Modulation du temps de travail
Résolu
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12 réponses
Je suis pharmacien assistant et je fais toutes les gardes de la pharmacie, aussi bien à volets fermés qu'à volets ouverts.
Apparemment, un employé à temps partiel doit rémunéré à taux plein lors des gardes à volets fermés , et non plus à 25 %. Qu'en est-il exactement? Depuis quand ce texte prend-il effet; cela peut-il être rétroactif? Et les gardes à volets ouverts? Sont-elles payées et rémunérées?
Merci de me répondre!
Apparemment, un employé à temps partiel doit rémunéré à taux plein lors des gardes à volets fermés , et non plus à 25 %. Qu'en est-il exactement? Depuis quand ce texte prend-il effet; cela peut-il être rétroactif? Et les gardes à volets ouverts? Sont-elles payées et rémunérées?
Merci de me répondre!
Bonjour,
Je viens de découvrir ce forum et me permets d'y apporter mon grain de sel!
La réponse est peut être un peu tardive mais je pense qu'elle vaut son pesant d'or. En effet la convention autorise la modulation du temps de travail , ex 2X26 semaines, mais il faut que cette demande soit ratifiée par un délégué du personnel à défaut le personnel intéressé. D'autre part chaque fin de mois le bullettin de salaire doit être accompagné des heures exactes effectuées durant ladite periode. Mais le plus important est que cette demande soit motivée par l'activité et non le bienêtre de l'employeur. A vous de voir.
Surtout gardez tous les justificatifs et preuves. A un moment ou à un autre ça sert toujours.
Bon courage quand même
Je viens de découvrir ce forum et me permets d'y apporter mon grain de sel!
La réponse est peut être un peu tardive mais je pense qu'elle vaut son pesant d'or. En effet la convention autorise la modulation du temps de travail , ex 2X26 semaines, mais il faut que cette demande soit ratifiée par un délégué du personnel à défaut le personnel intéressé. D'autre part chaque fin de mois le bullettin de salaire doit être accompagné des heures exactes effectuées durant ladite periode. Mais le plus important est que cette demande soit motivée par l'activité et non le bienêtre de l'employeur. A vous de voir.
Surtout gardez tous les justificatifs et preuves. A un moment ou à un autre ça sert toujours.
Bon courage quand même
Bonjour à tous!
je suis moi aussi préparatrice et me pose des questions sur mes conditions de travail. Je ne trouve pas les infos sur des sites présentatns la convention collective donc je me permets de vous poser directement mes questions:
quelle est l'amplitude horaire maximale autorisée dans notre branche ?
quelle est la durée maximale de travail journaliere ?
quel est le temps de repos minimal entre 2 jours consécutifs de repos ?
quand nos horaires doivent ils nous etre donnés pour etre valables (une patronne qui vous donne vos horaires le matin en arrivant au travail, est ce bien légal ????)
D'avance merci de vos réponses!
Christelle
je suis moi aussi préparatrice et me pose des questions sur mes conditions de travail. Je ne trouve pas les infos sur des sites présentatns la convention collective donc je me permets de vous poser directement mes questions:
quelle est l'amplitude horaire maximale autorisée dans notre branche ?
quelle est la durée maximale de travail journaliere ?
quel est le temps de repos minimal entre 2 jours consécutifs de repos ?
quand nos horaires doivent ils nous etre donnés pour etre valables (une patronne qui vous donne vos horaires le matin en arrivant au travail, est ce bien légal ????)
D'avance merci de vos réponses!
Christelle
Marie,
J'ai abandonné le forum depuis l'édition de mon message. Je viens de recevoir ta réponse et en ai profité pour lire les messages précédents. Pratiquement tout ce qui est écrit est vrai, pour l'avoir vécu! Les titulaires sont pratiquement tous à 99.99% des tiroirs caisses qui font bosser leur personnel pour une poignée de cacahouètes!
En résumé il faut, à l'heure actuelle, prndre ce que l'on trouve et tout en travaillant continuer à chercher jusqu'à trouver "le bon". Garder tous les justificatifs et documents de changement de statuts en cours de contrat et très utile. Le jour ou il y a un litige il faut se méfier des prud'hommes!!! j'en ai fait l'amère expérience! Par contre faire ce que je n'ai pas fait et aurai dû faire: prendre un avocat d'une centrale syndicale, après y avoir adhéré, et en général les prud'hommes s'en méfient comme de la peste! Puis le résultat obtenu rien n'empêche de ne plus cotiser. C'est malheureux mais c'est comme cela qu'il faut agir avec les employeurs!
De toute façon je suis plus proche de la retraite que jamais, donc l'avenir derrière moi!
Bon courage
PHARMACIEN ADJOINT
J'ai abandonné le forum depuis l'édition de mon message. Je viens de recevoir ta réponse et en ai profité pour lire les messages précédents. Pratiquement tout ce qui est écrit est vrai, pour l'avoir vécu! Les titulaires sont pratiquement tous à 99.99% des tiroirs caisses qui font bosser leur personnel pour une poignée de cacahouètes!
