En jugement d'appel, déclarer sans suite

BALOO - 25 févr. 2009 à 15:16
 equipage - 19 juin 2009 à 10:52
Bonjour,le bilan psychologique devant les problèmes d'apparence psychiatrique de l'adulte. s’il a des Intérêts possède aussi ses limites. Les différentes conceptions des troubles psychiques, comme la prise en charge et le vécu des personnes m’apparaissent largement déconcertante à l’avoir vécu et à vous lire. A bien comprendre l’action, il s’agirait presque d’enjeux d’une catégorie réinventée de la santé mentale.
Sur place, c’était l’émergence des troubles d’apparence psychotique. A y essayer de mieux comprendre, je serais une personne adulte souffrant de troubles mentaux sous protection juridique alors que mes représentations des troubles psychiques et pratiques des médecins généralistes est tout autre
Les maladies psychiques affectent généralement tout l’entourage de la personne. Même si les apparences n’en laissent rien voir. Avec l’irruption du trouble, les proches sont bouleversés : état de sidération d’une famille sous le choc, désarroi, impuissance.
Puis vient la recherche d’une cause, et sa cohorte de culpabilités : d’où vient cette pathologie ? Est-elle héréditaire ? De quelle branche de la famille vient-elle ? Ai-je été un mauvais parent ? Qu’ai-je raté dans son éducation ?
Avec la maladie, de nombreuses questions affleurent. Si personne n’en parle, si elles restent sans réponse, l’équilibre se fissure, la famille s’isole, comme pour se protéger du regard extérieur. Avec votre dernière réponse subsiste « psychose » qui est une véritable maladie psychique alors qu’on sent bien que l’avocat attire l’attention de la Cour sur la déculpabilisation, il aurait pu, proposé aussi de dire qu’en 1974, je tentais surtout de rompre avec la solitude de l’Armée et que mes parents ont aussitôt montré les solutions concrètes pour améliorer ma condition de malade et de mon entourage.
Les crises d’angoisse, les excès de colère, les délires ne sont pas inconnus. Et pourtant, je ne suis pas malade. Quel impact les souffrances psychiques ont-elles sur ma vie ? Je rappelle qu’on parle de « personnalité pathologique » et de « psychose chronique » Qu’on m’a donc reconnu tout récemment deux handicaps psychiques et non des moindres. Si tel était mon cas, j’aurais échoué en matière de réinsertion sociale et professionnelle parce que j’aurais été qualifié de personnes psychiquement fragiles.
Car, nul doute que la psychose est un enfer. Je dirais à l’inverse que l'espèce humaine se caractérise par un développement singulier des relations sociales, que soutiennent des capacités exceptionnelles de communication mentale, et corrélativement par une économie paradoxale des instincts qui s'y montrent essentiellement susceptibles de conversion et d'inversion et n'ont plus d'effet isolable que de façon sporadique. Des comportements adaptatifs d'une variété infinie sont ainsi permis. Leur conservation et leur progrès, pour dépendre de leur communication, sont avant tout œuvre collective et constituent la culture. Celle-ci introduit une nouvelle dimension dans la réalité sociale et dans la vie psychique. Cette dimension spécifie la famille humaine comme, du reste, tous les phénomènes sociaux chez l'homme.
Si, en effet, la famille humaine permet d'observer, dans les toutes premières phases des fonctions maternelles, par exemple, quelques traits de comportement instinctif, identifiables à ceux de la famille biologique, il suffit de réfléchir à ce que le sentiment de la paternité doit aux postulats spirituels qui ont marqué son développement, pour comprendre qu'en ce domaine les instances culturelles dominent les naturelles, au point qu'on ne peut tenir pour paradoxaux les cas où, comme dans mon cas, elles s'y substituent. J’ai donc adopté les instances culturelles de ma famille et je trouve cela normal. Je ne pense pas que cette structure culturelle de la famille humaine soit entièrement accessible aux méthodes de la psychologie concrète observation et analyse? Sans doute, ces méthodes suffisent-elles à mettre en évidence des traits essentiels, comme la structure hiérarchique de la famille, et à reconnaître en elle l'organe privilégié de cette contrainte de l'adulte sur l'enfant, contrainte à laquelle l'homme doit une étape originale et les bases archaïques de sa formation morale
D’autres traits objectifs sont les modes d'organisation de cette autorité familiale, les lois de sa transmission, les concepts de la descendance et de la parenté qui lui sont joints, les lois de l'héritage et de la succession qui s'y combinent, enfin ses rapports intimes avec les lois du mariage - obscurcissent en les enchevêtrant les relations psychologiques. Ce que je dis, c’est que ces données établissent que la famille humaine est une institution. L'analyse psychologique doit s'adapter à cette structure complexe et n'a que faire des tentatives plus ou moins philosophiques qui ont pour objet de réduire la famille humaine soit à un fait biologique, soit à un élément théorique de la société. Dans mon cas, ces tentatives sont devenues réalités, elles ont surtout leur principe démentiel dans certaines apparences du phénomène familial; pour illusoires que soient ces apparences, elles méritent peut-être qu'on s'y arrête, car elles reposent sur des convergences réelles entre des causes hétérogènes.. Mais tous ces points demeurent litigieux. ; Contrairement à ce que dit l’expert, il existe entre les générations une continuité psychique dont la causalité est d'ordre mental. Cette continuité, si elle révèle l'artifice de ses fondements dans les concepts même qui définissent l'unité de lignée, depuis le totem jusqu'au nom patronymique, ne se manifeste pas moins par la transmission à la descendance de dispositions psychiques qui confinent à l'inné. Ce n’est pas moi qui est créé des effets personnels sur le terme d'hérédité sociale. Ce terme, assez impropre en son ambiguïté, a du moins le mérite de signaler combien il est difficile au médecin praticien de ne pas majorer l'importance du biologique dans les faits dits d'hérédité psychologique.En tout cas nul ne peut contester objectivement ma parenté biologique. J’ai repris la première expertise. Pour le second point, la famille primitive méconnaît les liens biologiques de la parenté méconnaissance seulement juridique dans la partialité uni linéale de la filiation; mais aussi ignorance positive ou peut-être méconnaissance systématique (au sens de paradoxe de la croyance que la psychiatrie donne à ce terme), exclusion totale de ces liens qui, pour ne pouvoir s'exercer qu'à l'égard de la paternité, s'observerait dans certaines cultures ;. En outre la parenté n'est reconnue que par le moyen de rites qui légitiment les liens du sang et au besoin en créent de fictifs. De même, d'après notre code, la filiation est démontrée par le mariage. Le groupe réduit que compose la famille moderne ne paraît pas, en effet, à l'examen, comme une simplification AUSSI FORTE mais plutôt comme une contraction de l'institution familiale. L’expert montre une structure profondément complexe, dont plus d'un point s'éclaire bien mieux par les institutions positivement connues de la famille ancienne que par l'hypothèse d'une famille élémentaire qu'on ne saisit nulle part. Ce n'est pas dire qu'il soit trop ambitieux de chercher dans cette forme complexe un sens qui l'unifie et peut-être dirige son évolution. Ce sens se livre précisément quand, à la lumière de cet examen comparatif, on saisit le remaniement profond qui a conduit l'institution familiale à sa forme actuelle; on reconnaît du même coup qu'il faut l'attribuer à l'influence prévalente que prend ici le mariage, institution qu'on doit distinguer de la famille. D'où l'excellence du terme " famille conjugale ".Le vécu est pour le moins sectaire même s’il est couramment admis que nous sommes tous manipulables, même si le degré de résistance à la manipulation varie selon les individus et selon les moments de la vie, et nous sommes tous manipulés que cela soit à l'école, en famille, au travail... Seulement, dans certains cas, cette manipulation se fait coercitive : l'individu perd son libre arbitre et se transforme en marionnette entre les mains du manipulateur. Selon le psychiatre, la manipulation ne se manifeste que par ses effets. Elle s'articule en trois temps selon une démarche d'approche, de séduction et de persuasion. Durant l’Armée ce sont des pratiques de mise sous influence qui peuvent entraîner des altérations des processus de pensée, une déstabilisation au niveau des besoins physiologiques et une déstabilisation psychologique qui renforcent le processus de dépendance. Utilisée avec détermination et préméditation dans l'intention de mettre sous dépendance, la manipulation mentale permettrait une emprise psychologique sur des individus considérés comme des objets dont on pourrait disposer à sa guise, ce qu’un avocat a appelé des « propos fallacieux. Le processus d'embrigadement, techniques de mise sous influence. J’ai donc été utilisé au détriment de tout un chacun, les opportunités de déstabilisation physique et psychologique n’ont pas manqué. En accroissant ou exploitant les fragilités du psychisme, certains méprisent l'intégrité psychique et la liberté. Ainsi, mon devoir a surtout été de dénoncer les pratiques de manipulation mentale puisqu'elles portent atteinte à l'intégrité de la personne, à sa liberté et à son droit de disposer d'elle-même. .

