Donation d'usufruit à tierce personne après donation-partage
Jac
-
11 déc. 2017 à 22:56
condorcet Messages postés 39501 Date d'inscription jeudi 11 février 2010 Statut Membre Dernière intervention 21 juin 2023 - 12 déc. 2017 à 10:13
condorcet Messages postés 39501 Date d'inscription jeudi 11 février 2010 Statut Membre Dernière intervention 21 juin 2023 - 12 déc. 2017 à 10:13
A voir également:
- Donation d'usufruit à tierce personne après donation-partage
- Donation déguisée prescription - Guide
- Donation - Accueil - Actualité juridique et financière
- Abattement 150 000 euros donation date - Guide
- Vente après donation partage plus-value - Guide
- Donation entre époux tarif - Guide
1 réponse
condorcet
Messages postés
39501
Date d'inscription
jeudi 11 février 2010
Statut
Membre
Dernière intervention
21 juin 2023
18 288
12 déc. 2017 à 10:13
12 déc. 2017 à 10:13
Mais a-t-il encore possibilité de lui réserver l'usufruit postérieurement à cette donation ?
Bien sûr.
Il est toujours "propriétaire" de ses droits en usufruit.
Il peut en disposer librement jusqu'à la fin de ses jours.
Cette "consolidation", dont vous faites état sans la désigner, s'opérerait à votre profit si l'usufruitier était encore détenteur de son usufruit au moment de son décès.
Il est remarié en séparation de biens et dans sa donation n'a pas réservé l'usufruit à sa femme.
S'il avait souhaité transmettre l'usufruit à son conjoint, il lui aurait suffi de prévoir une clause de "réversion" de ses droits au bénéfice de son conjoint.
Il est fort improbable qu'il le fasse maintenant.
Bien sûr.
Il est toujours "propriétaire" de ses droits en usufruit.
Il peut en disposer librement jusqu'à la fin de ses jours.
Cette "consolidation", dont vous faites état sans la désigner, s'opérerait à votre profit si l'usufruitier était encore détenteur de son usufruit au moment de son décès.
Il est remarié en séparation de biens et dans sa donation n'a pas réservé l'usufruit à sa femme.
S'il avait souhaité transmettre l'usufruit à son conjoint, il lui aurait suffi de prévoir une clause de "réversion" de ses droits au bénéfice de son conjoint.
Il est fort improbable qu'il le fasse maintenant.