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6 réponses
Bonjour,
Ce genre de service existe déjà, ce qui montre qu'il y a de la clientèle.
Sur un forum dédié au droit et à la finance, ce n'est sans doute pas le meilleur endroit pour faire une étude de marché.
Bonjour
Je n'en vois pas l'avantage par rapport à un taxi ou ils ont du personnel dédié aux enfant qui plus est malades : s'ils ne sont que peu sollicités dans ce cadre , c'est qu'il y a une raison .
Et vu que la remise de bras a toujours lieu en fin de semaine, voire début, cela limite quand même beaucoup l'activité .
Enfin il y a le prix de ce service : les DVH sont un droit, pas une obligation, ce pourquoi le choix du transport se fait aussi par rapport à celà ... et au jugement .
Concrètement, je ne vois pas le cœur de cible ...
Bonjour,
Merci pour votre retour, mais je pense qu'il y a plusieurs points à nuancer.
Tout d’abord, concernant les taxis : oui, certains taxis ont du personnel formé pour transporter des enfants, mais ce n’est pas du tout systématique, et encore moins généralisé dans les petites villes ou les zones rurales. De plus, comme je l’ai expliqué par ailleurs, les taxis ont souvent un planning très serré et optimisé pour maximiser leur chiffre d’affaires. Un imprévu parental ou scolaire peut vite désorganiser leur journée — alors qu’un service spécialisé, pensé spécifiquement pour ce type de transport et avec une souplesse intégrée, peut justement mieux répondre à ces contraintes.
Quant au fait que ce type de service serait "peu sollicité", cela ne signifie pas qu'il n’y a pas de besoin. Cela peut aussi vouloir dire qu’il n’y a pas aujourd'hui d’offre claire et spécialisée qui inspire suffisamment confiance aux parents et soit adaptée à ce cas précis. C’est d’ailleurs l’intérêt de mener ce type de réflexion en amont.
Sur la question du "cœur de cible" : le service ne s’adresse évidemment pas à 100 % des familles séparées. Il s’adresse à celles qui :
-
ont une distance géographique importante entre les domiciles parentaux ;
-
souhaitent éviter les tensions lors des remises d’enfants (cas de séparations conflictuelles) ;
-
ont des contraintes professionnelles rendant le transport difficile ;
-
veulent sécuriser les trajets pour les enfants (notamment quand il y a des trajets en train à gérer par exemple).
Enfin, bien entendu, le recours à ce service reste un choix, en complément de ce que prévoit le jugement. L’idée n’est pas d’imposer quoi que ce soit, mais de proposer une solution là où le besoin existe.
Bref, dire "je ne vois pas le cœur de cible" me semble un peu rapide. Il y a bel et bien un segment de familles pour qui ce type de service pourrait être utile — à condition justement d’être bien conçu et bien expliqué
Je cois que vous ne comprenez pas que si tant est que des personnes auraient besoin de ce service, cela ne set à rien de proposer un service qui ne serait pas rentable ou trop cher .
Vous réduisez vos possibilités de service de transport, transports qui se passent tous au même moment : mis à part si vous ne voulez qu'un seul client, votre planning sera tout autant serré.
Vous ne répondez pas clairement à la question du cœur de cible ( personnes susceptible d'être intéressées pour quel trajet en km, durée, heures ,pour quel budget, catégorie socio professionnelle), car pour cela il faudrait des données chiffrées ( prix / charges )
Si vous voulez assortir vote bagou d'une vraie étude de marché avec busness plan validé par la CCI ou la CMA, ce serait un bon départ ...
A mon sens, vous ne vous posez pas les bonnes questions. Vous avez déjà plein de concurrents bien implantés dans certaines régions, et des concurrents qui proposent des services de grande qualité.
La première question à se poser c'est "vous comptez apporter quoi de nouveau par rapport à la concurrence" ? Prix inférieurs ? Services plus originaux ? Desserte de zones où ce service est absent ?
Bonjour,
Il est évident que ce service, comme n'importe quel service peut fonctionner.
Et quelqu'un d'autre pourra même devenir riche en créant cette entreprise.
Le problème, c'est que ce n'est pas parce que quelqu'un d'autre pourra s'en sortir que vous pourrez.
