Menaces de saisie sur salaire par Credirec
papinpi
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marie -
marie -
il y a plus de 10ans j' avais une dette à auteur de1900euros chezCetelem n'ayant pu les joindre par tel j'ai cessé de donner de mes nouvelles et voilà depuis une semaine Crédirec finances vient de m'appeler en me menaçant de huissier ou de saisie sur salaire tout devait être payer en 2 jours sinon 500euros de frais en sus. de bonne foi j'ai envoyé un chèque mais ils ne m'ont envoyé aucun détail soit disant ca a passé au tribunal , je n'ai reçu aucun courrier depuis 10ans donc j'ai payé mon chèque n'étant pas retiré je voudrais savoir si tout ça est légal je ne suis pas fiché à la banque de france que dois faire merci de vos réponses
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11 réponses
Surtout ne traitez pas avec Credirec, contrairement, pour raisons techniques juridiques, à leurs menaces, Credirec ne peut de lui-même demander de saisie ( injonction de payer d'un juge si cela n'a pas été fait ). C'est du bluff. Il est possible que quelques temps après un huissier vous envoie une demande, mais un huissier qui ne réside pas dans votre département. Identique vous ne répondez pas, menaces intimidantes seulement, car toutes ces demandes sont amiables.
Surtout n'envoyez pas plusieurs chèques par avance à Credirec, leur méthode habituel. Essayez de régler le problème directement avec Cetelem et surtout demandez leur s'ils sont détenteur d'une injonction de payer, et essayez d'en obtenir une copie dans ce cas. Puis attendez la suite calmement.
Surtout n'envoyez pas plusieurs chèques par avance à Credirec, leur méthode habituel. Essayez de régler le problème directement avec Cetelem et surtout demandez leur s'ils sont détenteur d'une injonction de payer, et essayez d'en obtenir une copie dans ce cas. Puis attendez la suite calmement.
Demandez de l'aide à un juriste. Vous devriez faire un tour sur http://defenseconso.unblog.fr, il m'a bien aidée.
Amicalement
Amicalement
Le problème qui se pose dans vote cas est le suivant (mes collègues "répondeurs" habituels de ce forum vous le confirmeront) :
-s'il y a eu jugement dans le passé, vous étiez redevable de cette somme à CETELEM pendant encore plusieurs années (jugement avec force exécutoire),
- si ce jugement n'existe pas, vous étiez dans un cas de forclusion biennale. aucune action en justice (donc évidemment aucune saisie !) ne pouvait être engagée contre vous puisque deux ans s'étaient écoulés depuis la première échéance non réglée.
Le fait que vous ayez réglé à CREDIREC a interrompu la forclusion qui pouvait exister et dont vous auriez pu bénéficier. Tout se serait passé comme si la dette avait été éteinte.
-s'il y a eu jugement dans le passé, vous étiez redevable de cette somme à CETELEM pendant encore plusieurs années (jugement avec force exécutoire),
- si ce jugement n'existe pas, vous étiez dans un cas de forclusion biennale. aucune action en justice (donc évidemment aucune saisie !) ne pouvait être engagée contre vous puisque deux ans s'étaient écoulés depuis la première échéance non réglée.
Le fait que vous ayez réglé à CREDIREC a interrompu la forclusion qui pouvait exister et dont vous auriez pu bénéficier. Tout se serait passé comme si la dette avait été éteinte.
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Vous avez envoyé votre chèque de « bonne foi » à une boîte qui ne l'est jamais, comme en témoignent pourtant des milliers de billets sur des dizaines de forum.
Ils ont utilisé les méthodes de manipulation bien rodées détaillées ici : www.padarnak.com
...et vous êtes tombé dans le piège.
Vous vous posez pourtant bien les bonnes questions, mais malheureusement pas dans le bon ordre. (Se documenter AVANT de payer eut été préférable).
Contactez l'UFC Que Choisir de Nancy, ils pourront peut-être vous aider à rattraper votre erreur.
Ils ont utilisé les méthodes de manipulation bien rodées détaillées ici : www.padarnak.com
...et vous êtes tombé dans le piège.
