Bonjour,
Le 27 juin 2009 je signe un devis auprès d'un concessionnaire d'une grande marque pour le changement complet des fenêtres et volets de mon logement. L'installation est prévue pour septembre.
Voici la suite :
- LRAR le 30 septembre pour exiger des informations et un engagement sur une date de pose.
- pose des fenêtres réalisée du 28 au 30 octobre 2009.
3 fenêtres n'ont pas été remplacées à l'identique et ne respectent donc pas l'harmonie de l'ensemble des logements.
Les volets roulants, ne correspondant pas à la couleur attendue, n'ont pas été posés.
Sur un dossier technique oublié par l'équipe de pose, on peut lire que la commande à l'usine a été passée presque 3 mois après la signature du devis.
- nouvelle LRAR le 24 novembre pour exiger des informations et un engagement sur une nouvelle date de pose.
- réponse du 23 décembre, annonçant la refabrication des éléments non conformes.
- le 5 février
Pose des volets roulants.
Sur les 2 porte-fenêtres, l'une n'est toujours pas conforme (la largeur à été modifiée et on ne peut plus fermer la porte)
- nouvelle pose le 30 mars
Nouvelle anomalie.
- le 15 mai
Un mois et demi après la précédente pose, le prestataire écrit : « le soussigné n'a pas pu prendre le temps de gérer votre dossier »
Et annonce une nouvelle fabrication.
- le 22 juillet
Pose des nouvelles fenêtres.
Dans la chambre, une partie (150 x 30 cm) est vitrée au lieu d'être pleine.
- 6 septembre
Pose conforme.
Depuis la date de signature du devis le 27 juin 2009, nous n'avons pas cessés de les démarcher par téléphone ou par courrier afin de faire avancer ce dossier, dossier qui devait être finalisé le 30 octobre 2009 mais qui s'achève finalement 1 an plus tard.
La fabrication de l'ensemble des éléments du chantier (fenêtres + volets) a demandé 5 semaines.
Si la commande de fabrication avait été lancée à la signature du devis, on peut présumer que la pose aurait pu être réalisée début septembre 2009 comme prévu sur le devis.
A l'issue de la 1ère pose non conforme, si la nouvelle commande de fabrication avait été lancée dans la foulée, on peut présumer que la nouvelle pose aurait pu être réalisée mi décembre 2009.
Sans compter les désagréments que cette succession de maladresses nous a imposée (journées consacrées à recevoir les poseurs, préparation avant intervention, nettoyage après intervention, relations conflictuelles vis-à-vis du Syndic...), je risque maintenant d'avoir une sérieuse surprise.
En effet, le crédit d'impôt de 40% (économie d'énergie) auquel nous aurions pu prétendre si le chantier avait été achevé comme prévu avant le 31 décembre 2009, est passé à 15% depuis le 1er janvier 2010.
J'envisage naturellement de me faire indemniser pour ces préjudices.
Comment éstimer et justifier le préjudice ?
Quelle démarche, procédure ?
Merci de vos avis et conseils.
Bonjour, Nous sommes un peu dans le même cas que vous. Pouvez-vous nous donner votre adresse mail que l'on puisse trouver des solutions ensemble ? Merci d'avance. La nôtre = maryline43@hotmail.com