En résumé il faut, à l'heure actuelle, prndre ce que l'on trouve et tout en travaillant continuer à chercher jusqu'à trouver "le bon". Garder tous les justificatifs et documents de changement de statuts en cours de contrat et très utile. Le jour ou il y a un litige il faut se méfier des prud'hommes!!! j'en ai fait l'amère expérience! Par contre faire ce que je n'ai pas fait et aurai dû faire: prendre un avocat d'une centrale syndicale, après y avoir adhéré, et en général les prud'hommes s'en méfient comme de la peste! Puis le résultat obtenu rien n'empêche de ne plus cotiser. C'est malheureux mais c'est comme cela qu'il faut agir avec les employeurs!
De toute façon je suis plus proche de la retraite que jamais, donc l'avenir derrière moi!
Bon courage
PHARMACIEN ADJOINT
Bonjour,
Beaucoup d'amertume dans tous ces posts.
Je suis moi même pharmacien titulaire et je puis vous assurer que même si certains de mes collègues sont des salopards, la plupart sont corrects. Au même titre qu'il m'est arrivé d'employer des personnes qui se sont avérées des plus abjectes en "piquant dans la caisse" ou en tirant au flanc du mieux possible, je bosse avec un noyau dur de collaborateurs (pharmacien et préparatrices) qui sont, et je leur fais confiance, prêts à beaucoup donner pour moi et pour lesquels j'ai beaucoup de gratitude.
L'humain n'est pas une boîte en carton avec une vignette blanche ou bleue. Il faut adapter son comportement aux gens que l'on côtoie et faire aussi la part des choses. Mes parents étaient de simples travailleurs, et somme toute, la qualité de travail des officinaux aujourd'hui (préparateurs ou pharmaciens) n'est en rien comparable au degré de pénibilité que j'ai pu constater durant mes jeunes années.
Plus regrettable, je me suis aperçu avec le temps que les salariés ne faisaient aucun cas des difficultés que pouvaient traverser l'entreprise dans laquelle ils travaillent. Pour donner un exemple, un titulaire actuellement en cours de remboursement qui se serait installé il y a 6 ans sur des prévisions de l'époque ne peut pas prétendre aujourd'hui gagner mieux sa vie qu'un pharmacien adjoint et pas pour 35h00 par semaine mais plutôt 45 ou 50 au minimum. De plus, les conditions conjoncturelles aussi bien fiscales que commerciales ont fait fondre les réserves financières des pharmacies d'officine même les plus protégées. Les grossistes essuient en ce moment plus d'impayés qu'ils n'en n'ont jamais rencontrés. C'est un bon marqueur de la dépression actuelle mais quel employé s'en soucie ???
Enfin, si vous vous trouvez en mal de considération de la part de votre employeur, sachez qu’il ne peut assurer le quotidien sans votre collaboration. Vous avez la chance dans notre branche de pouvoir effectuer des remplacements, des CDD bien payés, de changer aisément d’officine jusqu’à tomber sur quelqu’un avec qui vous vous entendrez mieux. Comme souvent dans la vie de chacun, rien ne bouge sans volonté ni prise de décision et parfois de risque, le pharmacien titulaire en est une bonne illustration mais n’oubliez pas que sans lui, vous n’auriez pas d’emploi. Larguez donc les employeurs indélicats et laissez les, eux et leur manque de respect, mais de grâce, ne mettez pas tout le monde dans le même sac et éviter de lancer à la vindicte populaire des affirmations à l’emporte pièce qui entretiennent un climat détestable.
Beaucoup d'amertume dans tous ces posts.
Je suis moi même pharmacien titulaire et je puis vous assurer que même si certains de mes collègues sont des salopards, la plupart sont corrects. Au même titre qu'il m'est arrivé d'employer des personnes qui se sont avérées des plus abjectes en "piquant dans la caisse" ou en tirant au flanc du mieux possible, je bosse avec un noyau dur de collaborateurs (pharmacien et préparatrices) qui sont, et je leur fais confiance, prêts à beaucoup donner pour moi et pour lesquels j'ai beaucoup de gratitude.
L'humain n'est pas une boîte en carton avec une vignette blanche ou bleue. Il faut adapter son comportement aux gens que l'on côtoie et faire aussi la part des choses. Mes parents étaient de simples travailleurs, et somme toute, la qualité de travail des officinaux aujourd'hui (préparateurs ou pharmaciens) n'est en rien comparable au degré de pénibilité que j'ai pu constater durant mes jeunes années.
