Droit à l'auto détermination des personnes agées! SOS!

chris28197 Messages postés 3 Date d'inscription mercredi 15 juillet 2015 Statut Membre Dernière intervention 15 juillet 2015 - Modifié par chris28197 le 15/07/2015 à 11:19
 Utilisateur anonyme - 16 juil. 2015 à 22:43
Bonjour,
En invoquant l'irresponsabilité de ma mère, ses enfants l'ont brutalement enlevée de chez elle devant moi qu'ils ont violemment neutralisé (avant même que je comprenne ce qui allait se passer).
J'avais entrepris de revenir vivre auprès de ma mère pour apaiser sa solitude.
J'ai aussitôt alerter la gendarmerie qui a refusé d'intervenir car elle avait été sans doute briefé sur mon compte...
J'ai déposé plainte auprès du procureur pour coup, violences, enlèvement, séquestration, harcèlement sur moi et ma mère.
Depuis la maladie et la mort de mon père 5 ans auparavant, ma mère était distinctement menacée d'être évincée de son foyer et moi encouragé avec insistance à prendre mes distances.
Complètement ostracisé par les 9 autres enfants, j'ai vécu la période tant bien que mal et je me suis rendu auprès de ma mère plus ou moins clandestinement. En voyant les souffrances psychiques de ma mère abandonnée je me suis persuadé de passer outre l'oukase et j'ai entrepris de vivre avec elle en continu. Il a fallut que je lutte contre les avanies de mes frères et soeurs qui redoublaient. Au bout de quelques mois' comme je ne cédais pas à leurs pressions, ils ont engagé à mon insu une demande de tutelle pour elle, fait établir un certificat de maladie d'Alzheimer (supercherie. Ma mère a besoin de sérénité et d'affection) et surtout enlevé brutalement ma mère de chez elle, une grande maison où elle vit depuis 65 ans avec un corps de ferme et un jardin, dans un village.
A mes plaintes, aucune suite. Mon alerte, immédiate, sans aucun effet.
Pour la plainte contre moi de la société (commandée par une de mes soeurs) que ma mère avait congédié pour qu'on choisisse ensemble un personnel référent reconnu et qualifié habitant au village, convocation en gendarmerie où je suis resté 4 heures devant le gendarme même qui m'avait demandé pour me déconsidérer complètement, le soir de l'enlèvement "comment JE M'ETAIS fait ces blessures" à vif?
Là au moins, j'ai pu expliquer une situation "fratriale" pour le moins conflictuelle. Ça n'a visiblement servi à rien.
Demande de tutelle. Audience 2 mois après. Entre temps questionnaire en 17 questions. J'y réponds à la va vite encore sous le choc de la violence de l'enlèvement, de la bastonnade que j'ai prise et surtout de l'inaction des services de la justice pénale. Le juge "n'a pas le temps"! Effectivement, 2 accusations bidons comme l'usage de la modeste voiture familiale et celle de vivre chez ma mère (!). 2 ou 3 questions vite fait et retour vers la sortie... Là, j'ai vu ma mère un peu. Quelques minutes. Elle était encadrée serrée par 2 de ses rejetons comme un repris de justice par deux gendarmes.
Pour le juge, ça allait de soi!
Une semaine après, il a ordonné une enquête sociale a diligenter dans les 2 mois. 3 semaine avant ce délai sans nouvelle de l'enquêteur, j'ai réussi à trouver son contact téléphonique. C'est l'employé d'une "société de services sociaux" (UDAF? J'appelle ça comme ça) qui arrondi ses fins de mois en prenant des petits boulots comme ça. Il fallait pas que je l'appelle sur son lieu de travail. Bien gentil,on a causé une heure au téléphone (après son boulot!) mais il a obstinément refusé de me rencontrer quand bien même je voulais témoigner avec des documents vidéos de ce que pouvait vivre ma mère avec moi.
Ce 8 juillet, (plus de 7 mois que ma mère végète dans un vilain pavillon de la banlieue d'Orléans) au débouté, je me vois convoqué par ce juge.
Depuis 5 mois ma demande dûement formulée de voir le dossier est sans réponse.
Depuis la première audience en janvier, je n'ai aucune nouvelle.
Quelques jours avant l'audience, au Tribunal d'Instance, j'apprends oralement que je NE PEUX PAS accéder au dossier. Naïf, j'ai pris une avocate qui ne peut pas en prendre copie.
J'apprennds que l'"enquêteur" a rencontré non seulement ma mère et sa gardienne (ma soeur) "par la force des choses" selon lui mais qu'en plus il a trouvé bien de rencontrer physiquement au moins deux de mes freres quand bien même ils n'ont rien de particulier ni surtout de factuel et de vérifiable à lui apporter.
Des personnes réputées averties m'avait dit qu'en cas de désaccord, la tutelle était confiée à un tiers à la famille. Le juge a annoncé d'emblée qu'il la confierait à une de mes 2 soeurs formant le gang (!). Le reste ne fût qu'une farce de justice...
En conclusion, ma mère n'a pas le droit de demeurer paisiblement dans sa maison accompagnée du seul de ses fils qui se porte volontaire.
Le juge gueule à qui veut l'entendre avec les grues qui sont les rejetons de ma mère que c'est dans son intérêt.
Maman peut apprécier.
Son grand défaut, sa faute, est de complaire à tous si possible... mais c'est impossible...
Son seul désir de vieille femme avec une santé physique étonnante, c'est de demeurer paisiblement et "pas seule la nuit" dans sa vénérable maison où elle a élevé ses dix enfants.
Qui peut l'aider?
Christophe Doublier

PS: je ne dis pas tout par souci de concision. Conscience d'être déjà assez long. Mais je suis avide d'en dire + sur ce qui s'est passé même si mon espoir de voir encore ma mère respecté s'amenuise. Puisse le cas de ma mère aider à l'évolution d'une société par combien trop barbare.

1 réponse

Utilisateur anonyme
16 juil. 2015 à 22:43
Bonjour

Prenez un avocat pour plaider votre cause auprès du juge des tutelles seul compétent .
Si votre mère a été déclarée "malade" par un médecin spécialisé seule une contre expertise peut modifier ça
.

bonne chance
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