« Inutile de chercher dans mes propos de quoi satisfaire tous ceux que cette réalité préoccupe. La caractéristique générale la plus acceptée de la maladie mentale est précisément qu'il s'agit de quelque chose qui fait problème chez un individu et que ce problème se pose en termes psychologiques, psychiatrique, psychique ou mental. Au sens le plus courant et le plus tangible, la santé mentale se distingue — et s'oppose parfois — à la santé physique. Le terme d'hygiène mentale, longtemps utilisé en référence à la même "réalité" prenait aussi son sens par analogie avec l'hygiène physique. Cette "réalité" même est difficile à cerner. Quel est le dénominateur commun entre ce cas d'un patient psychiatrique et le cas d'une personne aux prises avec des difficultés psychologiques lors d'une période comme la mienne, entre le cas de l'adolescent expérimentant des difficultés d'adaptation so-cio-affective à l'école et celui où la délinquance et la violence servent à exprimer le désarroi psychologique? La notion de pathologie ou de santé caractérisait d'abord la société: les individus sont sains ou malades selon qu'ils appartiennent à une société saine ou malade. Je me sens dans le besoin d’accréditer l'idée que le culturel ou le symbolique n'a pas d'efficacité propre, négative ou positive, qu'ils ne peuvent agir qu'en modifiant le parcours d'un agent pathogène qui n’est pas une exception à la règle, mais reflète assez bien la tendance générale. Par contre, certaines attentes peuvent être trompées
À un moment où l'on doit constater les limites d'une prévention qui ne s'adresse qu'à la raison ou qui mise sur le conditionnement, il n'était peut-être pas inutile de rappeler que la meilleure façon de parler à la raison, c'est de s'adresser d'abord à l'imagination et à la sensibilité.
Cette auto-évaluation de la maladie génère non seulement la représentation de la société mais aussi des soignants, beaucoup d’entre eux ne s’investissant pas dans le traitement ni dans son repérage parce qu’ils ont le sentiment qu’ils ne peuvent rien faire. Comment peut-on stopper cette machine infernale si tout le monde en est conscient, que ce soit le monde médical ou le monde des parents ?
Finalement, la problématique reste une problématique qui sort du champ sanitaire. C’est une problématique qui concerne le politique, les prises de décisions et la gestion des lobbies, il n’y a jamais eu une abdication de mon autorité parentale et de la responsabilité et il est dramatique que l’expert s’y interroge encore.. Le problème est qu’ils ont bien souvent un discours qu’ils appellent « militant » ; je ne suis pas certain que mon dossier était sensible au militantisme. Je ne suis pas certain qu’il faille tenir le même discours. Je m’interroge sur la pertinence du discours. Cela peut vous paraître ambivalent par rapport au discours sanitaire habituel mais je ne sais pas c’est souhaitable !. Je crois qu’il faut mener des politiques publiques qui s’intéressent à la notion de risques de manière générale. Je suis convaincu que modifier les représentations est l’axe essentiel et se servir des moyens de l’État pour ce faire. C’est la méconnaissance ou les connaissances erronées qui empêchent de progresser. On peut arriver ainsi à modifier de façon massive un comportement. Je ne sais pas si c’est bien ou non, mais on peut essayer de travailler pour que tout le monde tienne le même discours et qu’on ait partout le même langage. Il y a, il me semble une profonde ambivalence et certains comportements m’étonnent. Personnellement, même durant l’Armée, j’ai abordé la question de l’alcoolisme. On estime que quatre millions de personnes en France ont un problème d’alcool. Au sein de la population des dix à vingt-cinq ans, près de 10 % s’adonnent au « bindge drinking », que l’on peut traduire par « la défonce du week-end ». Ce n’est plus la convivialité qui est recherchée au travers de l’alcool, mais l’oubli. L’apprentissage de ces modes de consommation est de plus en plus précoce, comme le montrent les enquêtes périodiques faites à partir des déclarations des jeunes. Ne croyez-vous pas que c’est plus important. ; Que la lutte contre les substances nocives qui ont un impact sur la santé et sur l’ordre public participait à ma lutte! Il est d’ailleurs paradoxal que le tabac concentre plus d’inquiétudes puisqu’on parle « tabagisme aggravé. Là où l’ébriété pouvait passer auparavant pour une exonération de responsabilité, elle n’était plus réprimée, ce qui est important pour les représentations collectives alors que les obligations de soins devaient être étendues, ce qui permet de traiter plus efficacement les consommations abusives d’alcool. On ne peut continuer à minimiser les effets sur l’ordre public. J’ai noté que cette communication en matière de santé publique a malheureusement des effets limités et parfois paradoxalement incitatifs à des comportements dangereux. Une réflexion doit aussi être menée sur le rôle de la loi en la matière
Ce sujet réunit les troubles dans lesquels la perturbation fondamentale est un changement des affects ou de l’humeur, dans le sens d’une dépression (avec ou sans anxiété associée) ou d’une élation- Le changement de l’humeur est habituellement accompagné d’une modification du niveau global d’activité, et la plupart des autres symptômes sont soit secondaires à ces changements de l’humeur et de l’activité, soit facilement compréhensibles dans leur contexte- La plupart de ces troubles ont tendance à être récurrents et la survenue des épisodes individuels peut souvent être mise en relation avec des situations ou des événements stressants.
La médicalisation de ma vie constitue, selon moi l'une des dimensions de l'expansion, dans les sociétés occidentales, du paradigme bio politique. Évoquant un phénomène de "médicalisation indéfinie", de savoir comment la médecine s'extrait au XX° siècle hors de son champ d'exercice traditionnel pour s'imposer comme une pratique sociale à facettes multiples, appelée à faire valoir son point de vue et développer ses prises dans les domaines de vie et selon les procédures les plus variées. Désormais cette médecine "s'impose à l'individu, malade ou non, comme un acte d'autorité". C’est en montrant comment certains dispositifs cherchent à fixer les individus autour de nouvelles normes qui n’ont plus pour principe l’exclusion mais l’amélioration et la rééducation des individus, dans le but de les guérir ou de les protéger, qu’il m’est difficile de repérer plusieurs transformations majeures dans les pratiques. Je constate qu’on ne cesse d’analyser les conditions dans lesquelles, il y a poursuite effrénée de la santé, celle du mieux être et du plus être des apparences corporelles, comme pour des performances sportives et scolaires, qui sont devenues aujourd’hui incontournables dans les sociétés modernes.
Ma contestation est claire, LA PRATIQUE PSYCHIATRIQUE joue en grande partie sur des controverses, comme elle joue sur des prédilections mentales qui au fond n’existent pas et donc n’ont pu exister normalement à l’intérieur de la période normale d’activité militaire. et dans ce cas à l’extérieur non plus. Surnage l’apparence, l’aspect utilisé de l’extérieur ;
En adoptant la santé mentale comme cause de prédilection, l’Armée s'engage à sensibiliser ma santé mentale comme cause de prédilection. J’admets que notre santé mentale à chacun de nous est importante, autant que la santé physique. La santé mentale est un facteur important de bien-être dans nos vies respectives; elle influe sur nos amitiés et sur nos relations; et l'impact de la maladie mentale nous touche tous d'une façon ou d'une autre. Je suis sûr que nous avons tous déjà vécu des expériences personnelles de maladies mentales, que ce soit dont a souffert, ou souffre, un proche, un ami, un collègue ou un voisin. Mais on s’est vu rechercher un lien de la petite enfance comme si celle ci constituait le terrain de prédilection de la prévention militaire et sanitaire. L’évolution rapide des connaissances a mis en évidence l’origine précoce de nombreux troubles psychologiques, et a ouvert la porte à une multiplicité d’interventions préventives. Je sais qu’il existe une attention particulière à la relation mère-bébé, parents-bébé, prise en compte du contexte familial, socioéconomique, culturel, accompagnement de la mère en difficulté, dépressive, usagère de drogues licites ou illicites, prévention des risques de maltraitance, dépistage des troubles du comportement…, toutes ces actions constituent la panoplie des techniques mises en œuvre dans le cadre de la pédopsychiatrie.
Mais comment organiser cette prévention dans un cadre rigoureux et scientifique ? Peut-on parler d’une prévention fondée sur les preuves ? Dans un contexte où les moyens sont limités, quelles doivent être les priorités sur le terrain et comment les déterminer ? Comment évaluer l’efficacité des actions menées ? Cet ouvrage collectif réunit les meilleurs experts français et internationaux dans le domaine. Il fait le point sur les actions de prévention existantes, leur évaluation, et dégage des pistes pour une organisation plus efficace de la promotion de la santé mentale pour les jeunes enfants.
Cependant il ne faut point méconnaître le fait que la relation par le patient de ses troubles, la genèse et l’interprétation qu’il en fait, portent la marque du processus pathologique lui-même (on continue de parler à ce jour de Personnalité pathologique. Dès lors, pour saisir le processus pathologique, la référence à une objectivité extérieure, celle du médecin s’impose, pour conjuguer l’étude du dessein propre à la phénoménologie et son éclaircissement. Je ne peut me contenter d’une telle analyse déjà originale en soi. Il ne suffit pas de se tourner vers un autre horizon théorique, il faut se rappeler mon engagement (mon dernier conseil, le dernier avocat a dit « il faut être gentil avec des personnes comme mon client qui ont surtout travaillé pour la France » ,ceci me pousse à ne pas ignorer l’approche historique qui, dans l’origine des maladies mentales, accorde une place essentielle, aux contraintes extérieures, tout en évitant les travers du culturalisme pour lequel chaque culture attribue une réalité et un sens à une maladie donnée (on a insisté sur l’emprise culturelle de mon père en signalant la culture judéo-chrétienne..
Inclus dans l’abus de mon temps actif durant l’armée. Il a prévalu tout autre chose en donnant lieu à deux handicaps psychiques que le discours médical quand il est repris à sa source ne peut suivre. En m’en faisant dépendre à long terme l’état général et humain a été orienté une fois pour toutes. Mes affections psychiatriques émergent à peine de l’iceberg, j’aurais souhaité une meilleure transparence de l’État, j’aurais souhaité qu’il soit plus CLAIR, que ce que dit sur la psychiatrie, ne soit pas qu’un simple indicateur. Normalement, je repose sur des appréciations morales, le droit ne peut s’y soustraire, cet acte acquiert une valeur psychologique qui se justifie autrement
J’ai examiné une certaine puérilité des concepts utilisés par les experts: immaturité affective, carence affective. Ceci forge une catégorie grotesque très caractéristique. Nous pourrions évoquer cette question du pouvoir qui obsède et qui fait le lien avec la psychiatrie : pouvoir psychiatrique, pouvoir judiciaire. Le pouvoir psychiatrique pour se propager a utilisé un stratagème, il avance caché derrière des disciplines, la psychopédagogie, la psychopathologie, qu’il avait rétrocédé à la psychologie. Cela lui permettait de rester à l’arrière plan et de tirer les ficelles. La psychologie se donnait l’illusion d’une action dans ces domaines, alors qu’elle oeuvrait pour le compte de la psychiatrie. J’apporte un argument à mon hypothèse : dans la dernière partie de ses travaux, car je constate que le jugement se désintéresse de la psychologie, pour encenser ce que j’appelle l’esthétique de l’existence. L’État n’a plus besoin de la psychologie dans son champ de réflexion. Dès lors, que l’art de vivre, c’est de tuer la psychologie, alors qu’à elle seule elle était la plus importante
Parmi les conclusions, on peut souligner :
- il y eut peu d'hospitalisations et de présentations devant les commissions de santé et/ou de réforme parmi ma classe
- l'incidence et la prévalence des tableaux psychiatriques furent significativement faible par rapport à la morbidité psychique rencontrée habituellement sur le même type de caserne semi-disciplinaire.