Vous vous posez pourtant bien les bonnes questions, mais malheureusement pas dans le bon ordre. (Se documenter AVANT de payer eut été préférable).
Contactez l'UFC Que Choisir de Nancy, ils pourront peut-être vous aider à rattraper votre erreur.
De toutes façon s'il vient d'y avoir paiement comme cela est indiqué la forclusion est interompue et repart pour deux années.
D'autre part dans ce cas de figure il ne sera plus possible de traiter avec CETELEM. D'ailleurs cette société possède quatre adresses en périphèrie de la capitale et pour savoir où s'adresser....si vous le savez ...je suis preneur !
Je sais que vous ne voulez pas entendre parler des FCC mais lorsque notre interlocuteur recevra un courrier de CREDIREC il apprendra que le créancier actuel est, soit FONCRED, soit CREDINVEST à qui habituelement CETELEM cède ses créances relativement rapidement, et là il y a dix ans.
Donc, là désolé mon cher...mais pour l'instant tout au moins il ne reste que CREDIREC comme interlocuteur !
Cela me gêne autant que vous mais ...
Mais notre demandeur est libre de faire ce que bon lui semble.
S'il suit, d'ailleurs, le conseil de Max de ce jour en commentaire sous sa demande :
consulter l'UFC NANCY, cette AL que je connais bien lui confirmera cela.
D'autre part dans ce cas de figure il ne sera plus possible de traiter avec CETELEM. D'ailleurs cette société possède quatre adresses en périphèrie de la capitale et pour savoir où s'adresser....si vous le savez ...je suis preneur !
Je sais que vous ne voulez pas entendre parler des FCC mais lorsque notre interlocuteur recevra un courrier de CREDIREC il apprendra que le créancier actuel est, soit FONCRED, soit CREDINVEST à qui habituelement CETELEM cède ses créances relativement rapidement, et là il y a dix ans.
Donc, là désolé mon cher...mais pour l'instant tout au moins il ne reste que CREDIREC comme interlocuteur !
Cela me gêne autant que vous mais ...
Mais notre demandeur est libre de faire ce que bon lui semble.
S'il suit, d'ailleurs, le conseil de Max de ce jour en commentaire sous sa demande :
consulter l'UFC NANCY, cette AL que je connais bien lui confirmera cela.
Crédit. Une société de recouvrement devant la justice
30 septembre 2009 -
L'association d'aide contre les abus bancaires (Aacab) tente, depuis des mois, de croiser le fer au tribunal avec des organismes de crédits et une société de recouvrement. Elle lui reproche ses méthodes «particulières» et le manque de transparence dans ses démarches.
Nous sommes en 2005. Un habitant du Nord-Finistère reçoit un appel téléphonique de CrédirecFinance, société créée en 1993 et spécialisée dans le recouvrement de créances (22,8MEUR de chiffre d'affaires en 2006. 300.000 dossiers traités). On lui demande de régler les dettes de son père qui réside en maison de retraite. Soit 15.000EUR à débourser sous 48heures! Cette somme correspondant à des mensualités non remboursées d'un prêt contracté en... 1990. «J'ai immédiatement demandé un justificatif de créance. Comme ils ont été dans l'incapacité de m'en procurer un, j'ai refusé de leur verser le moindre centime». Les mois ont passé. La société de recouvrement n'a pas baissé les bras. «On a reçu une mise en demeure de payer. Puis les conseillers nous ont téléphoné directement. À notre domicile, puis sur notre lieu de travail. On n'en pouvait plus».
Obligation de remettre un titre exécutoire
En 2007, cet habitant du Finistère, comme bien d'autres en France, a rejoint l'Aacab qui a porté plainte contre Crédirec Finance. Mais aussi Sofinco et Credinvest, deux organismes de crédit qui font régulièrement appel à ses services. «Cette société de recouvrement utilise des méthodes particulières, estime Francisco Abawy, un conseiller juridique de l'association. Primo, elle tente d'intervenir complètement hors délai. Il faut savoir que légalement, elle n'a que deux ans, après un incident de paiement, pour agir.Après il y a forclusion. Deuzio, très souvent, elle est dans l'incapacité de produire un titre exécutoire. Document juridique qui établit clairement la nature, le montant de la créance, des intérêts et des frais». Le fait d'accepter les conditions de la société de recouvrement leur donne tous pouvoirs par la suite.