Plus regrettable, je me suis aperçu avec le temps que les salariés ne faisaient aucun cas des difficultés que pouvaient traverser l'entreprise dans laquelle ils travaillent. Pour donner un exemple, un titulaire actuellement en cours de remboursement qui se serait installé il y a 6 ans sur des prévisions de l'époque ne peut pas prétendre aujourd'hui gagner mieux sa vie qu'un pharmacien adjoint et pas pour 35h00 par semaine mais plutôt 45 ou 50 au minimum. De plus, les conditions conjoncturelles aussi bien fiscales que commerciales ont fait fondre les réserves financières des pharmacies d'officine même les plus protégées. Les grossistes essuient en ce moment plus d'impayés qu'ils n'en n'ont jamais rencontrés. C'est un bon marqueur de la dépression actuelle mais quel employé s'en soucie ???
Enfin, si vous vous trouvez en mal de considération de la part de votre employeur, sachez qu’il ne peut assurer le quotidien sans votre collaboration. Vous avez la chance dans notre branche de pouvoir effectuer des remplacements, des CDD bien payés, de changer aisément d’officine jusqu’à tomber sur quelqu’un avec qui vous vous entendrez mieux. Comme souvent dans la vie de chacun, rien ne bouge sans volonté ni prise de décision et parfois de risque, le pharmacien titulaire en est une bonne illustration mais n’oubliez pas que sans lui, vous n’auriez pas d’emploi. Larguez donc les employeurs indélicats et laissez les, eux et leur manque de respect, mais de grâce, ne mettez pas tout le monde dans le même sac et éviter de lancer à la vindicte populaire des affirmations à l’emporte pièce qui entretiennent un climat détestable.
Bonjour Pharmacien Titulaire.
Je vois en effet de l'amertume dans certains messages ici présents. Mais j'y vois surtout des gens qui parlent de leur expérience particulière et bien peu de généralisation à tous les titulaires de quelque défaut que ce soit.
En revanche, il y a un point de ton intervention sur lequel je souhaite revenir : si un titulaire a acheté il y a 6 ans sur la foi des prévisionnels de l'époque sans imaginer que quand on emprunte sur 12 ans, les vents ont le temps de tourner, c'est effectivement son problème : si la conjoncture avait été meilleure que dans ses prévisionnels, il aurait engrangé les bénéfices. Ce n'est pas le cas, à lui d'engranger les pertes. Il me semble que les entrepreneurs justifient leurs revenus par leur prise de risque, non ? Quand on prend dces risques, par définition, il arrive qu'on perde. Et si quelques confrères naïfs ont acheté n'importe quoi à n'importe quel prix, ils en sont les seuls responsables : à eux de l'assumer. J'ajoute, pour tempérer leurs malheurs, que tandis qu'ils doivent se contenter de 500 ou 2000€ par mois pour vivre, ils continuent à capitaliser 40 000 à 150 000€ par an : il faut rester honnête. Alors quand les temps sont durs, il fut aussi parfois savoir dire stop, OK, j'ai été trop optimiste, trop gourmand et savoir céder la main, même si c'est au prix du renoncement aux rêves de plus-values extravagantes.
Le salarié, lui, ne peut prétendre à des revenus délirants quand les résultats sont mirobolants. La contre-partie, c'est la sécurité du salaire (à défaut de celle de l'emploi). Chacun est libre de choisir, mais personne n'a à faire porter aux autres les conséquences de ses propres choix personnels ou stratégiques.
Bonne réflexion.
Je vois en effet de l'amertume dans certains messages ici présents. Mais j'y vois surtout des gens qui parlent de leur expérience particulière et bien peu de généralisation à tous les titulaires de quelque défaut que ce soit.
En revanche, il y a un point de ton intervention sur lequel je souhaite revenir : si un titulaire a acheté il y a 6 ans sur la foi des prévisionnels de l'époque sans imaginer que quand on emprunte sur 12 ans, les vents ont le temps de tourner, c'est effectivement son problème : si la conjoncture avait été meilleure que dans ses prévisionnels, il aurait engrangé les bénéfices. Ce n'est pas le cas, à lui d'engranger les pertes. Il me semble que les entrepreneurs justifient leurs revenus par leur prise de risque, non ? Quand on prend dces risques, par définition, il arrive qu'on perde. Et si quelques confrères naïfs ont acheté n'importe quoi à n'importe quel prix, ils en sont les seuls responsables : à eux de l'assumer. J'ajoute, pour tempérer leurs malheurs, que tandis qu'ils doivent se contenter de 500 ou 2000€ par mois pour vivre, ils continuent à capitaliser 40 000 à 150 000€ par an : il faut rester honnête. Alors quand les temps sont durs, il fut aussi parfois savoir dire stop, OK, j'ai été trop optimiste, trop gourmand et savoir céder la main, même si c'est au prix du renoncement aux rêves de plus-values extravagantes.
Le salarié, lui, ne peut prétendre à des revenus délirants quand les résultats sont mirobolants. La contre-partie, c'est la sécurité du salaire (à défaut de celle de l'emploi). Chacun est libre de choisir, mais personne n'a à faire porter aux autres les conséquences de ses propres choix personnels ou stratégiques.