Le rôle du psychiatre en post-immédiat est déterminant pour d’autres personnes notamment en temps de guerre, ce n’est pas mon cas, on me spécifie bien « hors guerre » car si son intervention souple et rapide, dans le respect de l'urgence somatique, l’intervention diminue le risque de survenue en apaisant l'intensité de la souffrance psychique, en donnant une information sur les symptômes et leur possible évolution, en permettant au sujet de relier l'événement à sa propre trajectoire existentielle. Mais ceci n’est pas valable en temps de paix
Confrontés à la fois aux impératifs institutionnels et à des réactions d’étonnement, de fuite voire de défiance de la part de ceux qui comme moi ont été hospitalisé en temps de paix, convaincu qu’ils ne pourront réaliser rien d’autres. Aucune manifestation psychopathologique aiguë n’a été relevée. Les psychiatres estiment a posteriori que leur « intervention en situation a fonctionné pour l’essentiel d’une manière informelle et grâce à un réseau de relations relevant plus de la camaraderie et en dehors de tout système hiérarchique de type vertical ». Dans cette conclusion, si l’intervention immédiate « ne s’inscrit pas dans un plan préalable d’organisation des secours incluant l’aide psychologique, elle expose à l’improvisation, à la genèse d’affolement ou à de réponses mal adaptées » . Il est vrai qu’en 1974, les psychiatres militaires savent depuis longtemps la nécessité d’une prise en charge des sujets ayant vécu une menace, la société en général n’était pas encore sensibilisée par les media et les hommes politiques.
Si toutes les personnalités sensibles sont considérées d'emblée comme des victimes psychiques, pourquoi serais-je plus porteur de blessures psychiques

