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5 réponses
c'est votre emplyeur qui est responsable, car de par la loi, il vous doit la sécurité sur votre lieu de travail..... vous pouvez donc porter plainte contre votre employeur..... et les dégats physique ou phycologique ou les 2 sont considéré comme un accident du travail.... en gros si vous e^tes en arret de travail suite à cette agression qui est en réalité un accident du travail vous n'avez aucune perte de salaire et tout vos frais médicaux vont vous être rembourser à 100 % par la sécurité du travail, il suffit que vous cochiez sur la feuille de soin accident OUI...........
bonjour,
Je été victime d'une agression du mem type , mai par coup porter à répétition au niveau des cervical...cela date du moi de mars je eu une entorce cervical et deux mois d'arret
Il suffirait que votre ancien employeur reconnaisse que vos problèmes de cervicales viennent de cettre agression
subie au mois de mars
A ce moment là, faites vous faire une déclaration d'accident de travail tardive que vous présenterez à votre caisse. Normalement cela peut marcher à condition que votre employeur le reconnaisse
Je été victime d'une agression du mem type , mai par coup porter à répétition au niveau des cervical...cela date du moi de mars je eu une entorce cervical et deux mois d'arret
Il suffirait que votre ancien employeur reconnaisse que vos problèmes de cervicales viennent de cettre agression
subie au mois de mars
A ce moment là, faites vous faire une déclaration d'accident de travail tardive que vous présenterez à votre caisse. Normalement cela peut marcher à condition que votre employeur le reconnaisse
Bonjour Vanicuma,
Je ne savais pas trop comment faire poru vous répondre directement.
J'ai lu votre histoire avec grande attention et j'ai été touchée par celle-ci vu l'extrème violence dont vous avez été victime.
Concernant les blessures psychologiques, je sais trop qu'il est difficile de surmonter cela. Surtout dans votre cas, c'était une "amie" qui s'en est prise à vous. Dès lors, la confiance en l'autre devient compromise. Mais vous pouvez vous en sortir. Ce qui m'a aidé, c'est mon caractère, mais aussi me battre avec les outils qui m'étaient donné : la justice française. D'autre part, je souffre beaucoup dans les endroits très fréquentés. Je suis toujours sur mes gardes (surtout la nuit). Mais il se trouve que depuis peu, je fais des cours de self defense et cela m'aide beaucoup. Ca me donne beaucoup d'assurance. Depuis, mes malaises dans les endroits publics s'estompent petit à petit. Mais je crois que malgré nous, victime d'une tentative de meurtre, nous ne serons jamais "guéri" de ce mal.
Concernant la justice, je comprends votrre désaroi et votre sentiment d'abandon, surtout vous travailliez pour l'Etat, celui-là même qui vous laisse tomber aujourd'hui. La justice est compliquée et pas toujours très juste et pas toujours très efficace. Ce que je peux vous dire, c'est de vous rendre dans une maison de la justice. Ils pourront vous conseiller sur des avocats et sur les démarches à suivre. Mais il est vrai que votre situation est différente dans le sens où vous faisiez partie de l'Etat et que les faits ce sont passés dans un autre pays. Mais ne vous découragez pas et faites tout pour faire reconnaitre votre mal. C'est essentiel pour aller mieux, même s'il n'y a pas de procès. Et si vous le jugez indispensable, faites savoir au gouvernement votre situation. J'avais écrit aux différents gouvernement concernés et au président de la République. Bien entendu, ils ne peuvent rien faire.... Mais au moins, vous aurez essayé de vous battre jusqu'au bout. Avec toutes les preuves que vous semblez avoir, vous pourrez réussir mieux que moi.
Je vous souhaite beaucoup de courage et pense bien à vous.
Je ne savais pas trop comment faire poru vous répondre directement.
J'ai lu votre histoire avec grande attention et j'ai été touchée par celle-ci vu l'extrème violence dont vous avez été victime.
