Euribor
Résolu2 réponses
L'impact mondial de la crise des prêts « subprimes » américains a reposé totalement au départ sur une incapacité à prévoir, même à court terme, l'évolution des taux
Il y a un choix à faire à votre niveau.
Une transformation à taux fixe présente l'avantage de vous assurer, jusqu'au terme de votre prêt, une certitude quant à vos charges.
Certes, les taux baisseront à nouveau ( puis remonteront ! ) au cours des presque vingt années à venir d' existence de votre prêt.
Mais cette évolution de votre prêt vers le taux fixe permettrait de « lisser » la charge de remboursement.
Il faut, dans ce cas, ne plus raisonner en termes de pari sur une évolution des taux, inconnue pour tous, mais en termes de comparaison entre une charge rendue fixe et la progression espérée des revenus liée :
- à celle, espérée, de la carrière
- à la courbe de l'inflation ( calculée au-delà du cadre étroit de l'année, critère trop souvent retenu ). Il est certain que l'inflation, au-delà du court terme où elle réduit le pouvoir d'achat, entraine sur le moyen et long terme un accroissement des revenus.
Ce choix ne peut que vous appartenir. Il consiste à se dire (maintenant !) que l'écart entre le taux fixe -définitivement choisi -et le taux variable issu du marché interbancaire ne deviendra jamais tel qu'il vous conduise à regretter le choix fait une ou deux décennies auparavant.
Il ne nous appartient pas de vous conseiller et, à mon sens, nul ne peut prétendre sérieusement le faire.
Il y a un choix à faire à votre niveau.
Une transformation à taux fixe présente l'avantage de vous assurer, jusqu'au terme de votre prêt, une certitude quant à vos charges.
Certes, les taux baisseront à nouveau ( puis remonteront ! ) au cours des presque vingt années à venir d' existence de votre prêt.
Mais cette évolution de votre prêt vers le taux fixe permettrait de « lisser » la charge de remboursement.
Il faut, dans ce cas, ne plus raisonner en termes de pari sur une évolution des taux, inconnue pour tous, mais en termes de comparaison entre une charge rendue fixe et la progression espérée des revenus liée :
- à celle, espérée, de la carrière
- à la courbe de l'inflation ( calculée au-delà du cadre étroit de l'année, critère trop souvent retenu ). Il est certain que l'inflation, au-delà du court terme où elle réduit le pouvoir d'achat, entraine sur le moyen et long terme un accroissement des revenus.
Ce choix ne peut que vous appartenir. Il consiste à se dire (maintenant !) que l'écart entre le taux fixe -définitivement choisi -et le taux variable issu du marché interbancaire ne deviendra jamais tel qu'il vous conduise à regretter le choix fait une ou deux décennies auparavant.
Il ne nous appartient pas de vous conseiller et, à mon sens, nul ne peut prétendre sérieusement le faire.
23 févr. 2012 à 12:06