Le premier entretien m’a invité à évoquer ce que j’ai ressenti, afin de signifier qu'à travers le vécu j’ai mon histoire et ma sensibilité face aux événements. Pour moi, l'effet de surprise a été systématique, avec un sentiment d'impuissance unanime qui a été douloureusement vécue sur le plan subjectif.
Allons à l’essentiel

Si l'ensemble de ma symptomatologie a régressé en un ou deux jours, on a présumé dans les mois qui suivent un syndrome de répétition , sans doute n’a-t-on pas éliminé des cauchemars de répétition plusieurs fois par semaine, une angoisse constante, des troubles de la concentration et amnésiques, une perte des intérêts pour les activités investies antérieurement.
C’est sous l’influence des psychiatres militaires que la Commission Médicale du Secrétariat d’État aux Anciens Combattants qu’il a été a proposé une évolution de la législation des Pensions Militaires d’Invalidité et des victimes de la Guerre. Cette évolution s’est traduite par un décret du 10 janvier 1992 qui reconnaît le droit à indemnisation des psychosyndromes ou névroses, après qu’avait eu lieu une expertise psychiatrique. Cette expertise peut avoir lieu aussi bien pour une première demande de pension que lors d’une demande de réévaluation, l’expert disposant d’une grande liberté d’appréciation en fonction de l’intensité des troubles : il peut ainsi proposer des taux d’indemnisation pouvant aller de 0 à 100 %, même s’il n’existe pas de certificat d’origine de l’événement initial, sur l’existence des éléments cliniques constitutifs de ces névroses.
Ce texte concerne bien sur que les militaires et les victimes de la guerre, il sert néanmoins de support aux revendications des associations de victimes du terrorisme qui pèsent de tout leur poids pour que ce barème leur soit appliqué pour leur indemnisation prévue par la loi du 9 septembre 1986 promulguée à la suite des attentats parisiens.
En matière d’accidents du travail, d’accidents de la circulation, ou pour les victimes d’agressions quel qu’en soit le type, il n’existe pas encore de textes législatifs faisant référence aux troubles psychologiques en tant que tels. Les appréciations des experts de la Sécurité Sociale, ou de ceux des compagnies d’assurance privées ne peuvent donc qu’être aléatoires et dépendent souvent de la sensibilisation du praticien expert à cette symptomatologie.
Il faut cependant souligner que cette dimension de réparation intervient fréquemment de façon positive pour permettre la mise en place d’une thérapeutique, dans la mesure où elle traduit la reconnaissance de ces troubles longtemps qualifiés de façon péjorative de simulation ou de sinistrose pour en dénier l’existence réelle.
L’approche thérapeutique a, là encore, été l’apanage des psychiatres militaires pendant de longues années, mais il a fallu encore plus de temps pour que les Armées françaises prennent en compte le risque psychique lors des différentes opérations extérieures malgré l’expérience d’autres armées


Dans les deux cas, le psychiatre doit constituer une liste de professionnels de santé (psychiatres, psychologues, infirmiers) volontaires pour intervenir en cas d’événement grave susceptible d’entraîner d’importantes répercussions psychologiques : ces volontaires doivent être recherchés prioritairement parmi les personnels du service public, y compris les personnels du Service de Santé des Armées.
Pour conclure, je veux souligner la question du devenir des sujets qui sont confrontés à de telles situations qui restent malheureusement en suspens, et insister sur le fait qu’il n’est pas avéré que les structures mises en place aient un effet préventif sur l’apparition des troubles et encore moins un effet thérapeutique lorsqu’ils sont apparents. Chaque sujet trouve sa réponse personnelle au traumatisme et personne ne peut l’obliger à en rendre compte, ou à exprimer un désir d’aide et de soins, ce qui revient à dire que l’intimité du sujet reste toujours mystérieux même pour les thérapeutes.
A cette époque, ce qui s’était énoncé sur le plan médical de façon très précise n’avait encore de ma part suscité aucunes interrogations. Mon occupation n’introduisait plus rien de neuf que de me prendre en charge physiquement, à partir du moment où tout ce qui a été noté de façon psychiatrique était définitive, je pensais qu’il n’y avait rien à redire.. L’observation décrite devant le médecin militaire avait dévisagé, scruté une apparence, en l’occurrence la mienne. ; Peut-on sans se tromper décrire avec succès une physionomie, un air qu’on disait bizarre. Peut-on à partir de termes traitant le sujet contrarié ou surpris dire qu’une partie était imputable et l’autre pas sachant qu’au fond du compte rien n’est imputable ; l’Armée dégage sa responsabilité sur le tout. Les écritures qui en ressortent relatent l’ensemble de manière très subjective et très abstraite. A l’origine, en prenant en particulier cet air particulier comme déterminant, un air qui je le rappelle fut qualifié de bizarre. . Faute de plus, l’intérêt a été ressenti de considérer plutôt que de connaître, via l’origine d’ afflictions jusqu’à y introduire une Thèse sur la Personnalité. En effet qui dit bizarre, dit étrange, dit phénomène inexpliqué, plus encore sous entendrait en dehors de l ordre, de l usage commun?; qui est singulier, extraordinaire.., Pour finir par entamer une cure de sommeil;