Concernant les blessures psychologiques, je sais trop qu'il est difficile de surmonter cela. Surtout dans votre cas, c'était une "amie" qui s'en est prise à vous. Dès lors, la confiance en l'autre devient compromise. Mais vous pouvez vous en sortir. Ce qui m'a aidé, c'est mon caractère, mais aussi me battre avec les outils qui m'étaient donné : la justice française. D'autre part, je souffre beaucoup dans les endroits très fréquentés. Je suis toujours sur mes gardes (surtout la nuit). Mais il se trouve que depuis peu, je fais des cours de self defense et cela m'aide beaucoup. Ca me donne beaucoup d'assurance. Depuis, mes malaises dans les endroits publics s'estompent petit à petit. Mais je crois que malgré nous, victime d'une tentative de meurtre, nous ne serons jamais "guéri" de ce mal.
Concernant la justice, je comprends votrre désaroi et votre sentiment d'abandon, surtout vous travailliez pour l'Etat, celui-là même qui vous laisse tomber aujourd'hui. La justice est compliquée et pas toujours très juste et pas toujours très efficace. Ce que je peux vous dire, c'est de vous rendre dans une maison de la justice. Ils pourront vous conseiller sur des avocats et sur les démarches à suivre. Mais il est vrai que votre situation est différente dans le sens où vous faisiez partie de l'Etat et que les faits ce sont passés dans un autre pays. Mais ne vous découragez pas et faites tout pour faire reconnaitre votre mal. C'est essentiel pour aller mieux, même s'il n'y a pas de procès. Et si vous le jugez indispensable, faites savoir au gouvernement votre situation. J'avais écrit aux différents gouvernement concernés et au président de la République. Bien entendu, ils ne peuvent rien faire.... Mais au moins, vous aurez essayé de vous battre jusqu'au bout. Avec toutes les preuves que vous semblez avoir, vous pourrez réussir mieux que moi.
Je vous souhaite beaucoup de courage et pense bien à vous.
bonjour effectivement le patient serat reconnu irresponsable mais si c eter sur votre lieu de travail cet votre employeur qui et responsable et cet lui qui prendrat en charge les indminisation a savoir aussi que nous avont la protection hospitaliere lois du 16 DECEMBRE 1983
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je été victime d'une agression du mem type , mai par coup porter à répétition au niveau des cervical...cela date du moi de mars je eu une entorce cervical et deux mois d'arret , suite à cela je fait des contracrure musculaire à répétition cela fait maintenan 8 MOI j'ai areter mon emplois en psychatrie , j'ai repris un nouvel enploi et je me retrouve encore dans la mem situation au niveau des douleurs . je n'ai jamais souhaiter porter plainte contre mon employeur mai aujourd'hui cela me suit dans mon quotidien et surtou pour travailler puisque je rechute à chaque fois que je fai des chose trop physique. J'aimerai des conseil et des renseignement sur les demarche à suivre .
Bonjour Alissa,
Je comprends vos douleurs physiques. J'ai des problèmes aux cervicales et au niveau de la colonne depuis l'agression. Je dois aller voire régulièrement un kiné pour cela.
Personnellement, j'ai porté plainte contre le malade qui m'a attaqué. Au niveau pénal, rien n'a été possible d'être fait puisqu'il a été déclaré irresponsable pénalement par le procureur à la suite du rapport de l'expert. Néanmoins, il reste le tribunal civil, qui est celui des dommages et intérêts. Pour ce tribunal, il sera forcément reconnu responsable. Même si je ne voulais pas d'argent mais une prise en charge de ce malade, je ne vais pouvoir obtenir que de l'argent et le tribunal civil reste ma seule solution pour faire comprendre à ce malade tout le mal qu'il m'a fait.
J'aurais pu porter plainte contre mon employeur. Vous pouvez encore le faire si le délai de prescription n'est pas passé. Il suffit d'aller porter plainte et eventuellement prendre un avocat qui vous guidera sur les deémarches juridiques. Celles-ci sont assez comliquées et je suis bien heureuse d'avoir pris une avocate. Ensuite, vous aller devoir passer une expertise médicale (analyse de votre état par un expert désigné par le juge) et en fonction de celle-ci, les charges contre votre employeur seront plus ou moins importantes. Vous avez peut être une chance d'aller au tribunal pénal et votre employeur sera peut-être obligé d'adapter ses locaux pour la sécurité des employés... Autrement ce sera le tribunal civil pour des indemnités.
