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Bien dit, Kagemusha!
Voilà où vous a mené l'appât du gain. Vos histoires étant décidément trop drôles, je m'empresse de les diffuser. Le petit propriétaire, comme le petit actionnaire, a vocation à être plumé. Vous avez accepté une règle du jeu qui vous était défavorable, et vous avez perdu. La prochaine fois utilisez votre tête: refusez de jouer
PS il y a plus con qu'un banquier: quelqu'un qui fait confiance à un banquier...
Voilà où vous a mené l'appât du gain. Vos histoires étant décidément trop drôles, je m'empresse de les diffuser. Le petit propriétaire, comme le petit actionnaire, a vocation à être plumé. Vous avez accepté une règle du jeu qui vous était défavorable, et vous avez perdu. La prochaine fois utilisez votre tête: refusez de jouer
PS il y a plus con qu'un banquier: quelqu'un qui fait confiance à un banquier...
joelle13
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22 oct. 2008 à 12:28
22 oct. 2008 à 12:28
oui il y a plus con qu'un banquier
les personnes agressives!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
les personnes agressives!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vous croyez au père Noël ma parole ! Nico est cruel de vous faire croire des choses pareilles ...
Les prêts relais doivent payer les intérêts de leur spéculation, comme tout le monde.
La seule solution, évidente, et à la source de tous les maux de l'immobilier, c'est BAISSER les prix.
Les prêts relais doivent payer les intérêts de leur spéculation, comme tout le monde.
La seule solution, évidente, et à la source de tous les maux de l'immobilier, c'est BAISSER les prix.
Quand quelqu'un se noie vous etes du genre à lui demander si l'eau est bonne, non ?
arretez de jubiler derriere votre écran c'est degueulasse, ces gens ont déja les banquiers ça leur suffit.
apportez quelque chose de constructif au lieu de montrer du doigt les tors de chacuns.Je ne suis pas dans cette situation de pret relais (et d'ailleurs à mon avis vous non plus), je ne partage pas votre avis.Vous avez tendance à mettre tout le monde dans le meme panier et ça me dérange.
"il n'y a aucune raison pour que les personnes prudentes, honnêtes et lucides viennent à votre secours !" pour qui vous vous prenez !!!
arretez de jubiler derriere votre écran c'est degueulasse, ces gens ont déja les banquiers ça leur suffit.
apportez quelque chose de constructif au lieu de montrer du doigt les tors de chacuns.Je ne suis pas dans cette situation de pret relais (et d'ailleurs à mon avis vous non plus), je ne partage pas votre avis.Vous avez tendance à mettre tout le monde dans le meme panier et ça me dérange.
"il n'y a aucune raison pour que les personnes prudentes, honnêtes et lucides viennent à votre secours !" pour qui vous vous prenez !!!
joelle13
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22 oct. 2008 à 12:31
22 oct. 2008 à 12:31
l agressivité n'est pas constructive
binga 38
>
joelle13
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23 octobre 2008
22 oct. 2008 à 13:07
22 oct. 2008 à 13:07
vous avez raison j'en reste là pour ne pas polluer le forum.
l'essentiel c'est d'apporter des solutions...
l'essentiel c'est d'apporter des solutions...
Je ne suis pas agressif, et je suis le seul à apporter des solutions ici, en fait il n'y en a qu'une: BAISSEZ VOS PRIX !
Prolonger les prêts relais, c'est engraisser les banquiers.
Pleurer pour demander l'aide des pouvoirs publics, alors qu'on a spéculé, au détriment des citoyens prudents et lucides, c'est proprement scandaleux ! (donner de l'argent aux banquiers aussi, mais dans le cas des banques, on n'a pas le choix, sinon l'économie s'effondre ...).
Ci dessous un article de JP Petit, d'il y a 3 ans, de la banque française la plus sure et prudente, qui restera dans les livres d'histoire !
La bulle immobilière, une bulle à retardement pour l'économie.
Jean-Pierre Petit, Exane PNP PARIBAS, directeur de la recherche économique, in AGEFI 30 septembre 2005.
Favorisée par les Etats, les banques centrales et les professionnels, la bulle immobilière est une duperie collective.
Selon les estimations de The Economist, la hausse de la valorisation du patrimoine immobilier résidentiel dans les pays développés a été de plus de 30.000 milliards de dollars au cours des cinq dernières années, jusqu’au premier trimestre 2005 (dernières données disponibles agrégées), pour s’établir à environ 70.000 milliards aujourd’hui.
La progression des cinq dernières années représenterait environ 100% d’une année actuelle de PIB de ces pays. Sur cette base, elle dépasserait donc les niveaux enregistrés lors des grandes bulles boursières des années 20 et 90. Ajoutons qu’aucun facteur «réel» n’a pu justifier une telle dérive, ni sur le plan démographique ou migratoire, ni sur le plan macroéconomique, l’environnement étant resté globalement peu favorable sur la période en terme de croissance (à peine 2% de croissance annuelle sur
2001-2004 dans l’OCDE) et d’emploi.
L’immobilier résidentiel connaît tout simplement une bulle, phénomène fréquent dans ce secteur, historiquement et mondialement. Il y a une loi solidement ancrée en économie: une bulle n’est toujours définie qu’a posteriori, c’est-à-dire lorsqu’elle a éclaté. Entre-temps, il se trouvera toujours «une armée» d’économistes et d’experts en tout genre pour justifier une tendance qui les surprend eux-mêmes.
Les bulles persistent car il n’existe jamais de méthodes claires, évidentes ou objectives susceptibles de démontrer leur existence. Par sa propre dynamique, une bulle convainc la majorité que cette tendance ne peut que se prolonger car elle doit, pense-t-on, certainement être justifiée. C’est sa principale force.
Dans toute bulle, il y a aussi des coupables et des victimes. Les coupables sont connus, les victimes le sont moins. Parmi les coupables, il y a en premier lieu les banques centrales. Celles-ci sont quasi-universellement chargées de la stabilité des prix. Lorsque la hausse des prix à la consommation approche les 3%, la plupart des banques centrales occidentales resserrent les conditions monétaires ou menacent de le faire. Lorsque les prix immobiliers approchent les 10, 15, voire 20%, comme ce fut le cas dans les années récentes, les banques centrales ne disent rien. Cherchez l’erreur!
L’astuce consiste à ne pas intégrer les prix des logements dans les indices de prix à la consommation alors qu’il s’agit, pour l’essentiel, d’un prix représentatif d’un service de logement. Les banques centrales nous répètent inlassablement depuis trente ans qu’une inflation faible et stable est une condition nécessaire à une croissance saine et durable.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on leur a octroyé l’indépendance dans de nombreux pays.
Le principe de stabilité des prix devait l’emporter sur les velléités gouvernementales de relancer artificiellement ou provisoirement la croissance en faisant de l’inflation. Or, le logement est probablement un domaine où une inflation tendanciellement faible et stable est optimale pour les ménages dans le long terme. Les banques centrales ne nous disent pas pourquoi une inflation traditionnelle à 3% est intolérable alors qu’une inflation immobilière à 10 ou 20% ne l’est pas. Leur faillite est donc ici complète.
Il faut dire, à la décharge des banques centrales, que l’État a tout fait dans les années récentes pour favoriser la bulle immobilière. Par là même, il a pu compenser les effets dépressifs du «carnage boursier» de 2000-2002 sur les patrimoines. Jouant sur l’effet richesse, le dynamisme des dépenses d’équipement du foyer, la baisse de l’épargne et la hausse de la dette, la consommation des ménages s’est maintenue, même sans emploi ni hausse salariale.
L’État en a même rajouté. Dans un pays comme la France, où pourtant le traitement fiscal de l’immobilier était déjà favorable, il a décidé de multiplier les programmes de défiscalisation en faveur de l’investissement locatif, étendu les prêts à taux-zéro, réduit les droits de donation/succession.
La communauté bancaire n’est pas en reste: outre la baisse massive des taux, elle a dans de nombreux pays allongé la maturité des prêts, baissé les exigences d’apport personnel et développé les contrats à taux variable, participant ainsi à la procyclicité du secteur.