Dans le cas d'une dette de sommeil récente ou accumulée depuis longtemps, la cure de sommeil s'avère un moyen naturel d'y remédier. Que ce soit pour le plaisir ou par nécessité, dormir plus longtemps que la dose habituelle nous offre une assurance de santé. En étudiant les effets de la privation de sommeil sur le système immunitaire, les scientifiques en ont évalué son efficacité sur le bien-être en général.
Une cure de sommeil brève consiste à dormir une douzaine d'heures pendant une ou deux nuits de suite. Peu importe que le sommeil soit continu ou fragmenté, le simple fait de rester au lit, sans dépenser d'énergie, permet au corps de reconnaître la possibilité qui lui est offerte de poursuivre le travail déjà amorcé par le sommeil régulier. En dormant plus longtemps qu'à l'habitude, un nettoyage en profondeur s'amorce afin d'éliminer les déchets dus à notre alimentation industrielle remplie de produits toxiques (colorants artificiels, additifs chimiques, pesticides, etc.). La réparation tissulaire est aussi augmentée par cette disponibilité énergétique. Les cellules endommagées sont remplacées par de nouvelles dans le but de maintenir la tonicité des tissus et les organes sont régénérés afin de restaurer notre vitalité. Le métabolisme étant au repos, l'énergie de guérison s'active.
Les présomptions se chargent en quelque sorte de la preuve qu’en 1974, j’étais supposé être souffrant,, il s’agit d’une preuve qui consiste à rétablir la vérité à travers la présomption alors que comme d’autres médecins l’ont constaté, je n’étais pas enclin par le passé à consommer des barbituriques. Dans le civil, l’un des inventeurs de ce genre d’anxiolytiques a essayé de dissuader mes parents, de ne pas continuer, donc ne plus se fier aux idées d’un besoin absolu. De la part des expertises ce fut peut-être aussi le besoin de ne plus vouloir m’inhiber en éliminant un lien possible. J’étais plutôt subordonné à l’assujettissement de toute l’observation psychiatrique, tout s’est négocié au fur et à mesure de la reprise d’une activité civile. Un grand engagement est né de la part intime et familiale, la présomption comme le terme d’handicap a suscité un sentiment d’obligation à se rétablir. Il y a eu beaucoup de stupeur de la part des généralistes comme des spécialistes de traiter des cas apparents comme le mien, en tout cas un cas bénin comme le mien avec des études de validité scabreuses qui n’ont jamais permis d'établir une certitude, une validité. Néanmoins, mon cas m’a fait régresser civilement, mes anciens contacts sont devenus moins fréquents, mes efforts moins réguliers, mon ambition a stoppé et mon dynamisme a finit par disparaître, j’avais exclu un engagement militaire, mais le concept hospitalier du même nom me suivait maintenant dans ma vie civile au-delà de la période légale, j’escomptais reprendre une activité normale, notamment me recentrer sur un travail et des études, en tout cas reprendre une activité normale ; j’ai tenté de tenir bien loin de moi l’avatar que je venais de vivre mais j’ai en fait perdu de ma confiance au contact du suivi régulier induit par la demande psychiatrique qui a suivit.

Le compte-rendu interministériel ne fait pas avancer les choses ; on y trouve une autorité parentale critiquée, le droit s’arroge l’autorité de la chose jugée... L’armée a montré des indices de présomption d’urgence (et de non-urgence pour des détails qu’elle elle est seule à révéler). Il semble préférable, en l'absence de consécration textuelle que ce type de présomption soit indiqué de la part du conseil médical qui y a prévalu en juste cause, le droit prévoit haut et fort qu’il s’agissait d’abus, même si l’on ne peut montrer par ordonnance médicale qu’il y ait eu une certaine avidité de soins à mon égard. Il me semble que je présente une dimension plus précise que l’État attaqué sur ses deniers, mon seuil souci est de démontrer que tout est partit d’une présomption visant des règles de preuve qui n’ont pas aboutit...

Dans le cas d’une culture trop forte, il y a une forte séparation du père comme du concept psychiatrique vis à vis d’une culture réputée judéo-chrétienne, de même il y a l’idée d’une mère trop ENVAHISSANTE, l’idée de délit de relation. Or un juge ne peut sanctionner CE GENRE DE RELATION pour l’observation à haute échelle des personnes trop impliqué sur le psychisme ; Seule le concept psychiatrique signale une empreinte suffisamment forte pour convaincre qu’il y a délit relationnel n’ayant pas permis un défoulement obligatoire en son temps,... Toute présomption est d'une façon générale une ébauche, un semblant de preuve psychiatrique. Ce que je renversé par la preuve contraire. Le premier constat qui s’impose est celui de l’absence du concept d’autonomie au rang desquels des concepts juridiques utilisés couramment se substituent ou se désengagent. C’est ainsi que si on cherche “ autonomie ” ou “ autonome ” dans le Code civil ou le Code pénal, aucun article ne contient expressément les termes. Il en va différemment bien sûr, si on se livre à la même expérience au sein du Code de l’action sociale et des familles. Encore convient-il de noter que l’introduction du terme « autonomie » est très récente et a subi une explosion par l’intermédiaire de l’autonomie, et surtout par l’effet de la loi du 11 février 2005 “pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées”. La notion d’autonomie fait ici une entrée remarquée dans les droits spécialisés, mais ne pénètre pas encore les « monuments juridiques ».

Pour autant, il faut admettre que les réalités couvertes par la notion d’autonomie ne sont pas ignorées par le droit. C’est ainsi que l’indépendance que suppose l’autonomie est prise en charge juridiquement par les principes de liberté individuelle et d’égalité civile. C’est ainsi que les facultés d’autonomie sont couvertes par la notion de capacité.

Il y a quelques années, le constat d’une absence de prise en compte de l’autonomie aurait été rigoureusement identique en droit de la santé, mais une grande partie de l’effort législatif récent s’est précisément orienté vers la prise en compte de la décision du malade, replaçant l’autonomie du patient au cœur de la décision médicale.

Mes parents se croyant obliger d’aller jusqu’au bout et moi pour ne pas être personnellement tenu responsable du caractère d’exception de cette problématique existentiel, contestant d’abord mon état avant de contester les commentaires et justifications, j’ai du suivre. On retrouve ici exactement les mêmes ambiguïtés que dans le droit commun. Par principe, les volontés exprimées ont été respectées, sauf à prendre en considération d'autres éléments, au rang desquels l'éthique qui tient d'ailleurs une grande place. Ainsi il est admis classiquement et depuis toujours que l'ordre public ou les bonnes mœurs sont un frein naturel au respect de l'autonomie. Appliqué au droit de la santé, on doit considérer que des raisons de santé publique peuvent inciter à ne pas prendre en compte toutes les volontés exprimées ? J’avais réellement conscience que ce que je vivais selon un mode apparent était lassant, tout n’était pas le fait de mes parents, mais d’autres reconnaissances qui marquait leur empreinte. La seconde interrogation me ramène à la force de la présomption d’autonomie. Ne va t-on pas parfois trop loin en postulant une autonomie générale différente sans prendre en compte suffisamment que la réalité des faits est plutôt supérieure. Le droit laisse de coté un nombre important de personnes sans réelles positions juridiques. Pour le monde médical, le questionnement éthique sur ce point est constant : à partir de quand dépasse-t-on l’apparente autonomie de l’autre ? Doit-on continuer à soigner sous prétexte de bienfaisance en opposition avec une autonomie exprimée si largement à l’encontre de la personnalité ? Est-on en capacité d’apprécier l’autonomie de l’autre et quel critère peut-on utiliser ? Autant d’interrogations qui ne font que poser les termes du débat qui me semble maintenant bien lancé.

Or, le principe même de ces droits suppose non pas une présomption d'existence comme celle qui s'étend durant la période antérieure au jugement. C’est paraît –t-il l’état de psychose issue d’une famille très possessive, qui m’aimait à sa manière.

Quitte à réorienter une décision médicale en fin de période, mon père a donc maintenu sa plainte au-delà des bâtiments médicaux, là où n’était pas le drame, celui-ci n’était pas plus présent pré période. Il devient lassant de l’annoncer aux différents protagonistes de cette affaire, je n’envisageais déjà pas de pouvoir confirmer que je n’avais jamais rien eu par le passé qui puisse s’assimiler à un trouble mental ; où qui se grefferaient sur des afflictions.