Bonne réflexion.
Bonjour à tous ,
j'ai lu vos commentaires , je voudrais vous raconter mon histoire
j'ai été diplômé en 2004 , à la suite de mon apprentissage mon employeur m'a proposé un CDI au salaire de 1200 euros , il était évident pour moi que j'aspirais à un meilleur salaire , j'ai donc mis toutes les chances de mon coté , je me suis occupée de faire tourner les produits dans les soldeurs , puis des caisses , puis j'ai été élu délégué du personnel ( nous étions 22 employés ),je me suis investie , mon salaire à augmenter mais pas assez à mon gout , j'ai donc mis toutes les chances de mon coté , j'ai cherché ailleurs, j'ai démissionné et fais un remplacement à l'hôpital puis j'ai trouvé un poste de préparatrice à 1500 euros net pour 35 heurs , à ce salaire là , je gérais toute la para et les commandes du groupement auquel adhérait la pharmacie , grâce à mon investissement au sein de cette pharmacie et aux contacts que j'ai eu avec les dirigeants du groupement , j'ai monté une société et j'ai pris une franchise au sein de ce fameux groupement pharmaceutique .comme quoi tout arrive !!! même les préparateurs montent des sociétés !!!!
mais je m'en suis donné les moyens!!!
si vous rester chez vos employeurs en sachant qu'ils ne vous considèrent pas ou qu'ils ne vous payent pas comme vous le méritez , CHANGER D'EMPLOYEUR!!!!
il ne faut pas mettre tous les pharmaciens dans le même panier , courage il en reste encore des gentils et des généreux !!!
et pour rejoindre le commentaire du pharmacien titulaire, je vous assure que les pharmaciens rencontrent vraiment des soucis financiers , reste plus ou moins protégé les discounteurs et ceux qui ont finis de payer leurs pharmacies.
j'ai lu vos commentaires , je voudrais vous raconter mon histoire
j'ai été diplômé en 2004 , à la suite de mon apprentissage mon employeur m'a proposé un CDI au salaire de 1200 euros , il était évident pour moi que j'aspirais à un meilleur salaire , j'ai donc mis toutes les chances de mon coté , je me suis occupée de faire tourner les produits dans les soldeurs , puis des caisses , puis j'ai été élu délégué du personnel ( nous étions 22 employés ),je me suis investie , mon salaire à augmenter mais pas assez à mon gout , j'ai donc mis toutes les chances de mon coté , j'ai cherché ailleurs, j'ai démissionné et fais un remplacement à l'hôpital puis j'ai trouvé un poste de préparatrice à 1500 euros net pour 35 heurs , à ce salaire là , je gérais toute la para et les commandes du groupement auquel adhérait la pharmacie , grâce à mon investissement au sein de cette pharmacie et aux contacts que j'ai eu avec les dirigeants du groupement , j'ai monté une société et j'ai pris une franchise au sein de ce fameux groupement pharmaceutique .comme quoi tout arrive !!! même les préparateurs montent des sociétés !!!!
mais je m'en suis donné les moyens!!!
si vous rester chez vos employeurs en sachant qu'ils ne vous considèrent pas ou qu'ils ne vous payent pas comme vous le méritez , CHANGER D'EMPLOYEUR!!!!
il ne faut pas mettre tous les pharmaciens dans le même panier , courage il en reste encore des gentils et des généreux !!!
et pour rejoindre le commentaire du pharmacien titulaire, je vous assure que les pharmaciens rencontrent vraiment des soucis financiers , reste plus ou moins protégé les discounteurs et ceux qui ont finis de payer leurs pharmacies.
bernymilly
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21 mars 2008 à 13:39
21 mars 2008 à 13:39
Oui, il vous faut absolument un avenant à votre contrat de travail, sans quoi, vous êtes tenu de travailler avec les anciens horaires, conformément à votre contrat de travail initial.
Même si votre CCN prévoit ce changement, il doit être impérativement confirmé par un avenant.
Même si votre CCN prévoit ce changement, il doit être impérativement confirmé par un avenant.
Merci pour la rapidité de votre réponse. J'aimerais cependant avoir une précision.
Mon contrat de travail précise le nombre d'heures hebdomadaires que je dois faire (37h à l'époque, 35h aujourd'hui).
Il ne précise pas, en revanche, leur répartition dans la semaine.
De plus, la convention collective de la pharmacie d'officine prévoit la possibilité de moduler le temps de travail après information du personnel.
Dans ce cas, le passage à la modulation du temps de travail nécessite-t-il aussi un avenant au contrat ?
Merci, si possible, de me citer les textes sur lesquels je pourrai m'appuyer si nécessaire.
Mon contrat de travail précise le nombre d'heures hebdomadaires que je dois faire (37h à l'époque, 35h aujourd'hui).
Il ne précise pas, en revanche, leur répartition dans la semaine.
