Convocation au TGI pour violence

Bonjour,
Je vis avec mon concubin depuis 24 ans, 3 enfants.
Petit à petit c'est installé des mefiances, des doutes de sa part, il m'a fallu ces 24 ans pour comprendre qu'il m'a ammené à me couper du monde, plus d'amis, plus de famille, je n'étais plus rien.Maintenant je réagis avec de l'aide et il m'en fait voir de toute les couleurs, c'était surtout psychologique jusqu'a ce 24 septembre ou il a tenté de m'étouffer en pleine dispute en pleine nuit, j'ai déposé une main courante, refuser la plainte par peur des conséquences, le 29 septembre il remet sa, 2eme main courante et le 4 octobre en plus des bleues précédent, tente de m'étouffer dans mon oreiller et dit qu'il va me casser les doigts en remontant mon bras dans le dos et me lacére le visage, il était 4h du matin, à chaque fois ma fille de 18 ans a essayé de s'interposer.
6h je passe déposer une plainte contre lui, passe devant le medecin judiciaire qui constate, mesure et prend en photos mes traces de coup, de bleus.
Plus tard ma fille sera convoquer pour entendre son témoignage.

Mon concubin a été convoqué et a eu lieu une confrontation car il niait tout.
Au résultat, il est convoqué au tribunal de grande instance car le procureur n'a pas du tout aimé sa mauvaise fois (les dire de l'agent de police).

J'aimerais savoir si il est préferable que je m'y présente aussi? me fasse aider par un avocat (meme en tant que victime)? comment savoir le rapport du medecin judiciaire et le nombre ITT?

Et au commisariat, ils sont là pour receuillir que les plainte physique? car depuis qu'il sais qu'il est convoqué, il a bien prie conscience qu'il ne peut me toucher mais agit différament, laisse la porte d'entré grande ouverte ( fait froid) pas de chauffage et enleve les ampoules donc plus de lumiere, j'ai pris possession de l'ancienne chambre de ma fille de 22 ans qui n'habite plus chez nous et m'a saboter les fils electrique donc plus de lumiére, ferme à cle la chambre commune donc plus acces à mes affaires (papier, habit,..) malgré que la police lui a dit qu'il n'avait pas le droit de fermer.

Meri pour vos conseils
corinne