Les professionnels de l’immobilier constituent, quant à eux, des «coupables» logiques. Une hausse à deux chiffres des prix immobiliers pendant plusieurs années dans un pays incapable de créer le moindre emploi et où les salaires réels stagnent ne les étonne pas. La démographie, les familles recomposées, l’insuffisance de l’offre, tout ou presque aura été avancé pour justifier la hausse vertigineuse de leur chiffre d’affaires.
Dans ces conditions, il n’est pas étonnant de voir l’inflation immobilière perdurer. C’est même le contraire qui eût été étonnant.
Les victimes s’ignorent pour l’essentiel. C’est d’ailleurs le propre d’une bulle que de faire croire aux perdants qu’ils sont des gagnants potentiels ou virtuels.
Heureux de prendre la vague, les primo-accédants confondent l’amélioration de leurs conditions de logement et le fait de devenir propriétaire. En favorisant le surendettement, la bulle fragilise de nombreux ménages, notamment les plus vulnérables qui gèrent plus difficilement leur cycle de vie (professionnel ou familial).
La bulle fait surtout courir plusieurs risques aux propriétaires: le risque de moins-value, d’illiquidité, de mauvaise diversification du patrimoine (60% du patrimoine investi en immobilier en France aujourd’hui). Compte tenu de la très forte financiarisation du logement, un achat immobilier constitue aussi un pari sur le marché obligataire.
Toute correction obligataire future – ne parlons pas d’un krach – se traduira par un ajustement récessif sur les prix immobiliers.
La bulle masque aussi les nombreux coûts de la détention immobilière:
frais d’entretien et de rénovation, fiscalité (hausse de 5% l’an dernier de la taxe foncière sur le foncier bâti en France). Notons à propos de la fiscalité que l’immobilier résidentiel constituera certainement l’une des rares bases d’imposition que la concurrence fiscale européenne et mondiale ne touchera pas. C’est dire que, vieillissement aidant, la détention immobilière a de fortes chances d’être surtaxée au cours des années à venir.
Sur un plan plus collectif, la bulle immobilière réduit la mobilité, détourne l’épargne des ménages des placements à risque nécessaires pour favoriser l’innovation et la croissance. A l’inverse d’une bulle boursière, une bulle immobilière n’a jamais renforcé la productivité d’un pays. En maintenant aussi artificiellement la demande domestique, elle tend à creuser les déficits extérieurs (Espagne, Royaume-Uni, France, États-Unis).
Bref, comme tout phénomène inflationniste, une bulle immobilière brouille les choix, favorise le gaspillage, détruit de la valeur et fait donc perdre du temps aux sociétés qui y cèdent. La bulle immobilière est donc une duperie collective
Prolonger les prêts relais, c'est engraisser les banquiers.
Pleurer pour demander l'aide des pouvoirs publics, alors qu'on a spéculé, au détriment des citoyens prudents et lucides, c'est proprement scandaleux ! (donner de l'argent aux banquiers aussi, mais dans le cas des banques, on n'a pas le choix, sinon l'économie s'effondre ...).
Ci dessous un article de JP Petit, d'il y a 3 ans, de la banque française la plus sure et prudente, qui restera dans les livres d'histoire !
La bulle immobilière, une bulle à retardement pour l'économie.
Jean-Pierre Petit, Exane PNP PARIBAS, directeur de la recherche économique, in AGEFI 30 septembre 2005.
Favorisée par les Etats, les banques centrales et les professionnels, la bulle immobilière est une duperie collective.
Selon les estimations de The Economist, la hausse de la valorisation du patrimoine immobilier résidentiel dans les pays développés a été de plus de 30.000 milliards de dollars au cours des cinq dernières années, jusqu’au premier trimestre 2005 (dernières données disponibles agrégées), pour s’établir à environ 70.000 milliards aujourd’hui.
La progression des cinq dernières années représenterait environ 100% d’une année actuelle de PIB de ces pays. Sur cette base, elle dépasserait donc les niveaux enregistrés lors des grandes bulles boursières des années 20 et 90. Ajoutons qu’aucun facteur «réel» n’a pu justifier une telle dérive, ni sur le plan démographique ou migratoire, ni sur le plan macroéconomique, l’environnement étant resté globalement peu favorable sur la période en terme de croissance (à peine 2% de croissance annuelle sur
2001-2004 dans l’OCDE) et d’emploi.
L’immobilier résidentiel connaît tout simplement une bulle, phénomène fréquent dans ce secteur, historiquement et mondialement. Il y a une loi solidement ancrée en économie: une bulle n’est toujours définie qu’a posteriori, c’est-à-dire lorsqu’elle a éclaté. Entre-temps, il se trouvera toujours «une armée» d’économistes et d’experts en tout genre pour justifier une tendance qui les surprend eux-mêmes.
Les bulles persistent car il n’existe jamais de méthodes claires, évidentes ou objectives susceptibles de démontrer leur existence. Par sa propre dynamique, une bulle convainc la majorité que cette tendance ne peut que se prolonger car elle doit, pense-t-on, certainement être justifiée. C’est sa principale force.
Dans toute bulle, il y a aussi des coupables et des victimes. Les coupables sont connus, les victimes le sont moins. Parmi les coupables, il y a en premier lieu les banques centrales. Celles-ci sont quasi-universellement chargées de la stabilité des prix. Lorsque la hausse des prix à la consommation approche les 3%, la plupart des banques centrales occidentales resserrent les conditions monétaires ou menacent de le faire. Lorsque les prix immobiliers approchent les 10, 15, voire 20%, comme ce fut le cas dans les années récentes, les banques centrales ne disent rien. Cherchez l’erreur!
L’astuce consiste à ne pas intégrer les prix des logements dans les indices de prix à la consommation alors qu’il s’agit, pour l’essentiel, d’un prix représentatif d’un service de logement. Les banques centrales nous répètent inlassablement depuis trente ans qu’une inflation faible et stable est une condition nécessaire à une croissance saine et durable.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on leur a octroyé l’indépendance dans de nombreux pays.
Le principe de stabilité des prix devait l’emporter sur les velléités gouvernementales de relancer artificiellement ou provisoirement la croissance en faisant de l’inflation. Or, le logement est probablement un domaine où une inflation tendanciellement faible et stable est optimale pour les ménages dans le long terme. Les banques centrales ne nous disent pas pourquoi une inflation traditionnelle à 3% est intolérable alors qu’une inflation immobilière à 10 ou 20% ne l’est pas. Leur faillite est donc ici complète.
Il faut dire, à la décharge des banques centrales, que l’État a tout fait dans les années récentes pour favoriser la bulle immobilière. Par là même, il a pu compenser les effets dépressifs du «carnage boursier» de 2000-2002 sur les patrimoines. Jouant sur l’effet richesse, le dynamisme des dépenses d’équipement du foyer, la baisse de l’épargne et la hausse de la dette, la consommation des ménages s’est maintenue, même sans emploi ni hausse salariale.
L’État en a même rajouté. Dans un pays comme la France, où pourtant le traitement fiscal de l’immobilier était déjà favorable, il a décidé de multiplier les programmes de défiscalisation en faveur de l’investissement locatif, étendu les prêts à taux-zéro, réduit les droits de donation/succession.
La communauté bancaire n’est pas en reste: outre la baisse massive des taux, elle a dans de nombreux pays allongé la maturité des prêts, baissé les exigences d’apport personnel et développé les contrats à taux variable, participant ainsi à la procyclicité du secteur.
Les professionnels de l’immobilier constituent, quant à eux, des «coupables» logiques. Une hausse à deux chiffres des prix immobiliers pendant plusieurs années dans un pays incapable de créer le moindre emploi et où les salaires réels stagnent ne les étonne pas. La démographie, les familles recomposées, l’insuffisance de l’offre, tout ou presque aura été avancé pour justifier la hausse vertigineuse de leur chiffre d’affaires.
Dans ces conditions, il n’est pas étonnant de voir l’inflation immobilière perdurer. C’est même le contraire qui eût été étonnant.
Les victimes s’ignorent pour l’essentiel. C’est d’ailleurs le propre d’une bulle que de faire croire aux perdants qu’ils sont des gagnants potentiels ou virtuels.