De plus, la convention collective de la pharmacie d'officine prévoit la possibilité de moduler le temps de travail après information du personnel.
Dans ce cas, le passage à la modulation du temps de travail nécessite-t-il aussi un avenant au contrat ?
Merci, si possible, de me citer les textes sur lesquels je pourrai m'appuyer si nécessaire.
bonjour,
je travaille dans l'animation et je suis également en contrat de modulation. cet été j'ai prit un congé sans solde d'un mois, et de ce fait mon employeur a modifié mon tableau de mes heures pour m'en rajouté sur la deuxieme periode, a savoir de juillet a decembre car il me dit que du coup, avec le mois de juillet a zero heure, l'annualisation n'est pas bonne...
la question que je me pose est pourquoi dois je rattrapé des heures alors qu'elles ne m'ont pas été payé, a t'il raison dans son raisonnement?
merci d'avance
gregoire
je travaille dans l'animation et je suis également en contrat de modulation. cet été j'ai prit un congé sans solde d'un mois, et de ce fait mon employeur a modifié mon tableau de mes heures pour m'en rajouté sur la deuxieme periode, a savoir de juillet a decembre car il me dit que du coup, avec le mois de juillet a zero heure, l'annualisation n'est pas bonne...
la question que je me pose est pourquoi dois je rattrapé des heures alors qu'elles ne m'ont pas été payé, a t'il raison dans son raisonnement?
merci d'avance
gregoire
Grégoire, d'une manière ou d'une autre, toutes les heures que tu effectues doivent être payées.
Si tu es annualisé, tu dois effectuer environ 1600 heures par an (c'est une approximation à une vingtaine d'heures près, ça dépend des conventions collectives et du nombre de jours fériés ouvrables dans l'année).
Si ton mois de congé sans solde ne t'a pas été payé, tu dois retirer de ces 1600 heures le nombre d'heures que tu aurais dû effectuer pendant ce mois-là soit, grosso modo, 150 heures (à voir avec un comptable pour les modalités de calcul). Sinon, si ton employeur te fait malgré tout faire tes 1600 heures dans l'année, tu dois récupérer le salaire qui ne t'a pas été versé. Evidemment.
Si tu es annualisé, tu dois effectuer environ 1600 heures par an (c'est une approximation à une vingtaine d'heures près, ça dépend des conventions collectives et du nombre de jours fériés ouvrables dans l'année).
Si ton mois de congé sans solde ne t'a pas été payé, tu dois retirer de ces 1600 heures le nombre d'heures que tu aurais dû effectuer pendant ce mois-là soit, grosso modo, 150 heures (à voir avec un comptable pour les modalités de calcul). Sinon, si ton employeur te fait malgré tout faire tes 1600 heures dans l'année, tu dois récupérer le salaire qui ne t'a pas été versé. Evidemment.
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je ne suis "que" preparatrice en pharmacie et je vis dans un monde devenu fric on debauche a tous vents modulation du temps avec 1/2h de stop parfois a 13H30 parfois a 14H en demarrant a 8H30 et fermant a 20H nous sommes prevenus comme ca sans lettre sans respect sans reconnaisssance du travail effectue sans paiement d'heures supplementaires sans autorisation de s'assoir sous videosurveillance moderne interieur qu'il yest vestiaire ou pas videosurveillance exterieur sans declaration legale puisque la prefecture des AM est horrifie plus d'eau chaude plus de preparatoire imaginez les conditions d'hygiene et la qualite de service rendu aux clients quand il y a delivrance d'appareillage !je suis dans une officine de petit quartier ()qui etait tres famiale tous m'ont vue naitre )depuis 27 ans et maintenant je vis l'inhumatite alors je me suis syndiquee ou je quitte le navire dieu sait que j'adorais mon metier jusqu'a ne pas valider mes TP pharma pour ne pas quitter cetteofficine la maintenant je ne suis plus rien et rien c'est encore beaucoup!!!fautil etre malhonnete pour reussir?
Tes arguments sont tout à fait recevables. Ils doivent aussi être nuancés par certains aspects.
Personne ne demande de faire supporter de mauvais choix du titulaire à l’équipe entière néanmoins, la vie de l'entreprise devrait concerner chacun de ses acteurs quelque soit son grade, sa qualification... et trop de distance est mise entre le salarié et la réalité économique bassement concrète. Ceci est un fait aux causes partagées entre l'employeur et son employé. Je dois bien avouer que pendant mes années d'assistanat j'ai fais évidement preuve d'investissement de forme (en temps, mise en place de techniques informatiques pour les commandes, élaboration d'un système de gestion des stups et autres) mais pas sur le fond financier de l’officine de ma patronne d'alors. Cela est bien dommage. Peut être aurais je du à l’époque me faire valoir sur ce plan précis. Je pense que tout le monde aurait eu à y gagner.
