Agression physique sur le lieu de travail
Bonjour,
J'ai été victime d'une agression physique, suite à des problèmes relationnels, sur mon lieu de travail, par un de mes collègues. A près avoir fait constaté les blessures auprès d'un médecin, j'ai porté plainte à la gendarmerie.
Bien évidemment, perturbée psychologiquement et habitée par la peur, je n'envisage pas de reprendre mon activité pro dans cette entreprise. Que puis-je négocier avec mon employeur ? Quelles sont les solutions ?
A qui dois-je m'adresser ?
Merci.
Cordialement,
L.
J'ai été victime d'une agression physique, suite à des problèmes relationnels, sur mon lieu de travail, par un de mes collègues. A près avoir fait constaté les blessures auprès d'un médecin, j'ai porté plainte à la gendarmerie.
Bien évidemment, perturbée psychologiquement et habitée par la peur, je n'envisage pas de reprendre mon activité pro dans cette entreprise. Que puis-je négocier avec mon employeur ? Quelles sont les solutions ?
A qui dois-je m'adresser ?
Merci.
Cordialement,
L.
A voir également:
- Je me suis fait frapper sur mon lieu de travail
- Plainte pour vol sur lieu de travail - - Licenciement-Démission
- Micro au travail legal - Guide
- Permission d'absence au travail - Guide
- Tolérance travail non déclaré - Guide
- Code du travail 2024 pdf - Guide
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19 nov. 2009 Ã 15:00
19 nov. 2009 Ã 15:00
Bonjour
c'est à votre employeur de faire cesser cette situation et surtout de s'en prendre au reponsable des coups et blessures (mise à pied et licenciement) ce n'est pas à vous de perdre votre travail parce que l'on vous tape dessus !!!
à vous lire
c'est à votre employeur de faire cesser cette situation et surtout de s'en prendre au reponsable des coups et blessures (mise à pied et licenciement) ce n'est pas à vous de perdre votre travail parce que l'on vous tape dessus !!!
à vous lire
12 juin 2010 Ã 14:13
1) fonctionnaire titulaire à l'étranger.
2) janvier: agressée sauvagement sans raison (?) alors que j'étais assise à mon travail (très malade, sans pouvoir prononcer un son mais croûlant sous le travail, donc au bureau). Sauvée in extremis d'une strangulation par un homme d'entretien alors que je perdais connaissance (donc "pas de témoin" puisque son emploi dépend de mon employeur.
3) j'ai été renvoyée en France en qqs heures quasi inconsciente. Mon employeur, nie évidences (heureusement le médecin ayant constaté coups avait pris photos spectaculaires)
4) résultat: c'est moi qui suis chassée de mon poste en me faisant porter l'infâmie! Tout est fait pour étouffer le scandale (en plus contexte de harcèlement moral avec changement nouvelle hiérarchie qqs mis plus tôt). Il faut préserver des carrières.
5) j'ai confiance en la justice française (rendue dans deux ans ?).
Bonne chance à tous. J'espère qu'un jour ce tabou sautera.