Heureux de prendre la vague, les primo-accédants confondent l’amélioration de leurs conditions de logement et le fait de devenir propriétaire. En favorisant le surendettement, la bulle fragilise de nombreux ménages, notamment les plus vulnérables qui gèrent plus difficilement leur cycle de vie (professionnel ou familial).
La bulle fait surtout courir plusieurs risques aux propriétaires: le risque de moins-value, d’illiquidité, de mauvaise diversification du patrimoine (60% du patrimoine investi en immobilier en France aujourd’hui). Compte tenu de la très forte financiarisation du logement, un achat immobilier constitue aussi un pari sur le marché obligataire.
Toute correction obligataire future – ne parlons pas d’un krach – se traduira par un ajustement récessif sur les prix immobiliers.
La bulle masque aussi les nombreux coûts de la détention immobilière:
frais d’entretien et de rénovation, fiscalité (hausse de 5% l’an dernier de la taxe foncière sur le foncier bâti en France). Notons à propos de la fiscalité que l’immobilier résidentiel constituera certainement l’une des rares bases d’imposition que la concurrence fiscale européenne et mondiale ne touchera pas. C’est dire que, vieillissement aidant, la détention immobilière a de fortes chances d’être surtaxée au cours des années à venir.
Sur un plan plus collectif, la bulle immobilière réduit la mobilité, détourne l’épargne des ménages des placements à risque nécessaires pour favoriser l’innovation et la croissance. A l’inverse d’une bulle boursière, une bulle immobilière n’a jamais renforcé la productivité d’un pays. En maintenant aussi artificiellement la demande domestique, elle tend à creuser les déficits extérieurs (Espagne, Royaume-Uni, France, États-Unis).
Bref, comme tout phénomène inflationniste, une bulle immobilière brouille les choix, favorise le gaspillage, détruit de la valeur et fait donc perdre du temps aux sociétés qui y cèdent. La bulle immobilière est donc une duperie collective
joelle13
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22 oct. 2008 à 14:47
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baissez les prix c'est ce que font la majeure partie des personnes concernées pour pouvoir s'en sortir mais étant donné que l'économie est gélée les solutions ne sont pas trouvées pour les problèmes posés.
les grands cours d'économie ne résolvent pas les problèmes
nico au moins à proposer une aide en indiquant de saisir le tribunal et c'est une bonne solution pour les personnes qui ont ce problème ; l'AFUB donne également de bonne solutions pour aider les gens.
les grands cours d'économie ne résolvent pas les problèmes
nico au moins à proposer une aide en indiquant de saisir le tribunal et c'est une bonne solution pour les personnes qui ont ce problème ; l'AFUB donne également de bonne solutions pour aider les gens.
je suis tout à fait de votre avis, il ne faut plus baisser nous sommes effectivement des victimes de ce systemes, donc il faut se battre et faire valoir nos droits nous ne sommes pas responsable de cette crise,
battons nous !!!!!!!!!!!!!!
et pour les gros moralisateurs nuls allez voir si vous pouvez vous défouler ailleurs, car votre aide est plutot navrante et sans méchanceté, je ne vous souhaite pas de subir un jour le system que nos chers politiques nous imposent ..........
battons nous !!!!!!!!!!!!!!
et pour les gros moralisateurs nuls allez voir si vous pouvez vous défouler ailleurs, car votre aide est plutot navrante et sans méchanceté, je ne vous souhaite pas de subir un jour le system que nos chers politiques nous imposent ..........
Je suis abasourdi par ce que je lis !
Je n'irai pas jusqu'à prétendre que les gens qui ont contracté des prêts-relais sont des spéculateurs mais ce sont juste de gens irresponsables... Qui viennent ensuite comme des enfants pleurer auprès des banques ou du gouvernement ou même des martiens pour obtenir qu'on annule sans frais leurs actes et décisions inconséquentes !
C'est un comble.
Messieurs-dames, j'ai honte pour vous.
Imaginons en effet, il y a quatre ans, deux familles identiques qui louent un appartement identique, avec un salaire total de 4500€.
L'une épargne dans l'attente d'un apport personnel suffisant pour contracter un prêt correct (comme on faisait autrefois) et demeure locataire en attendant parce que les prix sont de toute façon trop élevés. Et paye un loyer tous les mois en plus de son épargne.
L'autre décide de faire joujou avec le crédit, cède aux sirènes de l'argent facile et prend un prêt sur 20 ans avec zéro garantie et zéro apport personnel. En se moquant de la première famille selon l'adage alors en cours : tout loyer est de l'argent foutu par les fenêtres ! Ah ils ont du bien rigoler, les gens de la deuxième famille, en se disant à l'époque que ceux de la première n'avaient vraiment rien compris à la vie ! C'est de vous que je parle messieurs-dames qui venez maintenant couiner au scandale !
Et voilà que quatre ans plus tard, ce petit jeu s'interrompt parce qu'on a raclé les fonds de tiroirs des acheteurs potentiels. Le dernier siphoneur d'acheteurs étant par parenthèse votre champion : Nicolas Sarkozy, qui, par ses exonérations fiscales sur les prêts aux primo accédants, a accéléré les achats par anticipation et précipité la chute.
Donc la deuxième famille est maintenant dans la mouise, parce qu'elle a commis des erreurs de jugement.
Et le comble, c'est qu'elle vient maintenant sans vergogne demander à la collectivité, c'est-à-dire à la première famille, de payer des mesures de facilités de caisse !
Vous êtes vraiment des enfants.
Et quant à ceux qui brâment qu'ils doivent vendre suite à une mutation et/ou un changement de région, je leur dis que personne ne les a jamais obligés à acheter. Ils pouvaient louer en attendant de vendre leur premier bien. Puis ensuite seulement chercher à racheter sur place.
Maintenant, soyons concret : vous cherchez des solutions pour sortir de votre merdier ? Je vous le dis en toute honnêteté et avec désintéressement :
0. Soyez adultes et admettez que vous vous êtes mis vous-même dans le caca. Je sais que c'est dur mais il faut accepter la réalité. Personne ne vous a mis un revolver sur le tempe pour acheter une maison ou souscrire un prêt impossible à tenir. N'accusez pas les banques, ni le gouvernement ni le Terre entière. Le responsable, c'est VOUS.
1. Ceci acquis, n'écoutez pas les bouffons qui vous promettent qu'un appel au président, au TGI, à Julien Courbet, à Barack Obama ou au Père Noël va arranger les choses. C'est de la merde en barre ! Personne sur cette Terre ne réparera vos conneries gratuitement.
2. N'écoutez pas les gens qui vous disent de prolonger votre prêt relais encore un an dans l'attente d'une vente à venir. NE COMMETTEZ PAS DEUX FOIS LA MÊME ERREUR !!!! Le marché de l'immobilier est en baisse durable pour 7 à 8 ans. Vous seriez encore plus dans la mouise dans un an.
2 bis. Ne pensez pas que vous allez vous en tirer en louant en dernier ressort. Tout le monde fera comme vous et le marché de la location deviendra pléthorique. Et donc, il s'effondrera aussi ! Regardez le cas actuel (pour ceux qui lisent la langue de Goethe) de l'ex Allemagne de l'est où des propriétaires payent des gens pour occuper leur bien, tellement on a construit de logement dédiés à la location.
3. Ces points étant actés, vendez tout de suite ! pour perdre le moins possible, quitte à panser vos plaies.
4. Comment vendre tout de suite ? BAISSER VOTRE PRIX ! De beaucoup s'il le faut. -30% ou -40% ou plus s'il vous faut du cash. Plus vous attendez, et plus vous perdrez.
5. Si vous n'avez pas besoin de cash, gardez votre bien, ne le vendez plus et placez un locataire dedans si c'est possible.
Voilà
Je n'irai pas jusqu'à prétendre que les gens qui ont contracté des prêts-relais sont des spéculateurs mais ce sont juste de gens irresponsables... Qui viennent ensuite comme des enfants pleurer auprès des banques ou du gouvernement ou même des martiens pour obtenir qu'on annule sans frais leurs actes et décisions inconséquentes !
C'est un comble.
Messieurs-dames, j'ai honte pour vous.
Imaginons en effet, il y a quatre ans, deux familles identiques qui louent un appartement identique, avec un salaire total de 4500€.