Aujourd'hui quel collaborateur du pharmacien titulaire donne son avis sur un prix, sur une exposition ou sur un positionnement de telle ou telle gamme ????? Qui accepte de libérer son sacro-saint mercredi pour éviter d’embaucher un couteux intérimaire et ce sans demander de compensations absolument délirantes ??? Certes ils en existent… mais ils ne sont pas légion.
Sur le plan des profits et des pertes du titulaire preneur de risques, il faut bien intégrer un élément à la réflexion. Les sommes mises en jeu pour l’achat d’une officine sont colossales et il est très réducteur de limiter sa pensée à « Il a joué. Il a perdu. Tant pis pour lui ». Quand bien même certaines affaire ne devraient pas être achetées à certains prix, depuis quelques mois la réalité touche des officines jusqu’à il y a peu pérennes et dans certains centres de grandes agglomérations, les officines ferment. Perte pour le titulaire certes, mais ou est le gain pour le salarié dénigrant ? Quel collaborateur a entendu parler du projet de l’Etat de faire éteindre 5000 licences d’officine en France et surtout lequel d’entre eux s’est senti impacté par ces pessimistes prévisions ?
Loin de moi le désir de fustiger telle ou telle personne en particulier. Je trouve simplement dommage de faire de son cas particulier une généralité par définition réductrice et porteuse de médisances qui en plus de porter atteinte à la grande majorité, ne reflète pas la réalité et n’est pas constructif.
Je vais être dans les mois qui viennent à la recherche de collaborateurs et j’affirme aujourd’hui que le salaire et l’emploi du temps ne sont qu’une partie de la relation employeur/salarié et ce surtout en officine. Cette position me fait redouter le pire en terme de recrutement car souvent, quand cette relation s’ouvre sur des horizons un peu plus larges sur un plan horaire, de responsabilités, de salaire, l’affectif est sérieusement rudoyé en cas d’accroc et chacun perd un peu de son âme dans des prises de positions radicales même si parfois il s’agit d’un moyen de se préserver.
Au-delà de la réflexion, les actes.
Personne ne demande de faire supporter de mauvais choix du titulaire à l’équipe entière néanmoins, la vie de l'entreprise devrait concerner chacun de ses acteurs quelque soit son grade, sa qualification... et trop de distance est mise entre le salarié et la réalité économique bassement concrète. Ceci est un fait aux causes partagées entre l'employeur et son employé. Je dois bien avouer que pendant mes années d'assistanat j'ai fais évidement preuve d'investissement de forme (en temps, mise en place de techniques informatiques pour les commandes, élaboration d'un système de gestion des stups et autres) mais pas sur le fond financier de l’officine de ma patronne d'alors. Cela est bien dommage. Peut être aurais je du à l’époque me faire valoir sur ce plan précis. Je pense que tout le monde aurait eu à y gagner.
Aujourd'hui quel collaborateur du pharmacien titulaire donne son avis sur un prix, sur une exposition ou sur un positionnement de telle ou telle gamme ????? Qui accepte de libérer son sacro-saint mercredi pour éviter d’embaucher un couteux intérimaire et ce sans demander de compensations absolument délirantes ??? Certes ils en existent… mais ils ne sont pas légion.
Sur le plan des profits et des pertes du titulaire preneur de risques, il faut bien intégrer un élément à la réflexion. Les sommes mises en jeu pour l’achat d’une officine sont colossales et il est très réducteur de limiter sa pensée à « Il a joué. Il a perdu. Tant pis pour lui ». Quand bien même certaines affaire ne devraient pas être achetées à certains prix, depuis quelques mois la réalité touche des officines jusqu’à il y a peu pérennes et dans certains centres de grandes agglomérations, les officines ferment. Perte pour le titulaire certes, mais ou est le gain pour le salarié dénigrant ? Quel collaborateur a entendu parler du projet de l’Etat de faire éteindre 5000 licences d’officine en France et surtout lequel d’entre eux s’est senti impacté par ces pessimistes prévisions ?
Loin de moi le désir de fustiger telle ou telle personne en particulier. Je trouve simplement dommage de faire de son cas particulier une généralité par définition réductrice et porteuse de médisances qui en plus de porter atteinte à la grande majorité, ne reflète pas la réalité et n’est pas constructif.
Je vais être dans les mois qui viennent à la recherche de collaborateurs et j’affirme aujourd’hui que le salaire et l’emploi du temps ne sont qu’une partie de la relation employeur/salarié et ce surtout en officine. Cette position me fait redouter le pire en terme de recrutement car souvent, quand cette relation s’ouvre sur des horizons un peu plus larges sur un plan horaire, de responsabilités, de salaire, l’affectif est sérieusement rudoyé en cas d’accroc et chacun perd un peu de son âme dans des prises de positions radicales même si parfois il s’agit d’un moyen de se préserver.
Au-delà de la réflexion, les actes.
Les deux derniers posts sont interessants et ont confirmé mon jugement titulaire -adjoint ..
