Précarité logement expulsion report rupture conventionnelle
Résolu
Josephine93100
-
12 sept. 2020 à 16:45
dna.factory Messages postés 25425 Date d'inscription mercredi 18 avril 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 18 décembre 2024 - 14 sept. 2020 à 13:05
dna.factory Messages postés 25425 Date d'inscription mercredi 18 avril 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 18 décembre 2024 - 14 sept. 2020 à 13:05
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4 réponses
tania57
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12 sept. 2020 à 17:13
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La rupture conventionnelle étant un accord commun sils ne veulent pas rien à faire chômage ne donne droit à rien
Si votre absolue priorité est de quitter ce job, et Paris, pour le 15/10, il n'y a que la possibilité de démissionner dés lundi. En esperant que vous n'ayez pas plus d'un mois de préavis.
Pierrecastor
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12 sept. 2020 à 21:39
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salut
Résidence étudiante du CROUS ?
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dna.factory
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14 sept. 2020 à 13:05
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Pour commencer, considérez que vous n'aurez PAS cette rupture conventionnelle.
L'employeur n'a aucune obligation de vous la proposer, ni aujourd'hui, ni jamais.
Et vous n'avez aucun moyen légal de l'y obliger.
Maintenant, vous avez grosso modo deux solutions, et ça dépend de votre objectif à long terme dans la vie.
Le premier CDI est toujours critique que ce soit pour se faire une expérience ou se constituer un réseau. Et il est généralement admis qu'on fasse quelques sacrifices et concessions.
Je suppose que quand vous parler de quitter votre emploi, c'est pour retourner chez vos parents ?
Pour moi c'est la mauvaise solution. En faisant ça, vous risquez de perdre tous les bénéfices du stages, des CDD et du CDI.
Sans parler du fait que si vous avez besoin de quitter l'emploi actuel, on peut supposer que vos parents habitent loin de Paris, et donc vous allez quitter le plus gros bassin d'emploi durant la pire crise économique du siècle.
Si malgré tout vous persistez dans ce choix, la solution est simple et a déjà été indiquée. Vous posez votre démission. Vous ne toucherez pas de chômage dans l'immédiat, mais si c'est pour aller vivre chez vos parents, c'est pas si grave vu que vous n'aurez plus de loyer à payer. Et si dans 4 mois vous n'avez pas retrouvé de boulot, vous pourrez redemander l'examen de votre situation, et si vous arrivez à prouver une recherche active d'emploi (pas très compliqué), vous devriez bénéficier du chômage.
L'autre solution consiste à s'accrocher. A faire les sacrifices dont je vous parlais plus haut. A accepter que ce premier CDI vous fasse perdre de l'argent à court terme.
Je suis vraiment surpris qu'aucun des 100 FJT de paris n'aient de place, et je ne parle pas des 350 de la région parisienne.
Quand à trouver un logement à moins de 450, en région parisienne, vous pouvez oublier les logements sociaux pour le moment. Il faudra donc chercher dans le privé.
Certes, ça me semble improbable Intra-muros, mais c'est possible encore une fois en région Parisienne.
Alors oui, ça risque fortement d'être loin et mal desservi. De générer 90 minutes de transport matin et soir.
Mais il va falloir se faire une raison. Accepter une situation dégradée transitoire le temps de trouver des situations à plus long terme.
Vous aurez surement plus de chance auprès des particuliers que les agences, ces derniers n'ayant pas forcément recours à une assurance loyer impayés, et n'étant donc pas tenu à la regle du salaire = trois fois le loyer.
Il faudra bien sur faire attention aux marchands de sommeils et autres arnaqueurs qui seront trop heure de vous vendre du rêve.
Un assistante sociale devrait pouvoir vous aider. Mais au final, ce sera à vous de vous bouger.
L'employeur n'a aucune obligation de vous la proposer, ni aujourd'hui, ni jamais.
Et vous n'avez aucun moyen légal de l'y obliger.
Maintenant, vous avez grosso modo deux solutions, et ça dépend de votre objectif à long terme dans la vie.
Le premier CDI est toujours critique que ce soit pour se faire une expérience ou se constituer un réseau. Et il est généralement admis qu'on fasse quelques sacrifices et concessions.
Je suppose que quand vous parler de quitter votre emploi, c'est pour retourner chez vos parents ?
Pour moi c'est la mauvaise solution. En faisant ça, vous risquez de perdre tous les bénéfices du stages, des CDD et du CDI.
Sans parler du fait que si vous avez besoin de quitter l'emploi actuel, on peut supposer que vos parents habitent loin de Paris, et donc vous allez quitter le plus gros bassin d'emploi durant la pire crise économique du siècle.
Si malgré tout vous persistez dans ce choix, la solution est simple et a déjà été indiquée. Vous posez votre démission. Vous ne toucherez pas de chômage dans l'immédiat, mais si c'est pour aller vivre chez vos parents, c'est pas si grave vu que vous n'aurez plus de loyer à payer. Et si dans 4 mois vous n'avez pas retrouvé de boulot, vous pourrez redemander l'examen de votre situation, et si vous arrivez à prouver une recherche active d'emploi (pas très compliqué), vous devriez bénéficier du chômage.
L'autre solution consiste à s'accrocher. A faire les sacrifices dont je vous parlais plus haut. A accepter que ce premier CDI vous fasse perdre de l'argent à court terme.
Je suis vraiment surpris qu'aucun des 100 FJT de paris n'aient de place, et je ne parle pas des 350 de la région parisienne.
Quand à trouver un logement à moins de 450, en région parisienne, vous pouvez oublier les logements sociaux pour le moment. Il faudra donc chercher dans le privé.
Certes, ça me semble improbable Intra-muros, mais c'est possible encore une fois en région Parisienne.
Alors oui, ça risque fortement d'être loin et mal desservi. De générer 90 minutes de transport matin et soir.
Mais il va falloir se faire une raison. Accepter une situation dégradée transitoire le temps de trouver des situations à plus long terme.
Vous aurez surement plus de chance auprès des particuliers que les agences, ces derniers n'ayant pas forcément recours à une assurance loyer impayés, et n'étant donc pas tenu à la regle du salaire = trois fois le loyer.
Il faudra bien sur faire attention aux marchands de sommeils et autres arnaqueurs qui seront trop heure de vous vendre du rêve.
Un assistante sociale devrait pouvoir vous aider. Mais au final, ce sera à vous de vous bouger.