L'une épargne dans l'attente d'un apport personnel suffisant pour contracter un prêt correct (comme on faisait autrefois) et demeure locataire en attendant parce que les prix sont de toute façon trop élevés. Et paye un loyer tous les mois en plus de son épargne.
L'autre décide de faire joujou avec le crédit, cède aux sirènes de l'argent facile et prend un prêt sur 20 ans avec zéro garantie et zéro apport personnel. En se moquant de la première famille selon l'adage alors en cours : tout loyer est de l'argent foutu par les fenêtres ! Ah ils ont du bien rigoler, les gens de la deuxième famille, en se disant à l'époque que ceux de la première n'avaient vraiment rien compris à la vie ! C'est de vous que je parle messieurs-dames qui venez maintenant couiner au scandale !
Et voilà que quatre ans plus tard, ce petit jeu s'interrompt parce qu'on a raclé les fonds de tiroirs des acheteurs potentiels. Le dernier siphoneur d'acheteurs étant par parenthèse votre champion : Nicolas Sarkozy, qui, par ses exonérations fiscales sur les prêts aux primo accédants, a accéléré les achats par anticipation et précipité la chute.
Donc la deuxième famille est maintenant dans la mouise, parce qu'elle a commis des erreurs de jugement.
Et le comble, c'est qu'elle vient maintenant sans vergogne demander à la collectivité, c'est-à-dire à la première famille, de payer des mesures de facilités de caisse !
Vous êtes vraiment des enfants.
Et quant à ceux qui brâment qu'ils doivent vendre suite à une mutation et/ou un changement de région, je leur dis que personne ne les a jamais obligés à acheter. Ils pouvaient louer en attendant de vendre leur premier bien. Puis ensuite seulement chercher à racheter sur place.
Maintenant, soyons concret : vous cherchez des solutions pour sortir de votre merdier ? Je vous le dis en toute honnêteté et avec désintéressement :
0. Soyez adultes et admettez que vous vous êtes mis vous-même dans le caca. Je sais que c'est dur mais il faut accepter la réalité. Personne ne vous a mis un revolver sur le tempe pour acheter une maison ou souscrire un prêt impossible à tenir. N'accusez pas les banques, ni le gouvernement ni le Terre entière. Le responsable, c'est VOUS.
1. Ceci acquis, n'écoutez pas les bouffons qui vous promettent qu'un appel au président, au TGI, à Julien Courbet, à Barack Obama ou au Père Noël va arranger les choses. C'est de la merde en barre ! Personne sur cette Terre ne réparera vos conneries gratuitement.
2. N'écoutez pas les gens qui vous disent de prolonger votre prêt relais encore un an dans l'attente d'une vente à venir. NE COMMETTEZ PAS DEUX FOIS LA MÊME ERREUR !!!! Le marché de l'immobilier est en baisse durable pour 7 à 8 ans. Vous seriez encore plus dans la mouise dans un an.
2 bis. Ne pensez pas que vous allez vous en tirer en louant en dernier ressort. Tout le monde fera comme vous et le marché de la location deviendra pléthorique. Et donc, il s'effondrera aussi ! Regardez le cas actuel (pour ceux qui lisent la langue de Goethe) de l'ex Allemagne de l'est où des propriétaires payent des gens pour occuper leur bien, tellement on a construit de logement dédiés à la location.
3. Ces points étant actés, vendez tout de suite ! pour perdre le moins possible, quitte à panser vos plaies.
4. Comment vendre tout de suite ? BAISSER VOTRE PRIX ! De beaucoup s'il le faut. -30% ou -40% ou plus s'il vous faut du cash. Plus vous attendez, et plus vous perdrez.
5. Si vous n'avez pas besoin de cash, gardez votre bien, ne le vendez plus et placez un locataire dedans si c'est possible.
Voilà
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
N'importe quoi, vous êtes pathétique ...
Vous allez saisir le tribunal car vous n'arrivez pas à vendre ? Vous êtes quand même grave, vous vous rendez compte de ce que vous dites, sur le fonds ?
Moi mes clients n'achètent pas mes services, je vais saisir le tribunal, j'exige qu'on me paye !!! j'ai bac +8, il faut qu'on achète mes services !!!
Vous allez saisir le tribunal car vous n'arrivez pas à vendre ? Vous êtes quand même grave, vous vous rendez compte de ce que vous dites, sur le fonds ?
Moi mes clients n'achètent pas mes services, je vais saisir le tribunal, j'exige qu'on me paye !!! j'ai bac +8, il faut qu'on achète mes services !!!
joelle13
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22 oct. 2008 à 16:04
22 oct. 2008 à 16:04
on peut saisir le tribunal pour différentes raisons : report d'échéances etc.....
car monsieur il y a des gens dans le besoin et là on parle d'aider les personnes et non de les casser
- j'imagine que vous gagnez tellement bien votre vie que vous ne faites pas de crédit ; vous pouvez payer cash........
à part baisser les prix c'est tout ce que vous savez dire ; comment pouvez-vous aider les gens qui demandent simplement des conseils
soyez concret et donnez de véritables solutions là vous serez estimé
car monsieur il y a des gens dans le besoin et là on parle d'aider les personnes et non de les casser
- j'imagine que vous gagnez tellement bien votre vie que vous ne faites pas de crédit ; vous pouvez payer cash........
à part baisser les prix c'est tout ce que vous savez dire ; comment pouvez-vous aider les gens qui demandent simplement des conseils
soyez concret et donnez de véritables solutions là vous serez estimé
lbigaret
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22 oct. 2008 à 16:30
22 oct. 2008 à 16:30
Vous êtes pathétique !
Je vois vos posts passer et celui-ci tient le pompon ! Quand on se vante d'avoir un tel bagage on évite de se tromper d'endroit pour se défouler.
Ici ce sont des gens qui se trouvent dans une situation très inconfortable qui cherchent un conseil, une information qui leur permettrait d'éviter une situation encore plus défavorable.
Vous ne voulez que faire étalage de votre "science" (?) et en plus avec une morgue intolérable.....Cherchez donc un autre endroit plus adapté à votre besoin.....
Je vois vos posts passer et celui-ci tient le pompon ! Quand on se vante d'avoir un tel bagage on évite de se tromper d'endroit pour se défouler.
Ici ce sont des gens qui se trouvent dans une situation très inconfortable qui cherchent un conseil, une information qui leur permettrait d'éviter une situation encore plus défavorable.
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kagemusha
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lbigaret
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22 oct. 2008 à 16:35
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Je ne me défoule pas, je suis très constructif.
Je vois bien que certains militent pour que la collectivité paye pour leurs erreurs, je milite pour la responsabilisation des acteurs.
Les prêts relais ne sont nullement un problème juridique, mais une question économique et financière, à traiter comme telle.
Je vois bien que certains militent pour que la collectivité paye pour leurs erreurs, je milite pour la responsabilisation des acteurs.
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kagemusha
22 oct. 2008 à 18:10
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Aux personnes qui posent des question de juger si vous êtes constructif ou pas.
Pour répondre sur le fond je pense que l'état, les états , sont responsables de par leur politiques fiscales ou autre de ce qui arrive actuellement sur le plan financier. Comment avoir laissé les divagations financières sans aucune réaction d'un quelconque politique depuis une bonne dizaine d'années alors que le PIB mondial se "joue" 10 à 20 fois par jour sur les différentes places financières ??? La complète virtualisation des flux ne pouvait qu'annoncer une catastrophe.
A mon avis les états sont bien des acteurs de la crise financière soit par incurie ou pire par complicité !
Maintenant les prêts relais et leur devenir représentent actuellement le risque d'une vraie crise immobilière en France (jusqu'à maintenant nous n'avions qu'une crise journalistique ou financière) et il faut bien régler ce problème (pour les dizaines de milliers de personnes concernées). Je dirais même plus il faut le régler pour que ceci n'impacte pas les personnes non concernées par les relais car d'après vous que fera l'état qui serait privé de la manne des frais de mutation voire de la TVA sur l'immobilier ??
Pour répondre sur le fond je pense que l'état, les états , sont responsables de par leur politiques fiscales ou autre de ce qui arrive actuellement sur le plan financier. Comment avoir laissé les divagations financières sans aucune réaction d'un quelconque politique depuis une bonne dizaine d'années alors que le PIB mondial se "joue" 10 à 20 fois par jour sur les différentes places financières ??? La complète virtualisation des flux ne pouvait qu'annoncer une catastrophe.
