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1 réponse
Bonjour,
Je rencontre un problème avec mon employeur.
Depuis mon embauche, en Novembre 2008, les problèmes de harcèlement moral et d'humiliation avaient commencé, mais comme je travaille seule avec lui (cabinet d'Avocat) je n'ai personne pour le prouver, car les humiliations et les insultes se font par le biais des bandes enregistrées que je dois écouter toute la journée pour le traitement des dossiers.
J'ai présenté 3 démissions, en l'espace de 3 mois mais comme c'est un "manipulateur et ça je l'ai su plus tard par son ancienne secrétaire qui avait porté plainte contre lui et qui aujourd'hui est en phase de protocole d'accord moyennant finance et donc ne peut me venir en aide" il a réussi en plus de me culpabiliser, de m'amadouer en me disant à chaque fois que la prochaine fois ça ira mieux.
A ma dernière démission, je lui ai dit demander de me libérer une semaine après car j'avais une perspective d'emploi pour une date précise, il m'a répondu en étant très énervé que d'accord pour la démission mais que je devais respecter un préavis d'un mois, alors même qu'il savait que la perspective d'emploi qui s'offrait à mois était d'une échéance bien plus courte et que le faite de me faire faire un mois de préavis allait me faire rater cette chance.
J'ai donc pendant tout ce temps eu droit aux humiliations, brimades et insultes de toutes sortes au point où je lui ai dit un jour que l'esclavage était aboli depuis longtemps et que je n'était pas son chien, ni son sous-fifre.
A chaque fois qu'il s'adressait à moi c'était par le biais des cassettes et dans le cadre du travail, en me rabaissant au maximum.
Avant la fin du préavis, il m'a reconvoquée pour encore me culpabiliser et m'inciter à rester avec des mots qu'il est le seul à utiliser, et moi n'ayant plus d'autres issues, ou d'autres perspectives d'emploi, j'étais obligée de rester "avec tous les crédits que j'ai etc..." et il le savait.
Au mois de mai, et compte tenu de la continuation des brimades, insultes et manutention hors du commun qu'il me faisait faire alors que je m'étais déjà plainte auprès de lui de mes problèmes de dos etc....je suis allée voir l'inspection du travail qui franchement ne m'ont pas été d'un grand secours car il y a du monde dans la salle d'attente et ils sont pressés de faire passer tout le monde. Le seul conseil, c'était l'arrêt de travail ou la rupture aux torts exclusifs de l'employeur "difficile car je suis seule".
Un jour et alors que les reproches, et insultes n'arrêtaient pas j'ai quitté le cabinet en me rendant directement chez mon médecin qui m'a donné un arrêt de travail de 25 jours et ça m'a fait beaucoup de bien.
2 jours après j'ai été convoqué par le médecin conseil de la CPAM qui a confirmé mon arrêt mais sans prolongation."c'était le 1er arrêt de ma vie en plus".
Pendant mon arrêt, Me.....m'appelle à la maison pour me dire qu'il allait devoir me licencier pour faute grave, et je lui ai dit que j'étais d'accord, sauf que j'ai attendu la RAR tout pendant mon arrêt mais en vain, car ce Monsieurà du mal à le dire, mais la remplaçante qui me remplaçait pendant mes congés avait trouvé un travail et ne le supportait pas car elle également n'en sortait pas indemne "cris, et...."en plus elle était anorexique, et celle qui m'a remplacé pendant mon arrêt m'a dit qu'elle ne remettra plus les pieds chez lui et qu'il n'était pas normal.
Bref, il m'a donc appelé à la maison un soir, 3 jours avant la reprise, et je lui ai dit que j'ai attendu son RAR et que de toute façon je ne voulais plus revenir et que j'allais rompre le contrat, il s'est énervé et m'a raccroché au nez.
Le lendemain, il me rappelle pour me dire qu'il fallait que l'on trouve un terrain d'entente sans pour autant passer par les Prud'hommes car soit disant il ne veut pas me faire de mal, ni entrer en conflit avec moi.
Je lui ai proposé alors une rupture à l'amiable mais hors de question et que dans ce cas et si j'acceptais de revenir pour le mois de juin "un mois très chargé,énormément de travail car fin d'année"qu'il allait me faire taper un courrier dès mon arrivé "de licenciement pour insuffisance professionnelle" et j'ai été d'accord avec lui mais en même temps je ne pensais pas que pour ce genre de licenciement il y avait un préavis d'un mois plus une semaine "convocation etc...".
