt maladie, je reçois un courrier recommandé de la part de mon employeur qui m'informais que mes horaires changeaient et que j'allais travailler 5 jours par semaine, en gros je dois faire 5h30 de travaille par jour, une pause de 2 heures pour déjeuner alors que je mange sur place,
Je l'ai appellé pour avoir une explication, il m'a dit que je l'avais pris pour un con parce qu'il m'avait accepté mon 80% et tous mes mercredis, et qu'en fait c'était toujours dans le même sens qu'il ne pouvait pas compter sur moi, en gros il m'a dit que c'était c'est du chantage si il m'avait changé mes horaires et qu'il ne reviendrait pas sur sa décision. il ne veut pas m'écouter, d'après lui c'est lui qui a raison, il ne prend même pas la peine de prendre de mes nouvelles, aussi je lui ai dit que je faisais des migraines céphallées suite à toute cette pression et cette fatigue physique et psychologique et je dois passer un scanner cérébral, il en a rien à taper, j'ai pris rendez vous avec la médecine du travail pour avoir un appui, un constat du médecin, je ne peux plus y retourner dans cette société, ça me donne envie de vomir, j'ai la boule au ventre, je pleure constamment, je ne sais plus quoi faire..........
BONJOUR,
JE SUIS EN ARRET DE TRAVAIL DEPUIS 1 MOIS POUR DEPRESSION GRAVE DU AU PROBLEME PROFESSIONNEL. J AI TRAVAILLE 9 MOIS DANS UNE STE OU LE GERANT NE PREND AUCUN COMPTE DES CLIENTS, NI DES FOURNISSEURS, J'AI SUBIR DES ARCELEMENTS TELEPHONIQUES DE LA PART DES FOURNISSEURS CAR ILS NE SONT PAS PAYE ET DES MENCACES, DES CLIENTS CAR ILS NE SONT PAS LIVRER AUX MOINDRE PROBLEME LE GERANT EST INACCESSIBLE. LA STE EST EN REDRESSEMENT JUDICIAIRE DEPUIS SEPTEMBRE . J AI LA BOULE AU VENTRE JE PLEURE RIEN QU'A L IDEE DE RETOURNE TRAVAILLE AVEC LUI CAR IL N A AUCUNE CONSIDERATION POUR LES SALARIES
JE SUIS EN ARRET DE TRAVAIL DEPUIS 1 MOIS POUR DEPRESSION GRAVE DU AU PROBLEME PROFESSIONNEL. J AI TRAVAILLE 9 MOIS DANS UNE STE OU LE GERANT NE PREND AUCUN COMPTE DES CLIENTS, NI DES FOURNISSEURS, J'AI SUBIR DES ARCELEMENTS TELEPHONIQUES DE LA PART DES FOURNISSEURS CAR ILS NE SONT PAS PAYE ET DES MENCACES, DES CLIENTS CAR ILS NE SONT PAS LIVRER AUX MOINDRE PROBLEME LE GERANT EST INACCESSIBLE. LA STE EST EN REDRESSEMENT JUDICIAIRE DEPUIS SEPTEMBRE . J AI LA BOULE AU VENTRE JE PLEURE RIEN QU'A L IDEE DE RETOURNE TRAVAILLE AVEC LUI CAR IL N A AUCUNE CONSIDERATION POUR LES SALARIES
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