Assurance vie réglée treize ans après le décès
Delaloire
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djivi34 Messages postés 1497 Date d'inscription lundi 25 août 2014 Statut Membre Dernière intervention 1 avril 2015 - 14 déc. 2014 à 17:33
djivi34 Messages postés 1497 Date d'inscription lundi 25 août 2014 Statut Membre Dernière intervention 1 avril 2015 - 14 déc. 2014 à 17:33
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4 réponses
djivi34
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Modifié par djivi34 le 5/12/2014 à 18:51
Modifié par djivi34 le 5/12/2014 à 18:51
Bonsoir,
moi aussi je crois que les intérêts courent jusqu'à la clôture du contrat d'assurance vie, et ne s'arrêtent pas au jour du décès.
Qu'en pensent les spécialistes ? D'avance merci.
Cdlt.
moi aussi je crois que les intérêts courent jusqu'à la clôture du contrat d'assurance vie, et ne s'arrêtent pas au jour du décès.
Qu'en pensent les spécialistes ? D'avance merci.
Cdlt.
C'est comme ça pour le petit écureuil. Point final.
Les intérêts s'arrêtent au jour du décès.
Leur réponse : Depuis 2007 les assureurs sont tenus de rechercher les bénéficiaires mais ils ne sont pas toujours trouvés rapidement...
Sachant que mon père habitait chez moi, que les deux noms (le sien et le nôtre) figurent toujours sur la boite aux lettres, que le numéro de tel indiqué par mon père sur son contrat était le nôtre (toujours le même) et que nous sommes inscrits sur l'annuaire, la caisse d'Epargne n'a pas dû beaucoup chercher... enfin la CNP !
En résumé : le souscripteur traite avec l'écureuil lors de la signature du contrat mais leur tâche s'arrête ici... En effet, après c'est à la CNP (si j'ai bien compris usine à gaz qui s'occupe des contrats de nombreuses banques) qui s'occupe de la suite, donc..... AFFAIRE TERMINEE au bout de treize ans avec un intérêt post mortem de 88 euros pour un capital initial de 960 euros.
Lors du DC de mon père en 2001 cette assurance vie n'apparaissait plus alors qu'elle apparaissait en 2000 ? pourquoi ? personne ne sait. J'aurais dû la réclamer. Encore aurait-il fallu savoir que le montant de la première assurance vie que l'on nous avait réglée après le décès ne correspondait pas au total qui nous était dû.
Moralité : récupérer son assurance vie avant de mourir si on en a le temps et garder son argent sous le matelas ! Ne nous rapporte rien mais ne rapporte rien à personne.... (réflexion d'une personne de la base mais vous l'auriez deviné).
Les intérêts s'arrêtent au jour du décès.
Leur réponse : Depuis 2007 les assureurs sont tenus de rechercher les bénéficiaires mais ils ne sont pas toujours trouvés rapidement...
Sachant que mon père habitait chez moi, que les deux noms (le sien et le nôtre) figurent toujours sur la boite aux lettres, que le numéro de tel indiqué par mon père sur son contrat était le nôtre (toujours le même) et que nous sommes inscrits sur l'annuaire, la caisse d'Epargne n'a pas dû beaucoup chercher... enfin la CNP !
En résumé : le souscripteur traite avec l'écureuil lors de la signature du contrat mais leur tâche s'arrête ici... En effet, après c'est à la CNP (si j'ai bien compris usine à gaz qui s'occupe des contrats de nombreuses banques) qui s'occupe de la suite, donc..... AFFAIRE TERMINEE au bout de treize ans avec un intérêt post mortem de 88 euros pour un capital initial de 960 euros.
Lors du DC de mon père en 2001 cette assurance vie n'apparaissait plus alors qu'elle apparaissait en 2000 ? pourquoi ? personne ne sait. J'aurais dû la réclamer. Encore aurait-il fallu savoir que le montant de la première assurance vie que l'on nous avait réglée après le décès ne correspondait pas au total qui nous était dû.
Moralité : récupérer son assurance vie avant de mourir si on en a le temps et garder son argent sous le matelas ! Ne nous rapporte rien mais ne rapporte rien à personne.... (réflexion d'une personne de la base mais vous l'auriez deviné).
Bonjour.une AV ne produit plus d'intérêts a/c du jour du décès . C'est la règle, quel que soit l'assureur.
Toutefois, lorsqu' il s'est écoulé une très longue période entre le décès et la perception du capital et que celui-ci est important, il est possible de négocier un dédommagement pour lequel tout assureur se "comporte comme un écossais".
Toutefois, lorsqu' il s'est écoulé une très longue période entre le décès et la perception du capital et que celui-ci est important, il est possible de négocier un dédommagement pour lequel tout assureur se "comporte comme un écossais".
djivi34
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14 déc. 2014 à 17:33
14 déc. 2014 à 17:33
Merci à vous deux pour vos informations.
:-)
:-)