De mon experience de pharmacien adjoint depuis 23 ans je constate que cela ne fait qu'un an que le plan de carriere d'un adjoint n'est plus assujetti au bon vouloir du titulaire en ce sens que la grille salariale evolue enfin vers le coefficient 500 dans les premiéres années compte tenu de l'expérience : tant mieux pour les jeunes collégues ....
Dans le sud le coefficient 400 fait légion .apres 18 cela a été mon cas mon cas jusqu'à la signature il y a un an avec les syndicats patronaux et le cas de beaucoup de collegues . on paye le soleil ...
Je ne connais pas autour de moi de titulaire qui vive mal ;j'habite dans une grande ville et mon patron va reguliérement faire des 'raids en 4.4 quand cela lui convient et je suis tenue de le remplacer ..
Je m'investissais au début croyant en etre récompensée ..mais lorsque j'ai demandé des augmentations ...rien ! alors messieurs les titulaires ceci explique peut etre cela ...
Je me fous effectivement actuellemet de " facing " de la gamme "machin " ou du prix de tel produit ..Je m'investis pour les malades en n'hesitant pas à porter les medicaments apres mes heures de travail ou en passant du temps à expliquer a un dame agée etc etc ...et ils me le rendent bien ..
voilà ..
De mon experience de pharmacien adjoint depuis 23 ans je constate que cela ne fait qu'un an que le plan de carriere d'un adjoint n'est plus assujetti au bon vouloir du titulaire en ce sens que la grille salariale evolue enfin vers le coefficient 500 dans les premiéres années compte tenu de l'expérience : tant mieux pour les jeunes collégues ....
Dans le sud le coefficient 400 fait légion .apres 18 cela a été mon cas mon cas jusqu'à la signature il y a un an avec les syndicats patronaux et le cas de beaucoup de collegues . on paye le soleil ...
Je ne connais pas autour de moi de titulaire qui vive mal ;j'habite dans une grande ville et mon patron va reguliérement faire des 'raids en 4.4 quand cela lui convient et je suis tenue de le remplacer ..
Je m'investissais au début croyant en etre récompensée ..mais lorsque j'ai demandé des augmentations ...rien ! alors messieurs les titulaires ceci explique peut etre cela ...
Je me fous effectivement actuellemet de " facing " de la gamme "machin " ou du prix de tel produit ..Je m'investis pour les malades en n'hesitant pas à porter les medicaments apres mes heures de travail ou en passant du temps à expliquer a un dame agée etc etc ...et ils me le rendent bien ..
voilà ..
J'apporte mon grain de sel au témoignage précédent; en effet en tant que pharmacien adjoint il faut surtout bien négocier son coefficient au départ car il est illusoire de se voir octroyer après quelque augmentation , même en s'investissant et en prenant des responsabilités.
Heureusement que la modification de la grille salariale est intervenue il y a presque 2 ans,car sinon on pouvait très bien rester à 400 toute sa vie!
Encore faut-il patienter 6 ans pour atteindre 500, un vrai scandale...
Il faut dire que les titulaires des régions recherchées (sud, bord de mer , villes universitaires, etc) auraient bien tort de se priver , c'est la loi de l'offre et de la demande !
J'ai appris que certains adjoints acceptaient même des postes de préparateurs ,faute de postes dans leur régions.
Ce que je trouve inconcevable c'est que des titulaires trouvent normal de payer leurs collaborateurs aussi peu, alors que nous avons, titulaires et adjoints, le même diplôme!
Et quand on demande une augmentation,alors c'est le coeur des pleureuses, les impots, les grands conditionnements, les travaux, la baisse des marges, que sais-je encore...
Alors que tout ce beau monde s'octroie dix semaines de vacances par an, ne travaille pas plus de 20 heures par semaine, joue au golf et roule en 4x4..
Heureusement que la modification de la grille salariale est intervenue il y a presque 2 ans,car sinon on pouvait très bien rester à 400 toute sa vie!
Encore faut-il patienter 6 ans pour atteindre 500, un vrai scandale...
Il faut dire que les titulaires des régions recherchées (sud, bord de mer , villes universitaires, etc) auraient bien tort de se priver , c'est la loi de l'offre et de la demande !
J'ai appris que certains adjoints acceptaient même des postes de préparateurs ,faute de postes dans leur régions.
Ce que je trouve inconcevable c'est que des titulaires trouvent normal de payer leurs collaborateurs aussi peu, alors que nous avons, titulaires et adjoints, le même diplôme!
Et quand on demande une augmentation,alors c'est le coeur des pleureuses, les impots, les grands conditionnements, les travaux, la baisse des marges, que sais-je encore...
Alors que tout ce beau monde s'octroie dix semaines de vacances par an, ne travaille pas plus de 20 heures par semaine, joue au golf et roule en 4x4..
Chers confrères assistants,
Je viens de lire vos témoignages. Je ne peux que rejoindre votre déception.