50% des créations d'entreprises échouent dans les 5 ans. 25 % dans les deux ans. Mais ce n'est jamais un pile ou face. C'est surtout une question de préparation et de compétences.
Quelqu'un qui a besoin de demander les 'besoins et attentes' sera automatiquement placé dans les 25% qui échoueront dans les deux ans.
C'est à vous de savoir répondre à ces questions aujourd'hui. Par vos connaissances et compétences personnelles. Si vous êtes convaincu que vous avez besoin d'un éventail d'information, ce sera à vous de savoir qu'il faudra payer pour avec ces informations. Argent qui ne vous sera évidemment pas rendu si les réponses vous déplaisent.
Au final, la regle primordial à retenir ici, toujours la même sera la suivante :
On ne crée pas son entreprise pour gagner de l'argent. On ne crée pas son entreprise si on a besoin d'argent.
On crée son entreprise quand on a trop d'argent de coté. Et qu'on cherche un challenge. Pendant un an, vous allez perdre de l'argent. La deuxième année, si vous avez de la chance, vous gagnerez l'équivalent d'un smic... pour 70 heures de travail par semaine.
Si vous persistez, vous pouvez espérer gagner l'équivalent d'un salaire horaire d'ici 3 ou 4 ans. Et si vous survivez les 5 ans, vous avez de grande chance de gagner beaucoup d'argent.
Lien de confiance durable → chauffeur régulier identifié par la famille.
Sauf que vous indiquez avoir recours à des remplaçants en cas d'indisponibilité... Votre remplaçant ne sera donc plus le chauffeur régulier identifié par la famille ?
Bonjour,
Merci pour votre message, même si je dois dire qu’il repose davantage sur des généralisations un peu péremptoires que sur une réelle compréhension de mon approche.
Il est vrai que l’entrepreneuriat comporte des risques. Ce n’est un scoop pour personne. Mais affirmer que demander à ses futurs clients ce qu’ils attendent est un signe d’échec annoncé relève d’une vision assez archaïque de la création d’entreprise. Aujourd’hui, toute démarche sérieuse passe justement par une phase de validation du besoin : on appelle cela de la recherche utilisateur, de l’étude de marché, ou encore du design centré sur l’utilisateur. Ce n’est pas un aveu d’incompétence, c’est une marque de rigueur.
Quant à l’idée qu’on ne crée une entreprise que lorsqu’on a « trop d’argent de côté », c’est une vision élitiste et déconnectée de la réalité de bon nombre d’entrepreneurs qui ont créé des structures solides sans capital mirobolant, mais avec de l’engagement, une bonne préparation, et une vraie compréhension du terrain, justement grâce aux échanges en amont avec leurs futurs clients.
Pour finir, sur votre remarque concernant la relation de confiance avec les familles : le fait d’avoir un chauffeur principal n’empêche pas de mettre en place un système de remplaçants formés et identifiés à l’avance, dans un cadre transparent. L’enjeu n’est pas d’être irremplaçable, mais de garantir une continuité de service humaine et fiable, ce qui fait justement partie de la valeur ajoutée de l’entreprise que je développe.
Il serait utile que vous vous penchiez aussi sur la législation :
https://entreprendre.service-public.fr/vosdroits/F31027
Notamment sur les limites imposées pour respecter la concurrence avec les taxis avec le plan du transport urbain .(Direction Générale des Infrastructures des transports et de la mobilité,Direction des mobilités routières,Recueil des textes applicables au transport public particulier de personnes).
Vous parlez beaucoup de personnel formé ... Mais on ne sait pas en quoi .
C’est simple : dans les CCAS des villes, auprès des associations de parents, il existe des ressources spécifiques sur la manière de se comporter avec des enfants dont les parents sont séparés, en particulier lorsque la séparation a été difficile. Ces structures peuvent vraiment aider à mieux comprendre et accompagner les enfants dans ce contexte.
Je comprends tout à fait votre remarque. Pour vous répondre, je travaille depuis maintenant cinq ans dans le transport de personnes à mobilité réduite. Dans ce cadre, je suis régulièrement en contact avec des établissements médico-sociaux, notamment ceux qui accompagnent des enfants en situation de handicap social.