En effet, c’est au mois de juillet 1974, qu’on m’intima sur ma seconde caserne, l’ordre fallacieux, d’aller voir les médecins PARCE QUE LES MEDECINS VOULAIENT ME VOIR.
Chez tout un chacun, cela aurait aussitôt provoqué une grande interrogation plutôt qu’un refus, un manque de compréhension ou une légère plaisanterie, pour qui entendait sans comprendre, ceci était curieux.
L’ordre se transforma « rejoindre une infirmerie » « consulter »
C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de voir. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, chose facile,.. . J’avais pratiquement rien opposé vis à vis de mon temps de garde et de corvée banale, le tout avec sérénité , je ne pouvais disposer d’anxiété, de nervosité à tout égard et pourtant, il n’y a qu’à lire. Au prime abord : Personnalité névrotique complexe avec élément d’immaturité, fatigue, angoisse, perplexité…, je n’étais pas déterminé à me plaindre, j’avais exécuté les jours précédents, mon travail comme à l’accoutumée.
Pendant mon temps actif, je ne pouvais m’opposer aux excès de boissons, ce n’était pas mon rôle, encore moins de lutter contre des quolibets ou des plaisanteries de corps de garde, de plus, je n’en sentais pas le besoin d’affronter les fortes têtes que je rencontrais, il est vrai que les rapports fallacieux directs existaient, dans mon esprit je faisais mine de ne rien entendre, de me dérober.
Je préférais être ignoré, que de me distinguer pour me faire voir BIEN je n’étais pas exalté au point d’aller tiré mon temps dans un hôpital psychiatrique. Lors d’une période de repos obligatoire et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté l’idée de servir, l’obligation d’être soigné sans autre contrainte, j oubliais ma caserne de saint florentin, j’avais ôté de ma mémoire, un maximum de choses. Je ne pouvais rien redouter n’ayant rien en tête, si ce n’est anticiper. les faits quelques jours avant. Comprendrais-je un jour, non seulement ce point,, celui sur lequel ont planché les spécialistes.

J’avais donc été dirigé un peu sans raison de SAINT FLORENTIN à JOIGNY, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital de Dijon , plus tard ma personnalité puis celle de mes parents a été analysé. Réfléchir sur ce passage bizarre que rien ne motive voici l’objet de mon discours, pourquoi avoir du analyser autant ma petite enfance, que la vie de couple de mes parents, et tout ce qui pourrait ressembler ensuite à un lien. Pour les psychiatres rien n’était grave mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne l’ai avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux A PLUSIEURS REPRISES de façon inopinée ; Mes parents ont toujours été des gens soucieux, Je ne peux consentir à laisser terminer ce jugement SANS rappeler avoir passé des vacances durant ma période dite de détente juste avant cette hospitalisation de l’année 1974..
Un médecin major a évoqué la nécessité de me faire suivre, un autre médecin a indiqué que le traitement sous neuroleptiques devait ne pas s’arrêter brusquement… Lorsque j’ai été dégagé des obligations légales, j’ai continué à dormir sous somnifères, les insomnies devenaient courantes. Rien dans mon devenir ne m’a menacé, au titre de la maturité ou d’un quelconque équilibre, il n’y avait jamais rien de gravissime, hors de cela, le contester serait bien sur un leurre, de la façon où cela est présenté, si je n’avais jamais été le cas décrit, il y avait l’intérêt de mieux me connaître comme de mieux m’adresser aux autres, la raison pour laquelle j’ai été soumis à cette discipline médicale ne m’échappait pas en totalité puisque cela ne pouvait que soulager, soigner ; en tout cas ne pouvait pas me nuire, d’ailleurs sous piqûres et dès la première journée, lorsque je suis resté évidemment sans dépendances autre que dormir, j’ai effectivement plus pensé à rien, ne pensant plus que j’avais quitté le service du matériel, ou même l’Armée mais je me sentais inférioriser, tellement habituer à un emploi du temps rigoureux, j’ai du casser le rythme, c’est une réalité qui mérite d’être souligné. , Bon mal an, la plainte fut déclarée administrativement non recevable, on fit appel, et depuis ce temps, les services concernés ne s’interrogent plus, tandis qu’à l’hôpital basé à Dijon, et à Clamart, ils s’interrogeaient beaucoup