Moi même, j'ai été embauché par un tiroir caisse qui me prend pour une roue de secours.
Au lieu de récompenser mon sérieux par une flexibilité des horaires et un salaire convenable (mon
assistante maternelle gagne en net plus que moi), je n'ai aucune gratification.
Je ne parle même pas de mes collaborateurs préparateurs qui ont des salaires inavouables.
J'ai l'impression d'évoluer dans une profession poussiéreuse.. J'ai pris la décision avec mon épouse
de changer de branche.
Les titulaires, face à l'écœurement de leurs "confrères" (si nous méritons cette appellation) devront bientôt
faire leur deuil des gens sérieux et tenir leur officine tout seuls avant de se faire croquer un jour par les fonds
d'investissement!
Je viens de lire vos témoignages. Je ne peux que rejoindre votre déception.
Moi même, j'ai été embauché par un tiroir caisse qui me prend pour une roue de secours.
Au lieu de récompenser mon sérieux par une flexibilité des horaires et un salaire convenable (mon
assistante maternelle gagne en net plus que moi), je n'ai aucune gratification.
Je ne parle même pas de mes collaborateurs préparateurs qui ont des salaires inavouables.
J'ai l'impression d'évoluer dans une profession poussiéreuse.. J'ai pris la décision avec mon épouse
de changer de branche.
Les titulaires, face à l'écœurement de leurs "confrères" (si nous méritons cette appellation) devront bientôt
faire leur deuil des gens sérieux et tenir leur officine tout seuls avant de se faire croquer un jour par les fonds
d'investissement!
peut-on refuser de faire les gardes du dimanche à volets ouverts ou celle des jours fériés en tant que préparateur meme si l'on est accompagné d'un pharmacien? on nous demande gentiment de faire les gardes et ceci sans rétribution supplémentaire pendant le jour dominical, qui se lève le dimanche matin pour etre payé 9 EUROS de l'heure? ce boulot me degoute...
je ne crois pas que l'on puisse refuser cependant notre convention collective nous indique .Quand je fais des gardes j'ai reclame deux jours de repos en suivant autrement mon boss atoujours une bonne raison pour ne pas me les donner ni payer!...comme les heure supp d'ailleurs!Au journal officiel sort n nouveau bareme des coefficients !moi aussi ce boulot me degoute que le fric que le "dite "rentabite !nous travaillons de 27h a 43H par semaine ,on de bauche un max, le boss est rarement la par contre on est sursurveille par des cameras rotatives dans salle de vente dans vestiaire dehors ,non declarees aupres de la prefecture de Nice!!! on travaille dans des conditions lamentables!!! et personne ne dit rien!!! l 'inspection du travail ,la prefecture,etc...l'esclavage moderne est bien vivant !seule la medecine du travail nous defend .En 28 ans de carrierre je n'ai jamais vecu tel taumatisme pscho que faire bon courage a toi!
qui se lêve à 9h le dimanche pour être payé 9euro ? ooooh pauvre chou T_T bha y a pas mal de monde qui travaille le jour du seigneur, je suis cuistot je commence à 8h (alors que j'ai fini la veille à 2h) je suis payé 8,64 euro de l'heure, alors sérieusement arrêtez de vous croire malheureux :/ pis si ça vous plait pas bha faites autre choses ...
Bonjour
Ma question est: Es ce qu'il y a un débauché pour être pharmacienne ou préparatrice en pharmacie?
Merci de répondre à mon message.
Ma question est: Es ce qu'il y a un débauché pour être pharmacienne ou préparatrice en pharmacie?
Merci de répondre à mon message.
bonjours je suis embaucher a temps partiel dans une entreprise. Cependant une personne est arrivée aprés moi et a ete embaucher a 35h. j'ai contacté l'inspection du travail qui m'ont dit que j'était prioritaire pour les 35h et qu'il ete anormal que la personne qui vient d'arriver soit a 35h!Il me demande donc de faire une lettre en recommander a mon directeur qui dit que je suis prioritaire mais je ne sait pas comment écrire cette lettre! aidez moi s'il vous plait c'est trés urgent!
bernymilly
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31 mars 2008 à 21:24
31 mars 2008 à 21:24
Même si votre convention collective prévoit "LA POSSIBILITE" de moduler le contrat, il faut que cette modulation soit mentionnée dans un avenant.
Toutes modifications d'un contrat de travail, doit faire l'objet d'un avenant au contrat intialement prévue.
Veuilez vous référencer au code du travail ou à votre convention collective, ou alors recherchez dans google "avenant au contrat de travail, vous y trouverez votre réponse.
Toutes modifications d'un contrat de travail, doit faire l'objet d'un avenant au contrat intialement prévue.
Veuilez vous référencer au code du travail ou à votre convention collective, ou alors recherchez dans google "avenant au contrat de travail, vous y trouverez votre réponse.