A mon avis les états sont bien des acteurs de la crise financière soit par incurie ou pire par complicité !
Maintenant les prêts relais et leur devenir représentent actuellement le risque d'une vraie crise immobilière en France (jusqu'à maintenant nous n'avions qu'une crise journalistique ou financière) et il faut bien régler ce problème (pour les dizaines de milliers de personnes concernées). Je dirais même plus il faut le régler pour que ceci n'impacte pas les personnes non concernées par les relais car d'après vous que fera l'état qui serait privé de la manne des frais de mutation voire de la TVA sur l'immobilier ??
Vous êtes un escroc et un menteur qui vous êtes dévoilé: citez moi un article de presse, je suis sympa, je ne vous en demande qu'un seul, qui "ait fait ses choux gras en 2001 de la bulle immobilière". Source, auteur et lien SVP.
Assez de baratin, des faits.
Je suis expert prospective et métier pour un grand éditeur de logiciels.
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lbigaret
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22 oct. 2008 à 19:21
22 oct. 2008 à 19:21
Encore un fois vous ne me connaissez pas et je vous interdis ce type de verbiage calomnieux.
Je pourrais m'amuser à cherchez dans les archives de l'époque. Simplement fin 2001 j'étais dans le petit monde de l'informatique et compte tenu du marché de l'époque j'ai cherché une autre solution métier (prospective et métier dites vous ?). Nous avons commencé en décembre 2001 et déjà à l'époque une certain nombres d'articles citaient de soi-disant gourous qui annonçaient la baisse de l'immobilier. Certes force est de constater que ces gens finiront (?) par avoir raison (?).
Mais quel crédit apporter à toutes les personnes qui annoncent les choses sans même donner leur argumentaire ??
En tout cas pour ma part je me garderais bien de tout pronostique à court et moyen terme car les variables en jeu sont si complexes que personne les maitrise. A lors si c'est ça être menteur j'assume !
Quant à escroc je préfère ne pas répondre et me tourner simplement vers mes clients qui apprécient à peu près tous mes services.
Maintenant recherchez dans les archives de la presse, c'est assez simple car la bulle immobilière est devenu le marronnier de début d'année des journalistes depuis pas mal de temps (osez soutenir le contraire). Début 2006 le patron de PAP a annoncé une baisse de 30%....sans argumenter.
Je pourrais m'amuser à cherchez dans les archives de l'époque. Simplement fin 2001 j'étais dans le petit monde de l'informatique et compte tenu du marché de l'époque j'ai cherché une autre solution métier (prospective et métier dites vous ?). Nous avons commencé en décembre 2001 et déjà à l'époque une certain nombres d'articles citaient de soi-disant gourous qui annonçaient la baisse de l'immobilier. Certes force est de constater que ces gens finiront (?) par avoir raison (?).
Mais quel crédit apporter à toutes les personnes qui annoncent les choses sans même donner leur argumentaire ??
En tout cas pour ma part je me garderais bien de tout pronostique à court et moyen terme car les variables en jeu sont si complexes que personne les maitrise. A lors si c'est ça être menteur j'assume !
Quant à escroc je préfère ne pas répondre et me tourner simplement vers mes clients qui apprécient à peu près tous mes services.
Maintenant recherchez dans les archives de la presse, c'est assez simple car la bulle immobilière est devenu le marronnier de début d'année des journalistes depuis pas mal de temps (osez soutenir le contraire). Début 2006 le patron de PAP a annoncé une baisse de 30%....sans argumenter.
ma culture générale n'a pu m'aider à résoudre une question: le sens de "kagemusha"....wikipédia entre autre l'a fait....ci joint le lien pour ceux que cela intéresse: https://fr.wikipedia.org/wiki/Kagemusha,_l%27ombre_du_guerrier ; Que penser de Monsieur Kagemusha ici bas? Peut etre que s'il lui restait que quelques heures à vivre, il les passerait à autre chose qu'à jeter sa gourme sur toutes les personnes du présent forum. Dont acte.
Je suis en partie d'accord avec le raisonnement de Kagenusha.
Un report du prêt relai, ne règle pas le problème, et ce n'est pas gratuit il y a des intérêts intercalaires à payer,a cela il faut ajouter les impôts fonciers, et divers frais si en copropriété.
La seule solution c'est de baisser le prix,
Pour avoir suivi le marché depuis 2004 j'affirme que les raisons de la bulle immobilière sont diverses, la spéculation sur la résidence principale, la politique des taux bas,une concurrence féroce des professionnels de l'immobilier qui ont fait de la surenchère pour avoir des biens à la vente,toujours plus chers, les marchands de biens spéculateurs, les promoteurs qui ont main mise sur le foncier
Et un comportement de mimétisme et compulsif, qui a poussé a acheter des biens à des prix délirants, totalement déconnectés de la valeur et du pouvoir d'achat des acquéreurs qui se sont endettés sur des durées qui représentent un risque, face aux aléas de la vie, chômage, divorce, mutation, baisse du pouvoir d'achat et frais d éducation des enfants. Des acquéreurs qui se trouvent en difficulté lorsqu'ils doivent assumer l'entretien de leur bien, soit en copropriété ou pour les maisons anciennes très couteuses à rénover et à chauffer.
Payer les impôts fonciers et locaux et les frais de déplacement pour ceux qui habitent loin de leur lieu de travail.
les idées reçues telles que la pénurie de logements, sont totalement infondées, il y a semble t-il environ 50 000 logements disponibles en France à la location.Des programmes d'investissement de robien qui ne sont pas loués
il est vrai qu'il manque des logements à loyers modérés.
La baisse va se poursuivre pour plusieurs raisons,
le contexte international.
la crise affecte plus la France qui entre en récession. Ce qui va entrainer de nombreuses faillites, chômage, baisse du pouvoir d'achat.
Les banques qui avaient distribués des prêts de façon irresponsable, sont devenues plus vigilantes et demandent de sérieuses garanties.
Et La faible solvabilité des ménages en raison de la hausse des taux de crédit et de la hausse des matières premières Le baril de pétrole qui va reprendre inévitablement son ascension .
Pour mémoire les prix de l'immobilier avaient baissé de 40% en euros à Paris et la région Parisienne de 1991 à 1996.
Le retournement de l'immobilier 2007/2008 était prévisible et connu des professionnels dès 2006 mais il y a eu un véto sur la diffusion de l'information et de la situation et ce jusqu'en juillet
des élites et certains professionnels ont pratiqué la langue de bois et se sont discrédités;
Le magazine The economiste, dans un article en 2005 indiquait qu'il existait une bulle immobilière dans plusieurs pays y compris en France. Des économistes ont aussi tiré la sonnette d'alarme.
Pour conclure, pour que la situation se déblogue il faut une baisse importante des prix de l'immobilier
Une réglementation des prix du foncier, foncier détenu par une minorité " qui nous plonge dans un système féodal".
des terres agricoles achetées 0,50 euros du m2 et revendues en constructibles 100 voire 200 euros et plus,un marché spéculatif et une véritable spoliation sur les jeunes générations
L'avenir est à la mobilité, pour faire face à la mondialisation et aux profonds changements que cela va entrainer,
il sera préférable d'avoir un endettement de courte durée.
Il ne faut pas s'attendre aàune amélioration dans les mois à venir, l'année 2009 sera encore plus difficile pour tous.
Bon courage.
Un report du prêt relai, ne règle pas le problème, et ce n'est pas gratuit il y a des intérêts intercalaires à payer,a cela il faut ajouter les impôts fonciers, et divers frais si en copropriété.
La seule solution c'est de baisser le prix,
Pour avoir suivi le marché depuis 2004 j'affirme que les raisons de la bulle immobilière sont diverses, la spéculation sur la résidence principale, la politique des taux bas,une concurrence féroce des professionnels de l'immobilier qui ont fait de la surenchère pour avoir des biens à la vente,toujours plus chers, les marchands de biens spéculateurs, les promoteurs qui ont main mise sur le foncier
Et un comportement de mimétisme et compulsif, qui a poussé a acheter des biens à des prix délirants, totalement déconnectés de la valeur et du pouvoir d'achat des acquéreurs qui se sont endettés sur des durées qui représentent un risque, face aux aléas de la vie, chômage, divorce, mutation, baisse du pouvoir d'achat et frais d éducation des enfants. Des acquéreurs qui se trouvent en difficulté lorsqu'ils doivent assumer l'entretien de leur bien, soit en copropriété ou pour les maisons anciennes très couteuses à rénover et à chauffer.