Coups de fil insistants
Autres griefs des plaignants, les méthodes de recouvrement qui peuvent s'apparenter à du harcèlement téléphonique. Il faut savoir que ces relances, si elles sont particulièrement appuyées, peuvent être considérées comme un délit au regard de la loi (article222.16 du Code pénal). Plus grave, certains «créanciers» n'ont aucun souvenir d'avoir contracté de prêt. Sont-ils victimes d'homonymie? On peut le penser au vu de certains cas. Comme celui de cet homme qui s'exprime sur un forum sur le net (*). Il réside aux États-Unis depuis vingt ans et Crédirec lui réclame la somme de 27.000EUR. «Quand je vivais en France, j'étais bien trop jeune et trop pauvre pour obtenir un crédit de ce montant. Mais bon, je leur souhaite bon courage pour me poursuivre ici avec leur dette bidon». Hier, le tribunal correctionnel de Paris a donc décidé de reporter au 2mars 2010, et pour la seconde fois, le procès tant attendu par l'Aacab. Évoquant une activité judiciaire trop importante. Et estimant que l'affaire était bien trop lourde pour être évoquée en une après-midi. Hier, dans un communiqué, l'association s'interrogeait sur la «volonté réelle des pouvoirs publics de remédier rapidement à ce genre de pratiques». Hier, nous avons joint le siège de Crédirec-Finance au téléphone. Aucun membre de la direction n'a souhaité nous rappeler.
https://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/credit-une-societe-de-recouvrement-devant-la-justice-30-09-2009-574052.php
ET ENCORE :
CREDIREC chasse off-shore ?
Catégorie(s): Les restes du monde - Tags: Ajouter un mot-clef, Clicanoo, Credirec, Crédit Moderne Océan Indien, Ile de la Réunion, Le journal de l'Ile de la Réunion, Outre-Mer, Ultramarin, Union des consommateurs de la Réunion
Les radars semblent signaler la mise en marche d'un ratissage vorace et systématique de CREDIREC vers les poches des français d'Outre-Mer.
Il est sans doute temps pour les pirates d'élargir le terrain de chasse là ou on les connaît moins.
Sur le continent, le gibier commençe en effet à savoir se défendre contre le froid prédateur.
Les Voleurs de Foules doivent supposer les habitants des iles plus faciles à manoeuvrer par le télé-opérateur surentrainé que les continentaux qui commencent à bien connaître les grosses ficelles de leurs stratégies d'abordage.
Malheureusement pour nos chasseurs de primes, l'Internet gâche la curée, l'information circule à la vitesse de la lumière... même là-bas ;) et qui plus est, les ultramarins ne semblent pas prêts à s'en laisser compter.
Ça fait plaisir !
Habitants de Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte, Polynésie, Saint Pierre et Miquelon, Wallis et Futuna, Saint Martin, Saint Barthélémy, Terres australes et Antartiques françaises,Iles Eparses, Clipperton, Nouvelle-Calédonie... tenez-vous prêts, chargez vos pièces à feu, ILS ARRIVENT !
********************
Le nom de Credirec Finance commence à être tristement célèbre à la Réunion. Selon l'Union des consommateurs de la Réunion, plus d'une centaine de personnes ont reçu des lettres de cette société de recouvrement de métropole qui a racheté fin décembre des créances à Crédit Moderne Océan Indien.
Articles Clicanoo :
« Ils m'ont bourré le crâne, j'ai craqué »
Un mort sommé de rembourser une voiture jamais achetée
Crédirec exige que Rosine Gara paie une dette de plus de 7000 euros pour une voiture achetée par son époux. Mais ce dernier est décédé en 1997 et n'a jamais effectué un tel achat.
La suite...
30 septembre 2009 -
L'association d'aide contre les abus bancaires (Aacab) tente, depuis des mois, de croiser le fer au tribunal avec des organismes de crédits et une société de recouvrement. Elle lui reproche ses méthodes «particulières» et le manque de transparence dans ses démarches.
