Assistante en Cdd pour congé maternité
Ninilopi
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Ninilopi Messages postés 3 Date d'inscription samedi 12 novembre 2016 Statut Membre Dernière intervention 21 juillet 2017 - 17 nov. 2016 à 18:05
Ninilopi Messages postés 3 Date d'inscription samedi 12 novembre 2016 Statut Membre Dernière intervention 21 juillet 2017 - 17 nov. 2016 à 18:05
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3 réponses
Donc je n'ai pas signé cette lettre mais y ai mentionné : pas de contrat - pas dd démission et rupture à son initiative.
et cela va servir à quoi ? vous en avez une copie ?
sans contrat de travail vous êtes d'office en cdi !
elle ne peut pas vous considérer démissionnaire si vous ne faites pas un courrier en ce sens
mais si vous êtes partie sans autorisation écrite, j'ai bien peur que vous soyez maintenant en abandon de poste !
et cela va servir à quoi ? vous en avez une copie ?
sans contrat de travail vous êtes d'office en cdi !
elle ne peut pas vous considérer démissionnaire si vous ne faites pas un courrier en ce sens
mais si vous êtes partie sans autorisation écrite, j'ai bien peur que vous soyez maintenant en abandon de poste !
Ninilopi
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21 juillet 2017
12 nov. 2016 à 09:01
12 nov. 2016 à 09:01
Elle m'à remis une lettre me demandant de la contresigner et d'y indiquer que j'ai pris acte de la rupture de mon contrat.
Cette lettre disait qu'elle prenait acte de la fin de CDD au 10 novembre alors que c'est elle qui a arrêté et cette date et que j'étais dispensée de travailler ce jour là.
Je ss allée chez le médecin qui m'à aussitôt arrêtée jusqu'au 30 novembre compte tenu de la violence elle m'à demandé de quitter les lieux.
Par la suite alors que j'ai refusé de signer cette lettre elle m'à l'à renvoyée par mail.
Je lui ai répondu immédiatement quil ne s'agit pas d'une prise d'acte au sens juridique du terme mais de sa volonté de me voir partir le 10, mettant fin à mon cdd. A aucun moment je n'ai parle de démission mais d'une volonté de ne pas renouveler mon cdd au terme du congé de maternité laquelle ma telle indiqué qu'elle fait encore partie de ses effectifs. Je vous informe que cette dernière était en temps complets et moi à temps partiel sans contrat.
Cette lettre disait qu'elle prenait acte de la fin de CDD au 10 novembre alors que c'est elle qui a arrêté et cette date et que j'étais dispensée de travailler ce jour là.
Je ss allée chez le médecin qui m'à aussitôt arrêtée jusqu'au 30 novembre compte tenu de la violence elle m'à demandé de quitter les lieux.
Par la suite alors que j'ai refusé de signer cette lettre elle m'à l'à renvoyée par mail.
Je lui ai répondu immédiatement quil ne s'agit pas d'une prise d'acte au sens juridique du terme mais de sa volonté de me voir partir le 10, mettant fin à mon cdd. A aucun moment je n'ai parle de démission mais d'une volonté de ne pas renouveler mon cdd au terme du congé de maternité laquelle ma telle indiqué qu'elle fait encore partie de ses effectifs. Je vous informe que cette dernière était en temps complets et moi à temps partiel sans contrat.
Voila copie de son texte
http://img4.hostingpics.net/pics/770411texte.png
ainsi que ma réponse. J'espère que vous arriverez à voir le texte.
Ma réponse :
Madame,
Je fais suite à votre courrier déposé ce jeudi 10 novembre 2016 au matin sur mon bureau, par lequel vous m’indiquez prendre « bonne note de la prise d’acte de la rupture de mon contrat de travail » en suite de mon mail du 9 novembre 2016.
Lors de mon arrivée, vous m’avez demandé de signer ce courrier, de vous rendre immédiatement les clés du cabinet, et de partir, me menaçant de faire intervenir la police.
J’ai quitté le cabinet, et particulièrement choquée par la violence de votre comportement, j’ai été contrainte de me rendre chez mon médecin traitant lequel m’a prescrit un arrêt de travail jusqu’au 30 novembre 2016.