Je suis donc retournée au travail forcée, car pour avoir droit au chômage je suis obligée de m'écraser parfois, mais au moins j'allais bientôt me débarrasser de lui.
Dès mon arrivée le 2 Juin, le travail a commencé à pleuvoir et pas n'importe lequel!!!!Lui faisant confiance "je suis bête" je me suis dit qu'à partir du moment où il ne m'a pas fait le courrier, c'est qu'il sait ce qu'il fait et que j'allais malgré tout pouvoir partir après la 1ere semaine de Juillet comme il me l'a promis et surtout qu'il a une mémoire d'éléphant.
Mais hier, j'ai su que ce licenciement nécessitait un préavis d'un mois + une semaine.
Je lui ai donc écrit un courrier que j'ai laissé sur son bureau "j'ai gardé le double" pour lui rappeler ses engagements oraux.
Et aujourd'hui, en plus de s'énerver, il me dit:"je n'ai pas oublié ce que je vous ai dit, vous le savez que je n'ai qu'une parole, mais comme avec tout le travail que nous avons eu, je n'ai pas eu le temps de faire le courrier, je vais donc vous le faire, mais le préavis ne commencera à courir qu'à partir de la date du préavis et si vous voulez partir à la date que vous indiquez "après la 1ere semaine de juillet" il fallait que je demande un arrêt maladie.
Enfin la question: J'ai l'impression d'être prise pour une bourrique par cet employeur qui ne veut pas me lâcher sans me faire suer.
Qu'en pensez-vous s'il vous plaît de sa proposition? l'arrêt maladie, déjà qu'aux infos j'ai entendu que ce n'était pas évident mais en plus on est payé des clopinettes. Que dois-je faire pour ne pas être lésée sachant qu'il est hors de question que je reste chez lui au delà du 3 juillet date fatidique pour moi moralement, déjà que d'ici là ça me parait l'éternité!
Merci beaucoup pour votre patience et vos réponses qui j'espère m'aideront à passer un cap difficile avec un Avocat rusé et sans coeur ne pensant qu'à ces dossiers et rien d'autre
Je rencontre un problème avec mon employeur.
Depuis mon embauche, en Novembre 2008, les problèmes de harcèlement moral et d'humiliation avaient commencé, mais comme je travaille seule avec lui (cabinet d'Avocat) je n'ai personne pour le prouver, car les humiliations et les insultes se font par le biais des bandes enregistrées que je dois écouter toute la journée pour le traitement des dossiers.
J'ai présenté 3 démissions, en l'espace de 3 mois mais comme c'est un "manipulateur et ça je l'ai su plus tard par son ancienne secrétaire qui avait porté plainte contre lui et qui aujourd'hui est en phase de protocole d'accord moyennant finance et donc ne peut me venir en aide" il a réussi en plus de me culpabiliser, de m'amadouer en me disant à chaque fois que la prochaine fois ça ira mieux.
A ma dernière démission, je lui ai dit demander de me libérer une semaine après car j'avais une perspective d'emploi pour une date précise, il m'a répondu en étant très énervé que d'accord pour la démission mais que je devais respecter un préavis d'un mois, alors même qu'il savait que la perspective d'emploi qui s'offrait à mois était d'une échéance bien plus courte et que le faite de me faire faire un mois de préavis allait me faire rater cette chance.
J'ai donc pendant tout ce temps eu droit aux humiliations, brimades et insultes de toutes sortes au point où je lui ai dit un jour que l'esclavage était aboli depuis longtemps et que je n'était pas son chien, ni son sous-fifre.
A chaque fois qu'il s'adressait à moi c'était par le biais des cassettes et dans le cadre du travail, en me rabaissant au maximum.
Avant la fin du préavis, il m'a reconvoquée pour encore me culpabiliser et m'inciter à rester avec des mots qu'il est le seul à utiliser, et moi n'ayant plus d'autres issues, ou d'autres perspectives d'emploi, j'étais obligée de rester "avec tous les crédits que j'ai etc..." et il le savait.