Payer les impôts fonciers et locaux et les frais de déplacement pour ceux qui habitent loin de leur lieu de travail.
les idées reçues telles que la pénurie de logements, sont totalement infondées, il y a semble t-il environ 50 000 logements disponibles en France à la location.Des programmes d'investissement de robien qui ne sont pas loués
il est vrai qu'il manque des logements à loyers modérés.
La baisse va se poursuivre pour plusieurs raisons,
le contexte international.
la crise affecte plus la France qui entre en récession. Ce qui va entrainer de nombreuses faillites, chômage, baisse du pouvoir d'achat.
Les banques qui avaient distribués des prêts de façon irresponsable, sont devenues plus vigilantes et demandent de sérieuses garanties.
Et La faible solvabilité des ménages en raison de la hausse des taux de crédit et de la hausse des matières premières Le baril de pétrole qui va reprendre inévitablement son ascension .
Pour mémoire les prix de l'immobilier avaient baissé de 40% en euros à Paris et la région Parisienne de 1991 à 1996.
Le retournement de l'immobilier 2007/2008 était prévisible et connu des professionnels dès 2006 mais il y a eu un véto sur la diffusion de l'information et de la situation et ce jusqu'en juillet
des élites et certains professionnels ont pratiqué la langue de bois et se sont discrédités;
Le magazine The economiste, dans un article en 2005 indiquait qu'il existait une bulle immobilière dans plusieurs pays y compris en France. Des économistes ont aussi tiré la sonnette d'alarme.
Pour conclure, pour que la situation se déblogue il faut une baisse importante des prix de l'immobilier
Une réglementation des prix du foncier, foncier détenu par une minorité " qui nous plonge dans un système féodal".
des terres agricoles achetées 0,50 euros du m2 et revendues en constructibles 100 voire 200 euros et plus,un marché spéculatif et une véritable spoliation sur les jeunes générations
L'avenir est à la mobilité, pour faire face à la mondialisation et aux profonds changements que cela va entrainer,
il sera préférable d'avoir un endettement de courte durée.
Il ne faut pas s'attendre aàune amélioration dans les mois à venir, l'année 2009 sera encore plus difficile pour tous.
Bon courage.
Bravo Charlène
Pourquoi en partie d'accord seulement ?
J'ajouterai que nous devrons payer plus d'impôts, pour la solidarité (suite à la crise), pour les vieux (dépendance, incapacité, minimum vieillesse), pour notre santé et nos retraites ...
Et effectivement nous avons besoin d'être mobiles, et pas attachés à une maison, pour pouvoir changer rapidement de travail, de métier.
Dans quelques années, l'immobilier ne sera plus en tête de liste de nos préoccupations, ça restera important, certes, mais pas la chose fondamentale pour laquelle on s'aliène pendant des années ... !
Pourquoi en partie d'accord seulement ?
J'ajouterai que nous devrons payer plus d'impôts, pour la solidarité (suite à la crise), pour les vieux (dépendance, incapacité, minimum vieillesse), pour notre santé et nos retraites ...
Et effectivement nous avons besoin d'être mobiles, et pas attachés à une maison, pour pouvoir changer rapidement de travail, de métier.
Dans quelques années, l'immobilier ne sera plus en tête de liste de nos préoccupations, ça restera important, certes, mais pas la chose fondamentale pour laquelle on s'aliène pendant des années ... !
Bonjour Kagemusha, sur le fond je suis entièrement d'accord avec votre analyse,
j'ai un "peu" de compassion pour ceux qui ont cru que les arbres montaient jusqu'au ciel.
beaucoup ont perdu la raison
et le sens de la valeur de l'argent.
il y a un sujet qui semble occulté, qui aura un effet boomrang
1/ la gestion du " papy boom" et des conséquences sur les futures générations qui devront payer.
2/ la crise actuelle, un tsunami,ne semble pas avoir de précédent et qui inévitablement aura des conséquences dans les prochains mois et années. l'état emprunte et les intérêts augmentent la dette, nous devrons en supporter tôt ou tard les conséquences
3/ la préoccupation majeure actuelle et dans les prochaines années, sera l'emploi, la mobilité, la capacité de s'adapter et se donner les meilleures chances pour faire face aux changements,
Nous sommes en pleine mutation.
j'ai un "peu" de compassion pour ceux qui ont cru que les arbres montaient jusqu'au ciel.
beaucoup ont perdu la raison
et le sens de la valeur de l'argent.
il y a un sujet qui semble occulté, qui aura un effet boomrang
1/ la gestion du " papy boom" et des conséquences sur les futures générations qui devront payer.
2/ la crise actuelle, un tsunami,ne semble pas avoir de précédent et qui inévitablement aura des conséquences dans les prochains mois et années. l'état emprunte et les intérêts augmentent la dette, nous devrons en supporter tôt ou tard les conséquences
3/ la préoccupation majeure actuelle et dans les prochaines années, sera l'emploi, la mobilité, la capacité de s'adapter et se donner les meilleures chances pour faire face aux changements,
Nous sommes en pleine mutation.
charlène, kagemusha,
vous avez des boules de cristal pour affirmer toutes ces prophéties ?
on aura peut être une guerre aussi non ?
ou alors une catastrophe biologicochimicoclimaticobactériologique non ?
arrêtez avec vos prophétie déprimantes! Il y a peut être du vrai mais y'a déjà assez de personnes qui dépriment ici, n'en rajoutez pas.
Les gens sont là pour s'en sortir et avoir un peu de réconfort, d'espoir...et vous leur sciez le moral. Vous n'amenez rien en définitif qui leur soit utile.
vous avez des boules de cristal pour affirmer toutes ces prophéties ?
on aura peut être une guerre aussi non ?
ou alors une catastrophe biologicochimicoclimaticobactériologique non ?
arrêtez avec vos prophétie déprimantes! Il y a peut être du vrai mais y'a déjà assez de personnes qui dépriment ici, n'en rajoutez pas.
Les gens sont là pour s'en sortir et avoir un peu de réconfort, d'espoir...et vous leur sciez le moral. Vous n'amenez rien en définitif qui leur soit utile.
Bonjour à tous,
Je viens de parcourir les messages et je plains toutes personnes qui se trouvent dans cette situation inextricable du prêt relais. Je suis marchand de biens et cela m'est arrivé l'année dernière, j'ai remboursé le dernier jour, en baissant mon prix de 100 000 euros ! pas le choix. Aujourd'hui je vais me positionner comme acheteur mais les banques ont du mal à prêter et les vendeurs pensent que nous souhaitons acheter à - 50 % de la valeur de leurs biens. Alors je ne fais pas de proposition bien que les MDB pourraient vous offrir une solution, mauvaise, certes, mais toujours meilleure que la saisie.
Je vous souhaite bon courage
LM
Je viens de parcourir les messages et je plains toutes personnes qui se trouvent dans cette situation inextricable du prêt relais. Je suis marchand de biens et cela m'est arrivé l'année dernière, j'ai remboursé le dernier jour, en baissant mon prix de 100 000 euros ! pas le choix. Aujourd'hui je vais me positionner comme acheteur mais les banques ont du mal à prêter et les vendeurs pensent que nous souhaitons acheter à - 50 % de la valeur de leurs biens. Alors je ne fais pas de proposition bien que les MDB pourraient vous offrir une solution, mauvaise, certes, mais toujours meilleure que la saisie.
Je vous souhaite bon courage
LM
Bonjour,
Les marchands de bien ? tiens je n'y avais pas pensé malgré toutes les solutions que j'ai envisagées. Mais ces marchands de biens sont-ils prêts à acheter des maisons par les temps qui courent ? Quant à moi, je veux bien en rencontrer un pour voir... Je suis en loire atlantique dans la région nantaise.
