Du raquet OUI, mais LEGAL...
Anonyme
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21 sept. 2009 à 20:11
tarasouris Messages postés 4141 Date d'inscription lundi 4 août 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 21 janvier 2011 - 21 sept. 2009 à 23:32
tarasouris Messages postés 4141 Date d'inscription lundi 4 août 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 21 janvier 2011 - 21 sept. 2009 à 23:32
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tarasouris
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21 sept. 2009 à 23:32
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Bonsoir ,
J'imagine bien le sentiment " d'injustice " que vous devez ressentir ...
Et pourtant :
L'idée reçue, fausse, que la résidence alternée supprimait toute pension alimentaire, subsiste, malheureusement, et surprend ! , alors qu'elle était prévue dans les dispositifs de mise en place : l'enfant, pour une résidence alternée, doit rester dans son environnement habituel, (même école, même activité, etc ), mais aussi il doit trouver, chez chacun, un niveau de vie équivalent ! Donc la possibilité de pension versée par l'un ou l'autre des parents ( l'un comme l'autre ! ) pour " établir " cette égalité de niveau ! Donc une participation, sous forme de pension, au parent le plus " défavorisé " .
" Pension alimentaire " ! terme qui recouvre loger, nourrir, laver, chauffer, soigner, payer cantine et autres, en fait la totalité de la vie de l'enfant : maman a autant besoin de payer leur logement, son EDF, ses frais scolaires, que vous, mais doit sans doute ne pas en avoir les mêmes moyens, donc : il faut que l'enfant soit dans un contexte équitable .
Si l'enfant est " négligée " , c'est à vous d'en préparer les preuves ( pb médicaux, pas de suivi habituel, genre vaccins, visites d'ORL, d'Ophtalmo, de dentiste, etc ; pas de présence scolaire, discours aliénant, etc etc ...), et de demander la garde exclusive au Juge ! Mais, obtenir, à l'heure actuelle, la résidence alternée, est une position de la Justice : l'enfant doit grandir entourée par son père comme par sa mère, c'est vrai, et ? ça les arrange : après !! à eux de SE DEBROUILLER ! Cela les arrange, puisque le code Civil donne aux parents la "priorité " pour décider de l'avenir . Il est donc très difficile, sauf mise en danger avérée et signalée par des tiers, école, etc, de faire revenir sur la résidence alternée, bien que de nombreux parents sont mobilisés sur les " dérives Ponce Pilate ", perturbantes pour les gamins, qu'a pris cette R.A. après plusieurs années de "test" !
Vous avez un avantage que beaucoup vous envient, sans doute : votre enfant régulièrement auprès de vous, à qui vous donnez, à égalité avec l'autre parent, vos valeurs, vos idées, vos explications, votre éducation, vos réponses à ses questionnements ... une proximité et des câlins qui n'ont pas de " prix " car l'enfant a besoin d'au moins les 2 avis, papa, maman, pour grandir et devenir adulte ! après, bien sûr, ils feront comme ils pourront, mais les " informations" et l'amour que chacun aura imprimé vont aider cette personne à choisir son chemin .
N'invoquez pas " la Justice ", en la matière (il y a bien d'autres choses à en dire !), mais ici les Juges aux Affaires Familiales, dont les décisions nous laissent trop souvent " ahuris ", car parfois totalement déphasés, c'est vrai !
Mais demander, obtenir, et vivre la Résidence Alternée, doit vous être plus important que la pension alimentaire (prévue, je vous le redis !) , car vous avez un contact régulier et précieux avec votre enfant ( pour moi, mère de famille un peu sur le retour, car ils sont presque tous grands, il est "précieux " de pouvoir en attraper un par les bretelles et de l'obliger à faire ses devoirs ou à être respectueux ! ça fait partie de la vie parentale, l'autorité ! comme de papoter avec ma jeune fille de ses pb d'amoureux, avec mes mots à moi, ou de dire à mon fils de 24 ans qu'il n'assure pas, on se dispute, 15 jrs après, on en reparle ! l'essentiel est de construire, maintenir, conserver le dialogue ! ) . Je suis un parent, donc je "dois" leur donner des "pancartes", pour devenir des adultes, et cela s'inscrit, ( en bien comme en mal !) , dès leur plus jeune âge ! Même s'ils n'ont pas envie de suivre " nos " pancartes ", ils ont en eux l'intérêt, l'amour désintéressé, qu'on leur a apporté, pour se soutenir!
