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3 réponses
On ne met pas d'argent dans des "marchés boursiers".
Lorsque vous faites votre marché le samedi matin, où va votre argent ?
Lorsque vous faites votre marché le samedi matin, où va votre argent ?
Au commercant qui me vend ses produits. Désolé, mais je ne vois pas très bien le rapport ...
Peut-être que vous voulez me dire que l'argent est directement utilisé par l'entreprise dans laquelle on a investi, c'est ca ?
Peut-être que vous voulez me dire que l'argent est directement utilisé par l'entreprise dans laquelle on a investi, c'est ca ?
Bien sûr.
Le "marché financier" est un concept vide de sens.
Les investissements directs en actions ou obligations sont les premiers bénéficiaires des investissements des particuliers.
Puis interviennent les investissements de ces particuliers par l'intermédiaire des sociétés à capital composite ( OPCVM, Fonds Communs de Placement, Fonds Communs de Titrisation etc..) qui peuvent jouer vis à vis de leurs investisseurs un rôle d'amortisseur ou d'amplificateur de crise surtout si ces organismes (ou des organismes qui travaillent en dérivé ou au second degré avec eux) spéculent au delà des produits de base que constituent les actions et obligations ou fonds d'Etats.
Mais à la base des crises restent trois facteurs : l'offre, la demande, la monnaie.
Et - comme nous sommes maintenant loin des théories de l'autorégulation des interactions entre ces trois facteurs - un quatrième élément : la politique économique des Etats à laquelle on redécouvre régulièrement une importance que l'on avait peut être oubliée dans les vapeurs du libéralisme.
Le "marché financier" est un concept vide de sens.
Les investissements directs en actions ou obligations sont les premiers bénéficiaires des investissements des particuliers.
Puis interviennent les investissements de ces particuliers par l'intermédiaire des sociétés à capital composite ( OPCVM, Fonds Communs de Placement, Fonds Communs de Titrisation etc..) qui peuvent jouer vis à vis de leurs investisseurs un rôle d'amortisseur ou d'amplificateur de crise surtout si ces organismes (ou des organismes qui travaillent en dérivé ou au second degré avec eux) spéculent au delà des produits de base que constituent les actions et obligations ou fonds d'Etats.
Mais à la base des crises restent trois facteurs : l'offre, la demande, la monnaie.
Et - comme nous sommes maintenant loin des théories de l'autorégulation des interactions entre ces trois facteurs - un quatrième élément : la politique économique des Etats à laquelle on redécouvre régulièrement une importance que l'on avait peut être oubliée dans les vapeurs du libéralisme.