Nous sommes en 2005. Un habitant du Nord-Finistère reçoit un appel téléphonique de CrédirecFinance, société créée en 1993 et spécialisée dans le recouvrement de créances (22,8MEUR de chiffre d'affaires en 2006. 300.000 dossiers traités). On lui demande de régler les dettes de son père qui réside en maison de retraite. Soit 15.000EUR à débourser sous 48heures! Cette somme correspondant à des mensualités non remboursées d'un prêt contracté en... 1990. «J'ai immédiatement demandé un justificatif de créance. Comme ils ont été dans l'incapacité de m'en procurer un, j'ai refusé de leur verser le moindre centime». Les mois ont passé. La société de recouvrement n'a pas baissé les bras. «On a reçu une mise en demeure de payer. Puis les conseillers nous ont téléphoné directement. À notre domicile, puis sur notre lieu de travail. On n'en pouvait plus».
Obligation de remettre un titre exécutoire
En 2007, cet habitant du Finistère, comme bien d'autres en France, a rejoint l'Aacab qui a porté plainte contre Crédirec Finance. Mais aussi Sofinco et Credinvest, deux organismes de crédit qui font régulièrement appel à ses services. «Cette société de recouvrement utilise des méthodes particulières, estime Francisco Abawy, un conseiller juridique de l'association. Primo, elle tente d'intervenir complètement hors délai. Il faut savoir que légalement, elle n'a que deux ans, après un incident de paiement, pour agir.Après il y a forclusion. Deuzio, très souvent, elle est dans l'incapacité de produire un titre exécutoire. Document juridique qui établit clairement la nature, le montant de la créance, des intérêts et des frais». Le fait d'accepter les conditions de la société de recouvrement leur donne tous pouvoirs par la suite.
Coups de fil insistants
Autres griefs des plaignants, les méthodes de recouvrement qui peuvent s'apparenter à du harcèlement téléphonique. Il faut savoir que ces relances, si elles sont particulièrement appuyées, peuvent être considérées comme un délit au regard de la loi (article222.16 du Code pénal). Plus grave, certains «créanciers» n'ont aucun souvenir d'avoir contracté de prêt. Sont-ils victimes d'homonymie? On peut le penser au vu de certains cas. Comme celui de cet homme qui s'exprime sur un forum sur le net (*). Il réside aux États-Unis depuis vingt ans et Crédirec lui réclame la somme de 27.000EUR. «Quand je vivais en France, j'étais bien trop jeune et trop pauvre pour obtenir un crédit de ce montant. Mais bon, je leur souhaite bon courage pour me poursuivre ici avec leur dette bidon». Hier, le tribunal correctionnel de Paris a donc décidé de reporter au 2mars 2010, et pour la seconde fois, le procès tant attendu par l'Aacab. Évoquant une activité judiciaire trop importante. Et estimant que l'affaire était bien trop lourde pour être évoquée en une après-midi. Hier, dans un communiqué, l'association s'interrogeait sur la «volonté réelle des pouvoirs publics de remédier rapidement à ce genre de pratiques». Hier, nous avons joint le siège de Crédirec-Finance au téléphone. Aucun membre de la direction n'a souhaité nous rappeler.
https://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/credit-une-societe-de-recouvrement-devant-la-justice-30-09-2009-574052.php
ET ENCORE :
CREDIREC chasse off-shore ?
Catégorie(s): Les restes du monde - Tags: Ajouter un mot-clef, Clicanoo, Credirec, Crédit Moderne Océan Indien, Ile de la Réunion, Le journal de l'Ile de la Réunion, Outre-Mer, Ultramarin, Union des consommateurs de la Réunion
Les radars semblent signaler la mise en marche d'un ratissage vorace et systématique de CREDIREC vers les poches des français d'Outre-Mer.
Il est sans doute temps pour les pirates d'élargir le terrain de chasse là ou on les connaît moins.
Sur le continent, le gibier commençe en effet à savoir se défendre contre le froid prédateur.
Les Voleurs de Foules doivent supposer les habitants des iles plus faciles à manoeuvrer par le télé-opérateur surentrainé que les continentaux qui commencent à bien connaître les grosses ficelles de leurs stratégies d'abordage.