Ces " choses " là, n'ont aucun prix, l'existence n'a pas de prix, il y aura grandes joies, grandes déceptions, à attendre de nos enfants ! Du moment qu'il y a proximité et dialogue avec son ou ses enfants, parce qu'on aura pu rester proches d'eux et garder leur confiance, cela vous paraîtra inestimable !
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
J'imagine bien le sentiment " d'injustice " que vous devez ressentir ...
Et pourtant :
L'idée reçue, fausse, que la résidence alternée supprimait toute pension alimentaire, subsiste, malheureusement, et surprend ! , alors qu'elle était prévue dans les dispositifs de mise en place : l'enfant, pour une résidence alternée, doit rester dans son environnement habituel, (même école, même activité, etc ), mais aussi il doit trouver, chez chacun, un niveau de vie équivalent ! Donc la possibilité de pension versée par l'un ou l'autre des parents ( l'un comme l'autre ! ) pour " établir " cette égalité de niveau ! Donc une participation, sous forme de pension, au parent le plus " défavorisé " .
" Pension alimentaire " ! terme qui recouvre loger, nourrir, laver, chauffer, soigner, payer cantine et autres, en fait la totalité de la vie de l'enfant : maman a autant besoin de payer leur logement, son EDF, ses frais scolaires, que vous, mais doit sans doute ne pas en avoir les mêmes moyens, donc : il faut que l'enfant soit dans un contexte équitable .
Si l'enfant est " négligée " , c'est à vous d'en préparer les preuves ( pb médicaux, pas de suivi habituel, genre vaccins, visites d'ORL, d'Ophtalmo, de dentiste, etc ; pas de présence scolaire, discours aliénant, etc etc ...), et de demander la garde exclusive au Juge ! Mais, obtenir, à l'heure actuelle, la résidence alternée, est une position de la Justice : l'enfant doit grandir entourée par son père comme par sa mère, c'est vrai, et ? ça les arrange : après !! à eux de SE DEBROUILLER ! Cela les arrange, puisque le code Civil donne aux parents la "priorité " pour décider de l'avenir . Il est donc très difficile, sauf mise en danger avérée et signalée par des tiers, école, etc, de faire revenir sur la résidence alternée, bien que de nombreux parents sont mobilisés sur les " dérives Ponce Pilate ", perturbantes pour les gamins, qu'a pris cette R.A. après plusieurs années de "test" !
Vous avez un avantage que beaucoup vous envient, sans doute : votre enfant régulièrement auprès de vous, à qui vous donnez, à égalité avec l'autre parent, vos valeurs, vos idées, vos explications, votre éducation, vos réponses à ses questionnements ... une proximité et des câlins qui n'ont pas de " prix " car l'enfant a besoin d'au moins les 2 avis, papa, maman, pour grandir et devenir adulte ! après, bien sûr, ils feront comme ils pourront, mais les " informations" et l'amour que chacun aura imprimé vont aider cette personne à choisir son chemin .
N'invoquez pas " la Justice ", en la matière (il y a bien d'autres choses à en dire !), mais ici les Juges aux Affaires Familiales, dont les décisions nous laissent trop souvent " ahuris ", car parfois totalement déphasés, c'est vrai !
Mais demander, obtenir, et vivre la Résidence Alternée, doit vous être plus important que la pension alimentaire (prévue, je vous le redis !) , car vous avez un contact régulier et précieux avec votre enfant ( pour moi, mère de famille un peu sur le retour, car ils sont presque tous grands, il est "précieux " de pouvoir en attraper un par les bretelles et de l'obliger à faire ses devoirs ou à être respectueux ! ça fait partie de la vie parentale, l'autorité ! comme de papoter avec ma jeune fille de ses pb d'amoureux, avec mes mots à moi, ou de dire à mon fils de 24 ans qu'il n'assure pas, on se dispute, 15 jrs après, on en reparle ! l'essentiel est de construire, maintenir, conserver le dialogue ! ) . Je suis un parent, donc je "dois" leur donner des "pancartes", pour devenir des adultes, et cela s'inscrit, ( en bien comme en mal !) , dès leur plus jeune âge ! Même s'ils n'ont pas envie de suivre " nos " pancartes ", ils ont en eux l'intérêt, l'amour désintéressé, qu'on leur a apporté, pour se soutenir!
Ces " choses " là, n'ont aucun prix, l'existence n'a pas de prix, il y aura grandes joies, grandes déceptions, à attendre de nos enfants ! Du moment qu'il y a proximité et dialogue avec son ou ses enfants, parce qu'on aura pu rester proches d'eux et garder leur confiance, cela vous paraîtra inestimable !
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§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
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