Don d’organe et loi santé:ce qui va changer au 1er janvier 2017

Desty78 -  
Arkana0 Messages postés 6902 Date d'inscription   Statut Modérateur Dernière intervention   -
Cette loi n'est pas claire. Si le défunt était donneur d'organes et en a fait part à ses proches qui étaient contre. Les proches ont finalement le dernier mot puisque qu'ils peuvent dire que le défunt était contre et le corps médical les croit sur leur "bonne foi" (ou mauvaise foi dans ce cas là).
Finalement le souhait du défunt d'aider des pauvres gens en attente de greffes n'aura pas été exhaussé...
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4 réponses

hoquei44 Messages postés 19224 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   9 130
 
Bonjour à vous aussi
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Desty78
 
Désolée, effectivement j'ai été malpolie... :/
Bonjour à tous.
Avec mes excuses.
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australe13 Messages postés 18308 Statut Modérateur 6 756
 
Bonjour,

De quelle loi parlez vous ?
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gerber1 Messages postés 16482 Date d'inscription   Statut Modérateur Dernière intervention   8 981
 
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doris33 Messages postés 51081 Date d'inscription   Statut Contributeur Dernière intervention   16 703
 
Bonjour,

il me semble que la loi est claire, à moins que le défunt est officiellement fait par de son désaccord, les médecins pourront, sans demander son avis à la famille, pratiquer des prélèvements d'organes.

extrait du lien fourni par BMV

"Refus

Un refus de don d’organe pourra toutefois être officiellement formulé par le défunt de son vivant. Sa décision peut concerner tous les organes ou tissus ou seulement certains d'entre eux. Ce refus peut être exprimé de plusieurs façons.

.... "
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sleepy00 Messages postés 17995 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   5 573
 
"En l'absence de lettre et d'inscription sur le registre, un proche peut également opposer votre refus après votre décès. Il faut que vous l'ayez expressément manifesté de votre vivant. Dans ce cas, le proche devra préciser le contexte et les circonstances de votre refus dans un document daté et signé par lui. "

Mais bon, pour qu'un proche fasse cette démarche
alors que le défunt, lui à fait part de son souhait d'etre d'accord pour des dons.

ce "proche" n'a en vérité que peu de respect pour le défunt...
ce qui ne doit pas arriver si souvent.
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Arkana0 Messages postés 6902 Date d'inscription   Statut Modérateur Dernière intervention   863 > sleepy00 Messages postés 17995 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention  
 
Après votre citation c'est la situation "d'avant" que vous décrivez : un défaut ne donne pas ses organes par défaut mais doit signaler qu'il souhaite les donner.

La situation induite par la loi est la situation d'inverse : tout défunt est présumé d'accord pour le prélèvement de ses organes post mortem à moins d'avoir fait la démarche inverse (en s'inscrivant sur le registre ou au pire en prévenant ses proches)

Je suis toutefois d'accord avec votre conclusion :)
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