A bientôt.
Les marchands de bien ? tiens je n'y avais pas pensé malgré toutes les solutions que j'ai envisagées. Mais ces marchands de biens sont-ils prêts à acheter des maisons par les temps qui courent ? Quant à moi, je veux bien en rencontrer un pour voir... Je suis en loire atlantique dans la région nantaise.
A bientôt.
rama972
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19 janvier 2009
31 oct. 2008 à 09:58
31 oct. 2008 à 09:58
bonjour Oustal,
J'ai envoyé un mail à M. SARKOZY et j'ai eu une réponse une semaine plus tard ; évidemment c'est son cabinet qui m'a répondu en m'assurant qu'il allait le signaler au Ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi.
J'espère que comme vous le dites, celà portera ses fruits.
J'ai envoyé un mail à M. SARKOZY et j'ai eu une réponse une semaine plus tard ; évidemment c'est son cabinet qui m'a répondu en m'assurant qu'il allait le signaler au Ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi.
J'espère que comme vous le dites, celà portera ses fruits.
Bonjour !
Très bonne idée d'envoyer un mail à Sarkozy. Il faudrait tous faire la même chose. Mais quelle est son adresse mail ?
Ce serait bien également qu'un journaliste fasse une enquête là dessus puisque personne n'aborde le sujet...Partout on parle des victimes diverses et variées de la crise, mais pas de celles des prêts relais...
Avis aux amateurs...
Très bonne idée d'envoyer un mail à Sarkozy. Il faudrait tous faire la même chose. Mais quelle est son adresse mail ?
Ce serait bien également qu'un journaliste fasse une enquête là dessus puisque personne n'aborde le sujet...Partout on parle des victimes diverses et variées de la crise, mais pas de celles des prêts relais...
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rama972
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31 oct. 2008 à 13:41
31 oct. 2008 à 13:41
Guigui,
Pour envoyer un mail à M. SARKOZY il faut aller sur le site de l'Elysée et là on nous propose d'écrire au Président de la République.
J'ai fait cette démarche et si tout le monde le fait celà fera peut être bouger les choses.
Pour envoyer un mail à M. SARKOZY il faut aller sur le site de l'Elysée et là on nous propose d'écrire au Président de la République.
J'ai fait cette démarche et si tout le monde le fait celà fera peut être bouger les choses.
L'article L312-12 du code la consommation vous permet de demander auprès du tribunal d'instance (pas besoin d'un avocat) la suspension d'obligation de paiement d'un crédit relais.
Contactez l'association AFUB
Contactez l'association AFUB
Bonjour,
Nous avons enfin réussi à vendre, du moins à signer un compromis de vente chez le notaire.
Historique :
Nous avons pris un prêt relais il y a 12 mois pile, et dans le stress depuis 6 mois avec la crise qui enfle...
L'appartement avait été estimé entre 200 et 210 k€ par 3 agences. Sur ce, la banque nous avance 100 k€ de relais, en plus d'un prêt classique, pour l'achat de notre petite maison mitoyenne avec un bout de jardin.
Le temps passe et les agences mangent de la poussière, plus rien ne se vend. Le problème vient du fait que la roue est complètement grippée. La chaine alimentaire est bloquée, mais comme nous sommes en bout de celle-ci ça devrait aller, je m'explique :
A ce jour, seuls les primo accédants ont la possibilité de financer un premier achat et compte tenu des taux, leur budget est plus que limité : entre 150 et 250 k€ (en moyenne) ils se limitent donc bien souvent a des biens en rapport et même comme ça, c'est loin d'être simple puisque les banques ont durci les critères d'obtention des prêts.
Tous ceux qui, comme moi, compte sur ce 1er achat pour pouvoir financer le suivant sont dans la même galère. Pour pouvoir vendre une maison ou un grand appartement bien placé, donc hors budget, il faut que les éventuels acheteurs aient eux-mêmes vendu leur bien actuel... d'où cette pénurie d'acquéreurs.
Nous avons donc réduit le nombre d'agences, je ne parle même pas de celles que nous avons vues que pour la signature du mandat (sic !). J'ai mis le bien sur 2 sites gratuits qui fonctionnent très bien : www.vivastreet.fr et www.leboncoin.fr, j'ai eu 90 % de mes visites par ce biai et contrairement à ce que cherchent à nous raconter les agences, leur plus value est meilleure en période faste, en ce moment les acheteurs cherchent à "gratter" le moindre euro et avec le net, tout le monde se débrouille de façon autonome.
Dans notre cas, en un an le prix est passé de 200 k€ à 169 k€ depuis 1 mois environ : et là, dû au prix psychologique probablement, j'ai eu 10 visites en une semaine, j'ai encore des appels mais je viens de retirer l'annonce.
Après un peu de négoce : 164 k€ et direction le notaire avec notre jeune couple de fonctionnaires.
Avec cette "dévisse" de 15% il nous reste à financer un trou de 18 000 € mais nous préférons encore cela à une année d'angoisse supplémentaire. Un prêt travaux "détourné" et l'aide de famille ici et là devraient nous permettre de respirer enfin.
Il est IMPERATIF que l'état mette la pression aux banques pour qu'elles redistribuent sous forme de prêts les sommes colossales qu'elles ont obtenu grâce à nous tous, nos impôts, nos économies et autres charges : nous sommes l'état !.
Les gens ne demandent pas l'aumône, ils demandent juste la possibilité de pouvoir vendre pour enfin avancer.
Et si certains se complaisent à prédire une période noire à venir, je n'y crois pas beaucoup, le marché va finir par se stabiliser, la chute sera maîtrisée, il y a bien trop d'intérêts en jeu pour les plus gros qui ont déjà laissé pas mal d'argent dans le gouffre de la bourse (loterie ?).
Astuces :
• Nous avons laissé l'appartement pleinement fonctionnel avec peu de meubles, peu de déco mais les armoires pleines et la cuisine prête à tourner : pas mal de visiteurs cherchent la faille : si le bien est vide = prêt relais = vous êtes pressé donc vulnérable en termes de négociation.
• J'ai lu beaucoup d'annonces sur la toile avec très peu de textes et de photos, pour ma part, beaucoup de détails et de mise en valeur qui donnent envie de venir voir, n'hésitez pas à retoucher votre texte plusieurs fois, à vous inspirer de ce qui est écrit par ailleurs.
• Il faut impérativement faire une étude de la concurrence avec les biens en vente dans votre secteur (et oui, je sais, c'est triste, mais c'est chacun pour sois). Mettez-vous dans la peau d'un acheteur qui recherche un bien dans votre fourchette de prix. Il est fort à parier qu'il visitera également les autres biens, autant mettre toutes les chances de votre côté en jouant sur le rapport prix-prestations.
• Ecoutez vos visiteurs, leurs attentes. Pour sortir du lot, je me suis débrouillé pour faire ressortir des qualités : surface, proximité écoles, type de chauffage, faibles charges, travaux déjà votés, des choses auxquelles ma cible est très sensible.
Je vous souhaite à toutes et tous beaucoup de courage et persévérance, ne baissez pas les bras... je ne doute pas que les choses vont finir par se débloquer et que les ventes vont repartir, les gens restent demandeurs… si ont leur permet enfin d’accéder aux prêts : les "petits" biens partiront et par effet de dominos les biens plus grands.
Bien cordialement
Nous avons enfin réussi à vendre, du moins à signer un compromis de vente chez le notaire.
Historique :
Nous avons pris un prêt relais il y a 12 mois pile, et dans le stress depuis 6 mois avec la crise qui enfle...
L'appartement avait été estimé entre 200 et 210 k€ par 3 agences. Sur ce, la banque nous avance 100 k€ de relais, en plus d'un prêt classique, pour l'achat de notre petite maison mitoyenne avec un bout de jardin.
Le temps passe et les agences mangent de la poussière, plus rien ne se vend. Le problème vient du fait que la roue est complètement grippée. La chaine alimentaire est bloquée, mais comme nous sommes en bout de celle-ci ça devrait aller, je m'explique :
A ce jour, seuls les primo accédants ont la possibilité de financer un premier achat et compte tenu des taux, leur budget est plus que limité : entre 150 et 250 k€ (en moyenne) ils se limitent donc bien souvent a des biens en rapport et même comme ça, c'est loin d'être simple puisque les banques ont durci les critères d'obtention des prêts.