Les agissements thérapeutiques (de conception psychiatrique) que j’ai reçu sont censés soutenir « Personnalité pathologique » et « Psychose chronique. Les classifications des personnalités pathologiques sont nombreuses.
En France, on décrit les personnalités pathologiques en fonction de la maladie à laquelle elles s'apparentent, qu'elles imitent sur un mode mineur ou dont elles constituent implicitement le terrain favorisant
Une psychose est une affection nerveuse et mentale altérant profondément la personnalité dans son ensemble et qui se définit par la présence de symptômes psychotiques qui compromettent sérieusement l'adaptation du malade au monde extérieur et qui se caractérisent aussi par l'inconscience totale ou partielle de leur état pathologique par les patients.
En tant qu’être humain dans sa dignité et son identité, j’ai été choqué depuis que j’ai été maintenu au sein de bâtiments sanitaires durant l’Armée. Pendant que je terminais mon service militaire, l’inexistence de droits censés m’appartenir m’a paru occulté. De plus la prévention dont j’ai fait l’objet et les réalités s’opposent..
La peur est l’émotion du danger. Véritable processus de survie, elle est apparue chez l’homme pour le mobiliser face à des risques vitaux.. Mais, dans nos environnements professionnels actuels, la peur survient surtout dans des situations où les « menaces » sont davantage psychologiques que physiques : l’échec, le jugement négatif de l’autre, le changement n’en sont que quelques exemples. Or, de toutes les émotions humaines présentes, la peur a été sans doute l’une des plus fréquente et certainement l’une des plus probable. Elle pousse naturellement à la non motivation. Toutes les recherches en psychologie comportementale le confirment : nous progressons beaucoup plus efficacement quand nos comportements adaptés sont récompensés que lorsque nos comportements inadaptés sont punis. Il n’est pas acceptable que la peur soit érigée en mode de rangement. Ceci s’engage sur des indéterminismes fondamentaux à l’égard desquelles des précautions abstraites du monde « psy » estiment le droit « de mise à part » comme normale à l’appui d’une notoriété implacable des hiérarchies à l’active puis des services hospitaliers qu’il est souvent difficile de connaître avant que ces dernières s’installent au titre de votre prévention. Ce genre fort, débouche sur un faible appointage d’imputabilité. Le monde infirmier est plutôt fermé à tout mon contexte quand celui recèle des faits que l’Armée écarte et que le monde juridique revoit à la baisse. L’ensemble est resté très subjectif et c’est même un paradoxe qui jaillit du monde régulier et objectif, lui-même souvent discuté comme l’est la démesure. Oublier le contexte donc les faits c’est s’inscrire à l’essentiel dévoilé à ce jour par l’étude d’un passif.. Les causes nécessaires à l’étude régulière de la définition d’une psychose ne sont par exemple pas remplies, par ailleurs l’armée a écarté toute sa responsabilité. Ce que je dis est pourtant limpide, « on n’endort personne sous somnifère quand il dort normalement « , il s’agit bien pour moi de me défendre en montrant qu’il s’est s’agit d’une injonction de force où les observations qui s’y sont inscrites ne sont pas tout à fait conforme à ce qui se fait et se pratique, il suffit pour s’en convaincre de s’inscrire en amont sur le risque « psychotique. Les troubles psychotiques sont caractérisés par des symptômes psychotiques à la base de leur définition. Le terme psychotique a reçu plusieurs définitions à travers les années. Dans son sens le plus strict, il réfère à des idées délirantes et des hallucinations prononcées dont la personne ne reconnaît pas le caractère pathologique. Une définition plus large inclut des hallucinations que la personne reconnaît comme telles et des symptômes de désorganisation tels que le discours et/ou le comportement désorganisé.
Les troubles psychotiques qui suivent sont définis selon les symptômes psychotiques présents et leur durée ainsi que la présence simultanée ou non d'un épisode de trouble de l'humeur (dépressif ou maniaque)
Il en ressort obligatoirement que ce contexte psychotique a été vu et revu puis abandonné. En fait, on a tenté d’examiner de prêt ce qui pouvait ressortir de l’enfance voire de l’adolescence, Pour autant les thèmes sur la relation se retrouvent dans deux expertises, comme corroborant les éléments d’écoles. Tout ce qui a été entretenu sur la foi du dossier administratif et médical ne pourrait aujourd’hui plus être imputé de façon civile montrant ainsi ce qui ne valait pas la peine d’être relevé.
On a perduré dans cette situation pour m’imputer en plus « problèmes dans la vie professionnelle, privée, familiale, affective, ces problèmes valent-ils la peine d’être soutenu depuis ? En autre terme, qu’est-ce qui continue à gêner, n’est-il pas tout autant exagéré si l’on parlait de peur au travail ?
Notons que dans ma période militaire, il s’est s’agit de cela, bien qu’il ne s’agisse nullement a priori de la peur primaire, quasi animale. Certains intellectuels se sont efforcés de démontrer que les peurs dans nos contrées tempérées sont davantage liées à nos représentations qu’à nos perceptions. Autrement dit, on ressent de la peur alors qu’objectivement, on n’est pas en danger. La peur telle qu’on l’entend en milieu professionnel s’apparente plutôt à l’inquiétude et à la crainte, voire à l’anxiété. Les deux premières sont des peurs orientées vers le futur et trahissent différents degrés. La troisième est récurrente. Elle est l’émanation d’une personnalité. A noter que cette « peur » ne saurait se confondre avec le stress, qui n’est jamais qu’une réaction physique instantanée, un générateur d’émotions.
L’Armée sur le plan psychiatrique dit avoir des croyances, une démarche aussi appliquée que l’est sa force de loi, ceci est une manifestation qui conclue à la reconnaissance d’un soutien médicamenteux sur le mode de l'infirmité humaine.
J’en ai surtout retiré des frayeurs, une peur, des craintes, une panique et j’essaye de définir la « peur »
C’est quoi ? La peur est l’une de nos six émotions fondamentales définies par Darwin et admises depuis par l’ensemble de la communauté scientifique. Au même titre que la joie, la tristesse, la surprise, la colère et le dégoût. Des intellectuels ont prouvé par la suite que chacune de ces six émotions revêtait trois caractéristiques immuables : elles sont innées, ressenties par tout le monde et reconnues par tout le monde.
-A quoi sert-elle ? D’une manière générale, les émotions ont une fonction évolutive. La peur, elle, permet à l’individu de s’adapter et de survivre dans son environnement. En ce sens, elle joue un rôle protecteur permanent. Elle est aussi un accélérateur d’expérience (nous mémorisons mieux ce qui nous effraie). Elle permet enfin d’entrer en communication avec autrui, parce qu’elle suscite l’empathie. Quelqu’un d’effrayé éprouve le besoin d’être rassuré.
-Quels symptômes ? La composante physiologique de la peur est multiple. Ses symptômes peuvent aussi se cumuler : augmentation de la pression artérielle, accélération du rythme cardiaque, décharge d’adrénaline, chair de poule (héritage animal où il s’agit d’effrayer en paraissant plus « gros »), baisse de la température externe et… remontée des organes génitaux pour les hommes (une protection inconsciente des précieux attributs !). Sur le plan comportemental, l’homme apeuré aura le choix entre trois options : la fuite, la lutte, la stupeur. Mais le choix entre ces trois attitudes sera instinctif. On ne réfléchit pas et heureusement, car sinon cela pourrait nous être fatal. En fait, l’amygdale agit comme une barrière naturelle en mettant sur « off » le cortex préfrontal. Au travail, la peur peut se manifester par une altération du jugement rationnel.
-Une ou plusieurs peur(s) ? On distingue deux types de peurs : les naturelles et les culturelles. Les premières font partie de notre héritage génétique. Chacun les a intégrées dans son bagage psychologique (sang, bêtes féroces, eau, inconnus…) Certaines sont d’ailleurs spécifiques à chaque âge de l’individu : les monstres pour les touts petits, le « noir » pour les enfants… Les secondes sont le fruit du contexte et de l’environnement. Elles sont liées à des époques. Autrefois, c’était la fin du monde, la peste ou les loups-garous. A présent, ce serait plutôt le terrorisme ou le réchauffement climatique !
-La typologie des peurs au travail ? Trois catégories peuvent être répertoriées : la peur du jugement social (réunion, séminaire, entretien…), la peur de l’échec (mission…) et le syndrome du « détail qui tue », et enfin la peur de l’incertitude (emploi, déménagement, réorientation…).
J’ai toujours été plus à l’aise à accomplir une tâche routinière que d’avoir à faire quelque chose de nouveau, un lieutenant-colonel venait de me confier une tache nouvelle dans son propre bureau. Il ne m’est jamais arrivé d’avoir la gorge serrée ou les mains moites avant de prendre la parole devant un groupe lors de mon armée. Par contre, je suis sensible aux critiques que je peux recevoir dans mon travail surtout quand on se moque de moi et cela a été le cas.
En ajoutant la personnalité pathologique, celle qui se déforme au contact d’une société dans son fonctionnement et non d’un modèle, je pense que l’État s’égare, par l’exercice partiel et véhément de son pouvoir, de sa gouvernance. Un État qui n’a jamais cessé de proclamer des manques à travers les anomalies du seul mode de fonctionnement. Il est normal de se préoccuper de savoir ce que sera son travail dans un proche avenir
Quel est l’intérêt de souscrire à une imputabilité caricaturale que le mode militaire montre pour ce qui est par exemple au minimum unique l’avantage de reconnaître au vu d’un air particulier ! ! Le bien être au travail, qu'il soit psychologique, physique, ou social, est plutôt à l'évidence un facteur de performance pour les entreprises et pour l'économie, pourquoi briser ce bien être.
J’ai regardé de prêt ce qu’on entend par personnalité pathologique, j’ai lu qu’il y avait des problèmes atypiques, sédatifs ou incisifs. Je ne doute pas que l’armée possède une expertise reconnue dans le domaine du stress : stress lié aux contraintes et exigences du travail, aux changements organisationnels, aux relations difficiles, aux agressions et à la violence. Moi je dis simplement que cela ne nécessite pas obligatoirement la prise d’anticholinergique, de la sécheresse buccale débouchant sur des caries, un risque de constipation, des risques occlusifs, un possible adénome prostatique, de la confusion ou une altération de la conscience, quelques convulsions. Au fond, ce sont aussi des risques secondaires qui correspondent aux prises de médicaments psychiatriques. L a recherche juridique s’égare, elle aussi, ne faudrait-il pas plutôt qu’elle s’organise de façon à mettre en place des solutions spécifiques en matière de lutte contre le stress professionnel et d'adaptation au changement plutôt qu’à en rechercher des causes à tout bout de champ d’autant plus que le champs de recherche oublie souvent le milieu désorganisé où l’on vit.