Au mois de mai, et compte tenu de la continuation des brimades, insultes et manutention hors du commun qu'il me faisait faire alors que je m'étais déjà plainte auprès de lui de mes problèmes de dos etc....je suis allée voir l'inspection du travail qui franchement ne m'ont pas été d'un grand secours car il y a du monde dans la salle d'attente et ils sont pressés de faire passer tout le monde. Le seul conseil, c'était l'arrêt de travail ou la rupture aux torts exclusifs de l'employeur "difficile car je suis seule".
Un jour et alors que les reproches, et insultes n'arrêtaient pas j'ai quitté le cabinet en me rendant directement chez mon médecin qui m'a donné un arrêt de travail de 25 jours et ça m'a fait beaucoup de bien.
2 jours après j'ai été convoqué par le médecin conseil de la CPAM qui a confirmé mon arrêt mais sans prolongation."c'était le 1er arrêt de ma vie en plus".
Pendant mon arrêt, Me.....m'appelle à la maison pour me dire qu'il allait devoir me licencier pour faute grave, et je lui ai dit que j'étais d'accord, sauf que j'ai attendu la RAR tout pendant mon arrêt mais en vain, car ce Monsieurà du mal à le dire, mais la remplaçante qui me remplaçait pendant mes congés avait trouvé un travail et ne le supportait pas car elle également n'en sortait pas indemne "cris, et...."en plus elle était anorexique, et celle qui m'a remplacé pendant mon arrêt m'a dit qu'elle ne remettra plus les pieds chez lui et qu'il n'était pas normal.
Bref, il m'a donc appelé à la maison un soir, 3 jours avant la reprise, et je lui ai dit que j'ai attendu son RAR et que de toute façon je ne voulais plus revenir et que j'allais rompre le contrat, il s'est énervé et m'a raccroché au nez.
Le lendemain, il me rappelle pour me dire qu'il fallait que l'on trouve un terrain d'entente sans pour autant passer par les Prud'hommes car soit disant il ne veut pas me faire de mal, ni entrer en conflit avec moi.
Je lui ai proposé alors une rupture à l'amiable mais hors de question et que dans ce cas et si j'acceptais de revenir pour le mois de juin "un mois très chargé,énormément de travail car fin d'année"qu'il allait me faire taper un courrier dès mon arrivé "de licenciement pour insuffisance professionnelle" et j'ai été d'accord avec lui mais en même temps je ne pensais pas que pour ce genre de licenciement il y avait un préavis d'un mois plus une semaine "convocation etc...".
Je suis donc retournée au travail forcée, car pour avoir droit au chômage je suis obligée de m'écraser parfois, mais au moins j'allais bientôt me débarrasser de lui.
Dès mon arrivée le 2 Juin, le travail a commencé à pleuvoir et pas n'importe lequel!!!!Lui faisant confiance "je suis bête" je me suis dit qu'à partir du moment où il ne m'a pas fait le courrier, c'est qu'il sait ce qu'il fait et que j'allais malgré tout pouvoir partir après la 1ere semaine de Juillet comme il me l'a promis et surtout qu'il a une mémoire d'éléphant.
Mais hier, j'ai su que ce licenciement nécessitait un préavis d'un mois + une semaine.
Je lui ai donc écrit un courrier que j'ai laissé sur son bureau "j'ai gardé le double" pour lui rappeler ses engagements oraux.
Et aujourd'hui, en plus de s'énerver, il me dit:"je n'ai pas oublié ce que je vous ai dit, vous le savez que je n'ai qu'une parole, mais comme avec tout le travail que nous avons eu, je n'ai pas eu le temps de faire le courrier, je vais donc vous le faire, mais le préavis ne commencera à courir qu'à partir de la date du préavis et si vous voulez partir à la date que vous indiquez "après la 1ere semaine de juillet" il fallait que je demande un arrêt maladie.
Enfin la question: J'ai l'impression d'être prise pour une bourrique par cet employeur qui ne veut pas me lâcher sans me faire suer.
Qu'en pensez-vous s'il vous plaît de sa proposition? l'arrêt maladie, déjà qu'aux infos j'ai entendu que ce n'était pas évident mais en plus on est payé des clopinettes. Que dois-je faire pour ne pas être lésée sachant qu'il est hors de question que je reste chez lui au delà du 3 juillet date fatidique pour moi moralement, déjà que d'ici là ça me parait l'éternité!
Merci beaucoup pour votre patience et vos réponses qui j'espère m'aideront à passer un cap difficile avec un Avocat rusé et sans coeur ne pensant qu'à ces dossiers et rien d'autre