Droit de préemption purgé mais vente annulée
Résolu
lesmickeys
Messages postés
7
Date d'inscription
vendredi 1 février 2019
Statut
Membre
Dernière intervention
28 février 2019
-
1 févr. 2019 à 19:15
kasom Messages postés 32261 Date d'inscription samedi 25 septembre 2010 Statut Modérateur Dernière intervention 29 octobre 2024 - 28 févr. 2019 à 17:15
kasom Messages postés 32261 Date d'inscription samedi 25 septembre 2010 Statut Modérateur Dernière intervention 29 octobre 2024 - 28 févr. 2019 à 17:15
A voir également:
- Droit de préemption locataire baisse de prix
- Prix terre agricole par commune 2023 - - Achat-Vente
- Pour faire valoir ce que de droit - Guide
- Prix passeport - Guide
- Seau de tabac 1kg andorre prix - Guide
- Sacem prix - Guide
6 réponses
Ulpien1
Messages postés
5436
Date d'inscription
vendredi 2 mars 2018
Statut
Membre
Dernière intervention
19 septembre 2019
2 394
3 févr. 2019 à 11:36
3 févr. 2019 à 11:36
Bonjour
"Surprenant ....." dit Kasom. il a raison: en l'occurrence il s'agit d'une seconde notification suite à une baisse de prix de vente. Bien. Mais s'agissant d'une notification par LRAR, si les locataires avaient déjà quitté le logement, la LRAR a été retournée à l'expéditeur environ trois semaines après son envoi.Comment se fait-il alors que le notaire ait attendu plusieurs mois pour refaire cette notification ? De plus, quel intérêt pour le notaire que le locataire n'exerce pas son droit de préemption? Aucun dès lors qu'il conserve la charge de l'acte.
Pour ce qui concerne des dommages et intérêts éventuels: le moyen fondé sur la perte de chance d'acheter, est à éliminer d'entrée car il n' y a aucun préjudice dès lors que si la notification avait été faite à la bonne adresse la situation ne changeait pas: le locataire exerçant son droit de préemption.
"Surprenant ....." dit Kasom. il a raison: en l'occurrence il s'agit d'une seconde notification suite à une baisse de prix de vente. Bien. Mais s'agissant d'une notification par LRAR, si les locataires avaient déjà quitté le logement, la LRAR a été retournée à l'expéditeur environ trois semaines après son envoi.Comment se fait-il alors que le notaire ait attendu plusieurs mois pour refaire cette notification ? De plus, quel intérêt pour le notaire que le locataire n'exerce pas son droit de préemption? Aucun dès lors qu'il conserve la charge de l'acte.
Pour ce qui concerne des dommages et intérêts éventuels: le moyen fondé sur la perte de chance d'acheter, est à éliminer d'entrée car il n' y a aucun préjudice dès lors que si la notification avait été faite à la bonne adresse la situation ne changeait pas: le locataire exerçant son droit de préemption.
3 févr. 2019 à 12:49
D'après le clerc de notaire sachant que le pli a été pré-avisé mais non réclamé celui-ci n'a aucune valeur juridique, par conséquent et d'après la loi de décembre 2017 comme l'indique Dany311, il faut absolument envoyer la notification à la nouvelle adresse si le bailleur la connaît. Sauf que le clerc s'est réveillé 10 jours avant la signature et m'a prévenu la veille car les locataires d'après ses dires lui avaient dit verbalement qu'ils n'étaient pas acheteurs mais ils se sont manifestés au dernier moment alors que le clerc avait declenché tout le pocessus (déblocage des fonds etc...). L'erreur à la base vient du notaire qui n'a pas fait la notification comme il aurait fallu c'est à dire à la bonne adresse et qu'il a mis 2 mois à s'en rendre compte.
Du coup, je ne sais pas si je peux attaquer le notaire pour préjudice.