Sachez tout de même que toutes ces procédures sont très longues et qu'on peut être décu par les décisions juridiques rendues. Néanmoins, si vous jugez qu'elles sont nécessaires pour votre santé physique et mentales, alors faites le. Vous pouvez consulter gratuitement des avocats dans les maisons de justice. Lors de cette permanence, vous lui exposez les faits de votre affaire, et c'est lui qui vous dira s'il est possible ou s'il est inutile d'aller au tribunal. Cela pourrait bien vous guider je pense.
Enfin, sachez que si vous vous lancez dans une bataille judiciare pour que votre mal soit reconnu, il existe des aides pour les frais de justice.
J'espère avoir pu vous éclairer. Je vous souhaite bon courage pour la suite car je sais comme il est difficile de surmonter cette épreuve.
Je comprends vos douleurs physiques. J'ai des problèmes aux cervicales et au niveau de la colonne depuis l'agression. Je dois aller voire régulièrement un kiné pour cela.
Personnellement, j'ai porté plainte contre le malade qui m'a attaqué. Au niveau pénal, rien n'a été possible d'être fait puisqu'il a été déclaré irresponsable pénalement par le procureur à la suite du rapport de l'expert. Néanmoins, il reste le tribunal civil, qui est celui des dommages et intérêts. Pour ce tribunal, il sera forcément reconnu responsable. Même si je ne voulais pas d'argent mais une prise en charge de ce malade, je ne vais pouvoir obtenir que de l'argent et le tribunal civil reste ma seule solution pour faire comprendre à ce malade tout le mal qu'il m'a fait.
J'aurais pu porter plainte contre mon employeur. Vous pouvez encore le faire si le délai de prescription n'est pas passé. Il suffit d'aller porter plainte et eventuellement prendre un avocat qui vous guidera sur les deémarches juridiques. Celles-ci sont assez comliquées et je suis bien heureuse d'avoir pris une avocate. Ensuite, vous aller devoir passer une expertise médicale (analyse de votre état par un expert désigné par le juge) et en fonction de celle-ci, les charges contre votre employeur seront plus ou moins importantes. Vous avez peut être une chance d'aller au tribunal pénal et votre employeur sera peut-être obligé d'adapter ses locaux pour la sécurité des employés... Autrement ce sera le tribunal civil pour des indemnités.
Sachez tout de même que toutes ces procédures sont très longues et qu'on peut être décu par les décisions juridiques rendues. Néanmoins, si vous jugez qu'elles sont nécessaires pour votre santé physique et mentales, alors faites le. Vous pouvez consulter gratuitement des avocats dans les maisons de justice. Lors de cette permanence, vous lui exposez les faits de votre affaire, et c'est lui qui vous dira s'il est possible ou s'il est inutile d'aller au tribunal. Cela pourrait bien vous guider je pense.
Enfin, sachez que si vous vous lancez dans une bataille judiciare pour que votre mal soit reconnu, il existe des aides pour les frais de justice.
J'espère avoir pu vous éclairer. Je vous souhaite bon courage pour la suite car je sais comme il est difficile de surmonter cette épreuve.
Bonjour,
Merci pour ses réponses , je pense effectivement aller consulter un avocat , cela fait 8 mois maintenant et je ne sait si le délait n'est pas dépassé.
Néanmoins je souhaite que mon mal soit reconnue et surtout que tout cela s'arete puisque actuellement je sui en incapacité de reprendre le travail et je vai devoir aller consulter un rhumathologue pour éviter toutes rechute éventuelle.
bonne journée et encore merci.
Merci pour ses réponses , je pense effectivement aller consulter un avocat , cela fait 8 mois maintenant et je ne sait si le délait n'est pas dépassé.
Néanmoins je souhaite que mon mal soit reconnue et surtout que tout cela s'arete puisque actuellement je sui en incapacité de reprendre le travail et je vai devoir aller consulter un rhumathologue pour éviter toutes rechute éventuelle.
bonne journée et encore merci.