Dans le cadre de mon activité, il m’arrive fréquemment de recevoir des demandes de la part de ces établissements pour transporter des enfants soit vers l’un des parents, soit vers une famille d’accueil. Toutefois, ces établissements sont tenus à un périmètre géographique qu’ils ne peuvent pas dépasser. C’est pourquoi, avec certaines familles, nous mettons en place des points de rendez-vous adaptés pour faciliter ces trajets.
C’est précisément en observant ces situations récurrentes que je me suis posé la question suivante : d’autres familles, dont les enfants ne sont pas pris en charge par ces structures, pourraient-elles avoir besoin de ce type de service ? C’est sur cette base que ma réflexion a débuté.
Je suis tout à fait conscient qu’il existe des règles et des lois strictes encadrant ce domaine, et je ne prétends pas les ignorer. Je ne cherche pas non plus à m’improviser professionnel du secteur médico-social sans en avoir la formation. Mon objectif est de réfléchir à des besoins observés sur le terrain, et de voir s’il existe des moyens de les adresser légalement, en respectant le cadre existant.
Merci pour votre retour.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre questionBonjour,
Quelle serait la plus-value par rapport aux services existants pour les longues distances (accompagnement SNCF et avion) et aux VTC pour les courtes distances ? Qu'est ce qui garantirait la confiance plus que ces services ?
Bonjour,
Par rapport aux services existants pour les longues distances (accompagnement SNCF et avion) :
Leurs limites :
- Ils ne gèrent que la partie transport principal, pas le porte-à-porte (ex : gare → domicile de papa → gare → domicile de maman).
- Peu de flexibilité horaire → contraintes des horaires de train ou de vol.
- Service impersonnel : enfant encadré par plusieurs adultes différents → peu rassurant.
- Frais élevés + complexité administrative.
Ma plus-value :
- Service porte-à-porte personnalisé → beaucoup plus fluide.
- Accompagnant unique ou connu → très rassurant pour l’enfant et les parents.
- Pas besoin que les parents se déplacent à la gare ou à l’aéroport.
- Prise en charge sur toute la chaîne → moins de stress pour les parents.
- Flexibilité totale sur les horaires et les jours.
Par rapport aux VTC / taxi sur courtes distances :
Leurs limites :
- Du transport simple point A → point B.
- Pas de suivi particulier des mineurs.
- Chauffeur inconnu à chaque trajet.
- Pas forcément formé pour gérer des enfants seuls.
- Pas de lien particulier avec la famille.
Ma plus-value :
- Lien de confiance durable → chauffeur régulier identifié par la famille.
- Service adapté aux enfants → sièges auto fournis, équipement adapté.
- Accompagnement jusqu’à l’interlocuteur final (ex : pas déposé devant l’école mais confié à l’enseignant).
- Communication proactive avec les parents → SMS ou appli pour confirmer la prise en charge et l’arrivée.
- Gestion des situations délicates (retard de l’école, imprévu parental, changement de dernière minute).
bonjour,
"Gestion des situations délicates (retard de l’école, imprévu parental, changement de dernière minute)."
OK... et vu par l'autre côté de la lorgnette ?? par exemple :
- vous êtes malade (et incapable de conduire) pile "LE" matin où vous avez une course...
- votre voiture a une panne (même bien entretenue, ça peut arriver)
- vous avez un accident... par exemple, une autre voiture vous heurte => quid de la peur de l'enfant ? du temps passé à faire le constat en laissant le gamin seul et terrorisé sur son siège ou assis sur la banquette arrière ? de la "confiance" que les parents vous auraient accordée... qui s'envolera très probablement bien vite ? ... etc etc etc
- vous vous retrouvez bloqué dans un bouchon/derrière une file de camions/tracteurs en train de manifester/... etc., comme tout le monde, vous ne serez pas épargné par les aléas de la route...
.