Voici quelques références majeures, la liste n'étant pas exhaustive.
Ma procédure a conduit une enquête visant non pas à mesurer l'efficacité des différents types de psychothérapies pour les approches comportementales et cognitives. Le rapport n’a même pas conclu à l'efficacité des approches comportementales et cognitives dans le traitement de la majorité des troubles psychiques (efficacité démontrée pour les troubles globaux sur les troubles analysés) , on a oublié notamment tous les symptômes d'anxiété généralisée et de stress post traumatique.
« Le coût du stress professionnel augmente et la dépression est une pathologie de plus en plus courante... Mais je pense que le fait d’être déprimé, surmené, angoissé, stressé mérite autre chose
L'une des références majeures de la médecine française reste le souci d'évaluer les effets des thérapies et de leurs principales composantes, ceci est une caractéristique permanente de l'approche cognitivo-comportementale. En 35 ans, plusieurs centaines d'études bien contrôlées ont été menées sur l'efficacité des procédures en fonction des problèmes à traiter. Les indications privilégiées des thérapies comportementales sont les troubles anxieux... celles des thérapies cognitives, les troubles dépressifs et les difficultés relationnelles... Un autre domaine d'importance est représenté par « la gestion du stress » (ou stress management) que ce soit dans le champ de la médecine (pour prendre en charge les nombreuses pathologies somatiques ou psychologiques liées au stress) ou dans celui de l'entreprise (pour améliorer bien-être et efficacité au travail). »
« Les thérapies comportementales sont des psychothérapies bien établies dont les techniques représentent le traitement de choix de nombreux troubles mentaux » « En conclusion, les thérapies comportementales peuvent être recommandées dans les troubles anxieux comme le traitement de choix, avec ou sans médicament » « Les thérapies cognitivo -comportementales s'avèrent être un traitement spécifique puissant des troubles névrotiques... Les psychothérapies dynamiques, bien que populaires auprès des patients et des thérapeutes, ne se sont pas avérées supérieures au placebo dans le traitement des troubles névrotiques. »


Une conséquence qui a pris naissance au départ de mon capitaine quand il a été remplacé par un maréchal des logis chef. D'un point de vue pédagogique, la spécialisation disciplinaire de ma caserne de Saint Florentin est à l'origine d'une rupture avec la marche précédente de la caserne, en l’occurrence cette marche s’est rompue et ceci a été préjudiciable pour moi. Je me suis retrouvé brutalement confrontés à une dizaine d'intervenants de petits grades dont certains pour des activités banales plus que militaires ont eu un comportement difficile. Pour des collègues de même âge parfois en difficultés, l'effort d'adaptation demandé a été trop important et la situation s’est tendue.
Par ailleurs, cette spécialisation disciplinaire a sans doute contribué à renforcer le contenu brutal des façon de faire des futurs gradés -ce qui était sans doute nécessaire- mais celle-ci s'est effectuée au détriment de la dimension pédagogique de l'enseignement habituelle, d'autant plus indispensable que l’armée accueille des publics de plus en plus diversifiés La dépression, qu’on m’a indiqué sans que je la vois naître durant l'armée, c’est l'existence mal fondée de toute introspection vers le recul marquée de l’ancienne autorité, celle d’un capitaine plutôt sympathique et plutôt juste via un trouble réel du fait limitrophe de la Caserne de Saint Florentin avec un autre bataillon. Je ne l’ai jamais ressentit comme tel mais la tension était paraît –il vive. La loi toujours insuffisamment pratiquée sur le terrain, s’applique mal depuis. Trente après, cette fâcheuse conjecture ne me permet pas de croire au sens de la justice. Pour tous les autres interlocuteurs entendus, il conviendrait d'introduire plus de souplesse en mettant en avant la notion de " champ disciplinaire discutable en tout cas en recul ", Vous ne parlez pas de l’altercation que j’ai eu avec un appelé, vous avez décidé, après avoir suivi la procédure, de sanctionner non pas une mise à pied disciplinaire ce qui est vrai, il est à noter que je n’en ai jamais eu. C’est donc cette hospitalisation qui domine avec tous ses attributs Vous devriez vous interroger sur les conséquences de ces mises à part. Quelles retenues y aurait du avoir et surtout mentionner que la mise à part sur la semaine considérée n’a vraiment aucun rapport avec les faits, d’où les conséquences de cette mise à part que je met en avant ? Le comportement de plusieurs de mes collègues posait des problèmes.. Je n’ai jamais été en retard lors de mes prises de poste,
Mon altercation n’était pas grave mais les intrus sont aller jusqu'à me menacer verbalement. Nul n’aurait pu rester sans réagir face à de tels comportements.

3 réponses

JeanJod Messages postés 2619 Date d'inscription mardi 30 septembre 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 24 mars 2010 1 141
27 févr. 2009 à 19:14
Bonjour,

Je ne suis pas convaincu que quelqu'un lira l'intégralité de votre message.

Quelle est votre question ?
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Puis je contester que je n'ai pas de "personnalité pathologique comme je ne souffre pas de "psychose chronique. L'objet du jugement s'est toujours basée sur une éventuelle pension, pensant que les deux affections psychiatriques étaient réelles, révélées à l'armée et finalement non imputable.
MARCEL MANDELKORN
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MARCOTXO Messages postés 307 Date d'inscription vendredi 9 décembre 2005 Statut Membre Dernière intervention 31 juillet 2009 320
27 févr. 2009 à 19:21
D'accord avec JeanJod. Posez une question précise, c'est le but du forum. Mais vous n'êtes pas seul (même si je me garderais bien de juger votre situation. En tout cas, moi, je n'ai pas le temps de lire tout ça, désolé.
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J'admets que c'est long, on pourrait en faire un livre. Mais je n'ai pas de "personnalité pathologique" ne souffre pas de "psychose chronique". Je conteste même que je puisse être jugé pour prétendre à un droit à pension. L'armée après avoir dégagé des affections psychiatriques entend s'en désengager, elle rend non imputable tout ce qu'elle avance. Mon jugement n'a qu'un objet montrer ou pas que cela existe, et moi je montre qu'il y a abus de droit. Mais seul je ne peux rien faire ni dire qui puisse être pris en compte. Pourtant à l'origine, c'est bien un psychiatre civil qui a porté cette affaire devant l'État, lui-même attaqué sur ses deniers. De plus il ya l'autorité de la chose jugée qui juge l'affaire close parce que désormais irrecevable, où va-t-on?
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Né en 1952 à Paris, Marcel Mandelkorn est grand père d’une petite fille d’un an. De parents israélites, sa famille a subi les pogroms de Russie et les ghettos de Pologne. La plupart sont morts dans la débâcle de 1939. Il rêve d’éviter les pièges contemporains.
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