Bonjour Alissa,
8 mois ce n'est pas trop tard. On parle d'un délai de 3 ans je crois pour porter plainte et engager des poursuites. Votre cas semble moins facile que le mien puisque si j'ai bien compris vous souhaitez porter plainte contre l'hôpital où vous travailliez au moment des faits et non pas contre le malade... J'imagine que celui-ci est public... Porter plainte contre une structure appartenant à l'Etat, ce n'est pas simple. Mais vous ne devez pas vous laisser faire. Je crois sincèrement, par expérience, qu'il est essentiel de se battre et de faire reconnaître ce qu'on a subi pour notre reconstruction. Même si les choses peuvent être difficiles et longues (j'attends toujours la réponse pour le référé d'expertise au tribunal civil et mon affaire a débuté en avril 2008 et selon mon avocate, le jugement ne sera pas prononcé avant l'été 2010...), il ne faut pas baisser les bras.
Une dernière chose. J'ai écrit aux différents ministères et à la présidence de la république pour leur signaler le problème de sécurité pour les malades, leur famille, et la société en général puisque les malades sont rendus à leur famille et libérés sans être complètement soignés et suivis médicalement. Si vous en ressentez le besoin, faites de même. Une personne qui était dans la profession et qui leur fait part de ces problèmes aura peut-être plus d'impact qu'une simple victime parmis tant d'autre....
Je vous souhaite bon courage pour toutes vos démarches et ne laissez pas tomber. Tenez moi informer de la suite vous concernant.
Séverine
8 mois ce n'est pas trop tard. On parle d'un délai de 3 ans je crois pour porter plainte et engager des poursuites. Votre cas semble moins facile que le mien puisque si j'ai bien compris vous souhaitez porter plainte contre l'hôpital où vous travailliez au moment des faits et non pas contre le malade... J'imagine que celui-ci est public... Porter plainte contre une structure appartenant à l'Etat, ce n'est pas simple. Mais vous ne devez pas vous laisser faire. Je crois sincèrement, par expérience, qu'il est essentiel de se battre et de faire reconnaître ce qu'on a subi pour notre reconstruction. Même si les choses peuvent être difficiles et longues (j'attends toujours la réponse pour le référé d'expertise au tribunal civil et mon affaire a débuté en avril 2008 et selon mon avocate, le jugement ne sera pas prononcé avant l'été 2010...), il ne faut pas baisser les bras.
Une dernière chose. J'ai écrit aux différents ministères et à la présidence de la république pour leur signaler le problème de sécurité pour les malades, leur famille, et la société en général puisque les malades sont rendus à leur famille et libérés sans être complètement soignés et suivis médicalement. Si vous en ressentez le besoin, faites de même. Une personne qui était dans la profession et qui leur fait part de ces problèmes aura peut-être plus d'impact qu'une simple victime parmis tant d'autre....
Je vous souhaite bon courage pour toutes vos démarches et ne laissez pas tomber. Tenez moi informer de la suite vous concernant.
Séverine
La législation juridique et financière évolue en permanence...
Je vous remercie pour votre réponse.
Je sais que mon employeur est en tort puisque nous ne sommes que des filles et il n'y avait aucune mesure de sécurité pour notre poste (alors que nous sommes veilleur de nuit aussi...). Mais je ne porterais pas plainte contre lui. Il a acheté de nouvelles choses pour sécuriser notre poste (bombe au poivre et boitier alarme directement relié à la gendarmerie). Mon agression aura au moins servie à ça...
Ce que je voudrais savoir, c'est plus pour mon agresseur. Après m'être renseignée sur les articles de loi, on ne peut pas juger pénalement un malade psychiatrique. D'autre part, que l'on porte plainte ou non contre eux, les investigations continuent d'être menées s'il est jugé dangeureux et que les faits sont assez graves. Moi qui ait peur des représailles, je me dis qu'il vaut mieux ne pas porter plainte... Est-ce-que j'ai tort?
Merci encore et bonne journée.