Moi, dans le cadre d'un divorce/séparation, je n'aurais JAMAIS laissé (et je ne l'ai jamais fait) un inconnu aller chercher ou me ramener mes enfants lors des WE ou des vacances..... d'ailleurs les jugements en général précisent lequel des parents (donc : PAS un inconnu !), selon la/les semaines/WE/vacances "de garde", DOIT aller chercher et remettre les enfants lors des échanges.... etc. ... bien sûr, les 2 parents peuvent s'entendre pour faire de façon différente... mais quelle est la proportion de personnes séparées/divorcées qui s'entendent par rapport à ceux qui se déchirent (et qui, dans ce dernier cas, doivent suivre leur jugement.... !!) ????
.
cdt.
bonjour,
Ce que vous décrivez là correspond tout simplement aux aléas que toute personne active peut rencontrer, quel que soit son métier : maladie, panne, accident, retard... Cela fait partie des réalités auxquelles tout professionnel doit faire face, avec des solutions à anticiper en amont (remplaçant, plan B, assurance, etc.). Cependant, en ce qui concerne les taxis, il faut noter une différence importante : ils travaillent souvent avec des plannings très serrés, organisés à la journée voire à la semaine. Un imprévu parental ou un léger retard à l’école peut avoir un effet domino sur toutes les courses prévues ensuite, ce qui complique fortement leur organisation.
C’est justement là qu’un service de transport dédié spécifiquement aux enfants de parents séparés, avec des trajets pensés à l’avance et une certaine souplesse intégrée, peut faire la différence. Ce type de service est conçu pour anticiper ce genre d’aléas et les gérer de manière adaptée, sans que cela ne désorganise complètement une journée de travail ou ne pénalise d'autres clients.
Je comprends que vous ayez votre avis et que dans votre situation vous n'ayez jamais eu recours à un tiers. Mais attention à ne pas généraliser votre cas personnel. Dans la réalité, beaucoup de situations de séparation nécessitent des solutions adaptées : parents vivant loin l’un de l’autre, emplois du temps compliqués, volonté d’éviter des confrontations directes… Dans ces cas-là, un service professionnel, encadré, est bien souvent une solution utile et sécurisée — et non "un inconnu" improvisé.
De plus, les jugements de divorce ne sont pas figés : ils peuvent être aménagés, modifiés, ou donner lieu à des accords entre parents. Heureusement, tous les parents séparés ne sont pas en guerre permanente et savent, pour beaucoup, privilégier l’intérêt de l’enfant en trouvant des solutions pratiques.
Enfin, il est faux de croire que ce type de service s’adresse à tout le monde indistinctement. Il vise justement les familles qui y voient une nécessité, dans un cadre légal et sécurisé. Ce n’est pas parce que vous n’y seriez pas favorable que cela n’a pas de légitimité pour d’autres.
"Enfin, il est faux de croire que ce type de service s’adresse à tout le monde indistinctement. Il vise justement les familles qui y voient une nécessité,"
Et qui vous dit que je crois que ce type de service s'adresse à tout le monde sans distinction ???????? Je n'ai jamais écrit ça...
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Vous êtes un "beau parleur" et un "Monsieur de La Palice"... il est bien évident que les familles qui ne ressentiront pas le besoin de ce type de service ne vous contacteront pas ! De plus, personne n'aime foutre son argent en l'air..... surtout que les débuts de séparation/divorce sont bien souvent financièrement difficiles....... (mais bien sûr pas pour tout le monde....... il y a effectivement aussi des gens riches et insouciants qui n'ont pas à compter leurs Euros... tant mieux pour eux... mais je ne pense pas qu'ils soient en majorité... et en fait, je m'en fiche... mes cheveux sont blancs et je suis heureuse d'avoir vécu - même si ça a été difficile (comme vous ne pouvez même pas l'imaginer - dans une société de moindre assistance par rapport à celle de maintenant, où l'assistanat, à tous les niveaux, est devenu règle d'or...)
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C'est comme dire qu'une personne A, qui n'aime pas faire ses courses au marché à porter des sacs lourds/traîner un petit chariot rempli à ras bord et à devoir payer le tout en espèces, n'ira pas dans les marchés... mais ira dans les commerces du coin et/ou dans les petites/moyennes/grandes surfaces... (et bien évidemment... vice-versa...!!)
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"Ce n’est pas parce que vous n’y seriez pas favorable que cela n’a pas de légitimité pour d’autres."