Tous ceux qui, comme moi, compte sur ce 1er achat pour pouvoir financer le suivant sont dans la même galère. Pour pouvoir vendre une maison ou un grand appartement bien placé, donc hors budget, il faut que les éventuels acheteurs aient eux-mêmes vendu leur bien actuel... d'où cette pénurie d'acquéreurs.
Nous avons donc réduit le nombre d'agences, je ne parle même pas de celles que nous avons vues que pour la signature du mandat (sic !). J'ai mis le bien sur 2 sites gratuits qui fonctionnent très bien : www.vivastreet.fr et www.leboncoin.fr, j'ai eu 90 % de mes visites par ce biai et contrairement à ce que cherchent à nous raconter les agences, leur plus value est meilleure en période faste, en ce moment les acheteurs cherchent à "gratter" le moindre euro et avec le net, tout le monde se débrouille de façon autonome.
Dans notre cas, en un an le prix est passé de 200 k€ à 169 k€ depuis 1 mois environ : et là, dû au prix psychologique probablement, j'ai eu 10 visites en une semaine, j'ai encore des appels mais je viens de retirer l'annonce.
Après un peu de négoce : 164 k€ et direction le notaire avec notre jeune couple de fonctionnaires.
Avec cette "dévisse" de 15% il nous reste à financer un trou de 18 000 € mais nous préférons encore cela à une année d'angoisse supplémentaire. Un prêt travaux "détourné" et l'aide de famille ici et là devraient nous permettre de respirer enfin.
Il est IMPERATIF que l'état mette la pression aux banques pour qu'elles redistribuent sous forme de prêts les sommes colossales qu'elles ont obtenu grâce à nous tous, nos impôts, nos économies et autres charges : nous sommes l'état !.
Les gens ne demandent pas l'aumône, ils demandent juste la possibilité de pouvoir vendre pour enfin avancer.
Et si certains se complaisent à prédire une période noire à venir, je n'y crois pas beaucoup, le marché va finir par se stabiliser, la chute sera maîtrisée, il y a bien trop d'intérêts en jeu pour les plus gros qui ont déjà laissé pas mal d'argent dans le gouffre de la bourse (loterie ?).
Astuces :
• Nous avons laissé l'appartement pleinement fonctionnel avec peu de meubles, peu de déco mais les armoires pleines et la cuisine prête à tourner : pas mal de visiteurs cherchent la faille : si le bien est vide = prêt relais = vous êtes pressé donc vulnérable en termes de négociation.
• J'ai lu beaucoup d'annonces sur la toile avec très peu de textes et de photos, pour ma part, beaucoup de détails et de mise en valeur qui donnent envie de venir voir, n'hésitez pas à retoucher votre texte plusieurs fois, à vous inspirer de ce qui est écrit par ailleurs.
• Il faut impérativement faire une étude de la concurrence avec les biens en vente dans votre secteur (et oui, je sais, c'est triste, mais c'est chacun pour sois). Mettez-vous dans la peau d'un acheteur qui recherche un bien dans votre fourchette de prix. Il est fort à parier qu'il visitera également les autres biens, autant mettre toutes les chances de votre côté en jouant sur le rapport prix-prestations.
• Ecoutez vos visiteurs, leurs attentes. Pour sortir du lot, je me suis débrouillé pour faire ressortir des qualités : surface, proximité écoles, type de chauffage, faibles charges, travaux déjà votés, des choses auxquelles ma cible est très sensible.
Je vous souhaite à toutes et tous beaucoup de courage et persévérance, ne baissez pas les bras... je ne doute pas que les choses vont finir par se débloquer et que les ventes vont repartir, les gens restent demandeurs… si ont leur permet enfin d’accéder aux prêts : les "petits" biens partiront et par effet de dominos les biens plus grands.
Bien cordialement
JE N EN SUIS QU AU DEBUT ET MA MAISON SUE J AI ACHETER VAUX TOUS COMPRIS FRAIS DE NOTAIRE AGENCE FRAIS FONCIER LES 2derniers mois car vous n ete pas encore dans votre maison pas encore signer qu il vous demande les impots fonciers des derniers mois nous avons signer le 15 octobre et mon pret relais commence ce mois çi et c est vrai je me fait du souci pour la revendre de celle çi pourtant c est une belle maison nous l avons baisser de 30 000 EURO ET SOMME PRES A NEGOCIER MOI JE VOUDRAI ETRE TRANQUILLE tres vite mais mon mari dit que nous avons un peu de temps devant nous qu en penser vous nous n avons aucun credit et avons prevu pour la vente de cette maison mais sa fond comme neige au soleil croyer vous que l on pourrai faire un pret pour liquider cette maison si vous avez une reponse dite la moi cordialement
rama972
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19 janvier 2009
3 nov. 2008 à 13:26
3 nov. 2008 à 13:26
D'accord avec vous Marcel77 ; nous y avons tous pensé même pour rigoler. Inutile de prendre un tel risque.
Moi je suis dans l'hérault et j'ai des appels mais à priori le prix retient les gens. Je ne peux tout de même pas la brader; c'est une maison neuve. J'avoue que je ne sais plus comment m'y prendre ; les agences ne se manifestent que lorsque je baisse le prix ; à part çà ils ne bougent pas.
Moi je suis dans l'hérault et j'ai des appels mais à priori le prix retient les gens. Je ne peux tout de même pas la brader; c'est une maison neuve. J'avoue que je ne sais plus comment m'y prendre ; les agences ne se manifestent que lorsque je baisse le prix ; à part çà ils ne bougent pas.
rama972
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19 janvier 2009
3 nov. 2008 à 13:40
3 nov. 2008 à 13:40
J'ai aussi baissé de 30 000 euros et lorsque les gens m appellent j'annonce un prix encore plus bas mais çà ne donne rien. J'ai jusqu'à fin janvier 2009 et je n'ai aucune nouvelle de ma banque malgré mes appels et mes courriers ; c'est à croire qu'elle attend le dernier moment pour bien me pièger.
rama972
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19 janvier 2009
3 nov. 2008 à 13:51
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Je finis par penser que ça les arrange.
rama972
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19 janvier 2009
4 nov. 2008 à 09:55
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Bonjour Caramel,
je viens de recevoir votre réponse et je voudrai savoir si vous avez fait cette démarche et si celà a marché.mon prêt relais arrive à terme en 01/2009 et je n'ai aucune réponse de ma banque. Merci.
je viens de recevoir votre réponse et je voudrai savoir si vous avez fait cette démarche et si celà a marché.mon prêt relais arrive à terme en 01/2009 et je n'ai aucune réponse de ma banque. Merci.
bonjour
je ne peu vous donner de nouvelles car moi je commence seulement mon pret relais c est le premier mois que je paie et j ai un an renouvlable un an j espere vendre bien avant ça j ai mis ma maison chez un notaire et deux agences pour l instant je ne n en plaint pas car elle me font de la bup mais j ai peur car chez acheter une auter a mois de juillet et n avait pas fait attention aux prix qui commencer a baisser j ai deja baisser de 30000euro en 4 mois je ne pourrai plus baisser de beaucoup en sachant que la maison que j ai racheter etait un peu moins cher que la mienne resultat elle devient plus cher je ne sais pas quoi faire j en deprime j ai bien eue du soutien de mohamed qui cest reconforter mais sa fait peur que dois je faire d apres vous merci de repondre
je ne peu vous donner de nouvelles car moi je commence seulement mon pret relais c est le premier mois que je paie et j ai un an renouvlable un an j espere vendre bien avant ça j ai mis ma maison chez un notaire et deux agences pour l instant je ne n en plaint pas car elle me font de la bup mais j ai peur car chez acheter une auter a mois de juillet et n avait pas fait attention aux prix qui commencer a baisser j ai deja baisser de 30000euro en 4 mois je ne pourrai plus baisser de beaucoup en sachant que la maison que j ai racheter etait un peu moins cher que la mienne resultat elle devient plus cher je ne sais pas quoi faire j en deprime j ai bien eue du soutien de mohamed qui cest reconforter mais sa fait peur que dois je faire d apres vous merci de repondre