Mon mail du 9 novembre 2016 s’inscrit dans la suite des nombreux échanges intervenus entre nous, ayant commencé par votre mail du 4 novembre 2016, par lequel vous m’indiquiez que mon contrat de travail à durée déterminée prendrait fin le 10 novembre 2016 avec remise de l’ensemble de mes documents de fin de contrat de travail et règlement de mes droits.
Mon mail du 9 novembre 2016 n’avait pour but que de vous confirmer que j’avais pris acte de votre volonté de rompre mon CDD au 10 novembre 2016 en ces termes littéralement retranscrits « conformément à votre souhait de mon voir partir le 10, je prends acte de la rupture de mon CDD à votre initiative et à cette date ».
Contrairement à ce que votre courrier de ce jour mentionne, avec une particulière mauvaise foi, il ne s’agit en aucun cas d’une prise d’acte de rupture de ma part au sens juridique du terme, mais du fait d’acter votre volonté de me voir cesser toute activité au sein du cabinet à compter du 10 novembre 2016.
De même, il ne s’agit pas d'une démission, dont il n’a jamais été question.
Les termes de mon mail du 9 novembre 2016 sont extrêmement clairs, et vous ne pouvez vous servir de vos manquements successifs pour vous exonérer du paiement de mes droits.
Je prends acte que vous considérez que je ne fais plus partie des effectifs à compter de ce jour (jeudi 10 novembre en fin de journée avec dispense d’activité pour la journée) et que je recevrai mes documents de fin de contrat de travail dans les prochains jours à mon domicile.
Il s’agit d’une rupture de mon contrat de travail en dehors de tout cadre légal et en violation de mes droits.
Veuillez agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.
http://img4.hostingpics.net/pics/770411texte.png
ainsi que ma réponse. J'espère que vous arriverez à voir le texte.
Ma réponse :
Madame,
Je fais suite à votre courrier déposé ce jeudi 10 novembre 2016 au matin sur mon bureau, par lequel vous m’indiquez prendre « bonne note de la prise d’acte de la rupture de mon contrat de travail » en suite de mon mail du 9 novembre 2016.
Lors de mon arrivée, vous m’avez demandé de signer ce courrier, de vous rendre immédiatement les clés du cabinet, et de partir, me menaçant de faire intervenir la police.
J’ai quitté le cabinet, et particulièrement choquée par la violence de votre comportement, j’ai été contrainte de me rendre chez mon médecin traitant lequel m’a prescrit un arrêt de travail jusqu’au 30 novembre 2016.
Mon mail du 9 novembre 2016 s’inscrit dans la suite des nombreux échanges intervenus entre nous, ayant commencé par votre mail du 4 novembre 2016, par lequel vous m’indiquiez que mon contrat de travail à durée déterminée prendrait fin le 10 novembre 2016 avec remise de l’ensemble de mes documents de fin de contrat de travail et règlement de mes droits.
Mon mail du 9 novembre 2016 n’avait pour but que de vous confirmer que j’avais pris acte de votre volonté de rompre mon CDD au 10 novembre 2016 en ces termes littéralement retranscrits « conformément à votre souhait de mon voir partir le 10, je prends acte de la rupture de mon CDD à votre initiative et à cette date ».
Contrairement à ce que votre courrier de ce jour mentionne, avec une particulière mauvaise foi, il ne s’agit en aucun cas d’une prise d’acte de rupture de ma part au sens juridique du terme, mais du fait d’acter votre volonté de me voir cesser toute activité au sein du cabinet à compter du 10 novembre 2016.
De même, il ne s’agit pas d'une démission, dont il n’a jamais été question.
Les termes de mon mail du 9 novembre 2016 sont extrêmement clairs, et vous ne pouvez vous servir de vos manquements successifs pour vous exonérer du paiement de mes droits.
Je prends acte que vous considérez que je ne fais plus partie des effectifs à compter de ce jour (jeudi 10 novembre en fin de journée avec dispense d’activité pour la journée) et que je recevrai mes documents de fin de contrat de travail dans les prochains jours à mon domicile.
Il s’agit d’une rupture de mon contrat de travail en dehors de tout cadre légal et en violation de mes droits.
Veuillez agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.
Ninilopi
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21 juillet 2017
17 nov. 2016 à 18:05
17 nov. 2016 à 18:05
Quelqu'un a t-il un avis sur le sujet?
Cordialement
Cordialement