Je ne crois pas avoir prétendu ça... arrêtez avec vos interprétations/suppositions !!!
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Je n’ai jamais prétendu que vous aviez dit explicitement que ce service s’adressait à tout le monde. Si j’ai précisé ce point, c’était simplement pour clarifier la démarche globale, afin que la discussion reste lisible pour tous, et non pour vous prêter des intentions que vous n’avez pas exprimées.
Par ailleurs, vos remarques sur les difficultés financières des familles séparées, sur l'assistanat, ou sur les différences générationnelles, si intéressantes soient-elles dans un autre débat, ne changent rien au fait qu'il existe aujourd'hui des familles pour lesquelles ce type de service pourrait répondre à un besoin réel et ponctuel. Cela ne concerne évidemment pas tout le monde — et personne ici n'a dit le contraire — mais cela ne remet pas en cause la légitimité de l'idée.
Enfin, je vous invite à recentrer vos interventions sur le sujet lui-même plutôt que sur ma personne ou sur des jugements de valeur. Nous sommes ici pour échanger de manière constructive, pas pour distribuer des procès d’intention ou des leçons de vie.
Commencez par consulter votre Chambre de Commerce et d'Industrie :
Votre réponse est inutilement agressive et condescendante. J’ai exprimé une opinion personnelle, fondée sur une expérience concrète et un choix assumé de privilégier les sources directes et accessibles.
Le fait que cela vous fasse réagir aussi vivement laisse penser que vous êtes peut-être personnellement impliquée dans une CCI ou que vous y travaillez – ce qui expliquerait ce ton disproportionné. Cela dit, ce n’est pas une raison pour dénigrer les autres ou caricaturer leur démarche.
Si vous avez des arguments à apporter, je suis toujours ouvert à un échange respectueux. Dans le cas contraire, inutile de poursuivre sur ce registre.
La législation juridique et financière évolue en permanence...
Bonjour,
Justement, il s'agit d'un forum dédié au droit et à la finance, avec une sous-catégorie spécifique 'création d'entreprise'. Il me semble donc tout à fait pertinent d'échanger ici sur des aspects liés à une étude de marché, qui fait partie intégrante de la création d'une entreprise.
"Discuter des aspects liés à une étude de marché", oui, mais faire l'étude de marché non. Sur ce forum vous trouverez sans doute des gens qui pourront vous conseiller sur comment mener votre étude.
En revanche les questions que vous posez dans votre message, il faut les adresser à votre clientèle putative, donc vous orienter vers un forum spécialisé dans les questions familiales.
Je comprends votre point de vue, mais je crois qu'il y a un malentendu. Je ne suis évidemment pas en train de "faire mon étude de marché" ici au sens de sonder directement ma clientèle cible — cela se fait bien entendu sur d’autres canaux appropriés.
En revanche, discuter de certains aspects, confronter l'idée à des regards extérieurs et recueillir des avis d'entrepreneurs, de juristes ou de personnes expérimentées en création d'entreprise a toute sa place ici. C'est d'ailleurs exactement l'objectif de la sous-catégorie "création d'entreprise" de ce forum.
Enfin, suggérer que je devrais aller poser mes questions uniquement sur un forum "familial" revient à limiter artificiellement la réflexion. Quand on construit un projet d'entreprise, avoir une vision juridique, pratique et entrepreneuriale est indispensable. C’est précisément ce que je cherche ici.
Je n’ai pas sollicité ce forum pour qu’on m’explique ce que je dois ou ne dois pas faire, mais pour enrichir ma réflexion, ce qui me semble parfaitement légitime ici.
Pas de mal entendu de ma part. Dans votre message initial vous posez des questions qui s'adressent à votre clientèle, pas à des juristes ou des entrepreneurs.
Mais si l'on prend vos questions sur un côté "entrepreneurial" la réponse à la première question est simple : oui, ce service est utile, trente secondes de rechercher sur Internet montrent qu'il y a pléthore de taxis spécialisés dans le transport des enfants. Certaines de ces entreprises ont pas mal d'ancienneté, ce qui montre qu'il y a un marché.
La réponse à la seconde question vous l'avez déjà : vos clients attendent que vous transportiez leurs enfants jusqu'à destination en toute sécurité.