Recruteur demande autorisation a mon employeur pour me recruter
franck77515
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hoquei44 Messages postés 16326 Date d'inscription dimanche 19 janvier 2014 Statut Membre Dernière intervention 25 octobre 2024 - 27 mai 2017 à 16:25
hoquei44 Messages postés 16326 Date d'inscription dimanche 19 janvier 2014 Statut Membre Dernière intervention 25 octobre 2024 - 27 mai 2017 à 16:25
A voir également:
- Lettre de l'employeur motivant le recrutement
- Lettre de demande d'aide sociale pdf - Guide
- Lettre de témoignage - Guide
- Modèle lettre de procuration - - Modèles de lettres vie pratique
- Lettre de candidature - Guide
- Lettre de decharge - - Modèles de lettres Patrimoine
2 réponses
hoquei44
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27 mai 2017 à 15:05
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Bonjour,
C'est une pratique légale afin de vérifier que vous n'avez pas menti sur la clause de non-concurrence. Sauf juste motif, l'employeur ne peut pas refuser.
CB
C'est une pratique légale afin de vérifier que vous n'avez pas menti sur la clause de non-concurrence. Sauf juste motif, l'employeur ne peut pas refuser.
CB
Bonjour
Dîtes non !
Votre employeur ne peut pas refuser, on peut pas empêcher quelqun de démissionner.
Mais cela peut vous pourrir la vie dans votre boite actuelle , surtout si votre recrutement n'est pas matérialisé par une promesse d'embauche.
C'est juste malsain et cynique comme pratique, avant les recruteurs assuraient le secret, maintenant beaucoup de candidats fraudent, donc plus rien ne passe, tout devient permis au nom de la transparence et si vous n'avez rien à vous reprocher vous n'avez rien à craindre.
Même si c'est fait derrière votre dos en fait, sans que vous ne le sachiez.
Ces Messieurs Dames, font partie des mêmes instances patronales et jouent au golf ou au tennis, sont membres de conseils, dînent ensemble, concurrents mais relations obligent.
Parfois vous pensez négocier et démissionner après, mais votre futur ex employeur est déjà au courant.
Arrivé à une de mes collègues qui ne savait pas qu'ils se connaissaient bien, elle n'était toujours pas confirmée en CDI, et elle cherchait ailleurs par précaution, ils l'ont appris et elle pas eu le poste chez nous, elle l'a su le dernier jour,elle n' a pas eu le poste ailleurs non plus. Aucune preuve.
Dîtes non !
Votre employeur ne peut pas refuser, on peut pas empêcher quelqun de démissionner.
Mais cela peut vous pourrir la vie dans votre boite actuelle , surtout si votre recrutement n'est pas matérialisé par une promesse d'embauche.
C'est juste malsain et cynique comme pratique, avant les recruteurs assuraient le secret, maintenant beaucoup de candidats fraudent, donc plus rien ne passe, tout devient permis au nom de la transparence et si vous n'avez rien à vous reprocher vous n'avez rien à craindre.
Même si c'est fait derrière votre dos en fait, sans que vous ne le sachiez.
Ces Messieurs Dames, font partie des mêmes instances patronales et jouent au golf ou au tennis, sont membres de conseils, dînent ensemble, concurrents mais relations obligent.
Parfois vous pensez négocier et démissionner après, mais votre futur ex employeur est déjà au courant.
Arrivé à une de mes collègues qui ne savait pas qu'ils se connaissaient bien, elle n'était toujours pas confirmée en CDI, et elle cherchait ailleurs par précaution, ils l'ont appris et elle pas eu le poste chez nous, elle l'a su le dernier jour,elle n' a pas eu le poste ailleurs non plus. Aucune preuve.
hoquei44
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27 mai 2017 à 15:12
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Le fait de dire non conduira à l'arrêt de la procédure de recrutement... et serait donc contreproductif.
noé
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hoquei44
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27 mai 2017 à 15:36
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Hoquei Libre à vous de mettre moins 1 pour désapprouver,
Vous savez bien que je dis non, parce il est seulement au stade du "semble intéressé" pas sans contre partie, il n'a pas encore démissionné, au nom du contre productif, il va se faire hara kiri tout seul.
Vous savez bien que je dis non, parce il est seulement au stade du "semble intéressé" pas sans contre partie, il n'a pas encore démissionné, au nom du contre productif, il va se faire hara kiri tout seul.
hoquei44
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noé
Modifié le 27 mai 2017 à 16:26
Modifié le 27 mai 2017 à 16:26
Je mets moins 1 quand un internaute écrit une belle ânerie non réfléchie et franchement si j'avais pu mettre plus je n'aurais pas hésité car vous n'avez eu aucune analyse approfondie.
Comme vous l'écrivez très justement, rien n’empêche les employeurs de se parler dans le dos du salarié. Vu que le processus de recrutement est déjà lancé, cela signifie que le "mal" est déjà fait.
Dans l'éventualité d'un problème, il est déjà trop tard pour le parer. L'employeur actuel sera au courant et s'il veut agir '(illégalement) en se débarrassant du salarié, ce n'est pas le fait de refuser que l'employeur et le recruteur communiquent ensemble officiellement qui gênera l'employeur de mettre au placard le salarié.
Donner l'autorisation de communication n'est pas préjudiciable dans cette situation vu que les employeurs se connaissent.
Par contre, le refus de communication conduira à une très forte probabilité de doute du recruteur envers le salarié. Ce dernier a peut être des choses à cacher et refuse que je cherche, pourquoi prendre ce risque ?
Donner l'autorisation de communication, même si cela n'empêche pas les éventuelles représailles de l'employeur, ne crée pas le doute chez le recruteurs.
Si la situation est malsaine, il est trop tard pour se retirer : il faut donc continuer en ne remettant pas en cause la procédure de recrutement.
Si la situation est saine, dire oui ou non ne changera rien.
Vu que dire non n'est jamais un meilleur choix que non ; votre réponse qui soulève très justement les points de difficultés, arrive à une conclusion inverse à ce qu'elle aurait dû dans le cas de l'internaute et non dans le cas que vous avez vécu qui est différent.
CB
Comme vous l'écrivez très justement, rien n’empêche les employeurs de se parler dans le dos du salarié. Vu que le processus de recrutement est déjà lancé, cela signifie que le "mal" est déjà fait.
Dans l'éventualité d'un problème, il est déjà trop tard pour le parer. L'employeur actuel sera au courant et s'il veut agir '(illégalement) en se débarrassant du salarié, ce n'est pas le fait de refuser que l'employeur et le recruteur communiquent ensemble officiellement qui gênera l'employeur de mettre au placard le salarié.
Donner l'autorisation de communication n'est pas préjudiciable dans cette situation vu que les employeurs se connaissent.
Par contre, le refus de communication conduira à une très forte probabilité de doute du recruteur envers le salarié. Ce dernier a peut être des choses à cacher et refuse que je cherche, pourquoi prendre ce risque ?
Donner l'autorisation de communication, même si cela n'empêche pas les éventuelles représailles de l'employeur, ne crée pas le doute chez le recruteurs.
Si la situation est malsaine, il est trop tard pour se retirer : il faut donc continuer en ne remettant pas en cause la procédure de recrutement.
Si la situation est saine, dire oui ou non ne changera rien.
Vu que dire non n'est jamais un meilleur choix que non ; votre réponse qui soulève très justement les points de difficultés, arrive à une conclusion inverse à ce qu'elle aurait dû dans le cas de l'internaute et non dans le cas que vous avez vécu qui est différent.
CB