Malheureusement pour nos chasseurs de primes, l'Internet gâche la curée, l'information circule à la vitesse de la lumière... même là-bas ;) et qui plus est, les ultramarins ne semblent pas prêts à s'en laisser compter.
Ça fait plaisir !
Habitants de Guadeloupe, Martinique, Guyane, Mayotte, Polynésie, Saint Pierre et Miquelon, Wallis et Futuna, Saint Martin, Saint Barthélémy, Terres australes et Antartiques françaises,Iles Eparses, Clipperton, Nouvelle-Calédonie... tenez-vous prêts, chargez vos pièces à feu, ILS ARRIVENT !
********************
Le nom de Credirec Finance commence à être tristement célèbre à la Réunion. Selon l'Union des consommateurs de la Réunion, plus d'une centaine de personnes ont reçu des lettres de cette société de recouvrement de métropole qui a racheté fin décembre des créances à Crédit Moderne Océan Indien.
Articles Clicanoo :
« Ils m'ont bourré le crâne, j'ai craqué »
Un mort sommé de rembourser une voiture jamais achetée
Crédirec exige que Rosine Gara paie une dette de plus de 7000 euros pour une voiture achetée par son époux. Mais ce dernier est décédé en 1997 et n'a jamais effectué un tel achat.
La suite...
Suite :
Après une procédure civile devant le juge des référés, la société CREDIREC s'est attaquée à la personne du Président de l'association. Elle a déposé une plainte demandant sa condamnation pénale pour des propos qu'elle jugeait diffamatoires et d'autres injurieux. Et en conséquence, ce professionnel demandait le paiement de 10.000€ de dommages et intérêts et 3.000€ pour ses frais de procédure (avocat). Le 18 novembre, le tribunal correctionnel de Senlis donnait tort à CREDIREC en relaxant le Président de l'UFC QUE CHOISIR SENLIS. La société n'a pas fait appel de cette décision qui est donc devenue définitive et consacre le sérieux de notre défense des consommateurs. Quelques explications détaillées.
Les termes de la plainte pénale de CREDIREC étaient les mêmes que ceux utilisés devant le juge des référés. Cette société considérait comme diffamatoires les passages suivants de notre article concernant son activité sur notre site blog :
-Des créances non prouvées
-Une société de recouvrement semble s'être fait une spécialité de ressusciter des créances défuntes. Défendez-vous contre cette adepte de miracles. Illustration avec une petite histoire parmi tant d'autres.
-le ton monte en menaces...Fatigué de ce harcèlement, M. V...nous saisit de son problème...
Et comme injurieux les mots suivants : pompe à fric, magouille, arnaque...
Notre défense était basée sur notre offre d'apporter la preuve des faits diffamatoires par la production de dossiers établissant que le comportement de CREDIREC était bien celui que nous dénoncions avec une vigoureuse ironie.
Quant aux "injures" elles ne pouvaient être ainsi qualifiées car ces propos étaient indivisibles du comportement dénoncé. Ils devaient donc être considérés comme diffamatoires et la preuve de leur vérité devenait ainsi possible, ce que nous avons proposé de faire.
Le tribunal a repris tous nos arguments, disant que les "injures" n'en étaient pas et que le Président de l'UFC QUE CHOISIR SENLIS avait apporté la preuve de la vérité des faits diffamatoires.
Quant à la décision de référé nous faisant supprimer ces termes de notre article (rubrique SANS NOM), elle s'applique toujours. Rappelons simplement qu'une décision de référé n'a pas l'autorité de la chose jugée, ne fait pas jurisprudence. Ce n'est pas le cas de celle du tribunal correctionnel de Senlis. Vous pourrez donc continuer à remplir les "blancs" de notre article avec les mots repris ici ou ceux qui vous semblent convenir le mieux pour décrire les méthodes de CREDIREC.
Evidemment, le service juridique de notre Fédération attend avec impatience le texte écrit de ce jugement pour le diffuser largement dans notre mouvement. Il consacre en effet le sérieux de notre travail de dénonciation de certains procédés. Mais les délais d'écriture des jugements peuvent atteindre plusieurs semaines. Dès que nous l'aurons, il sera consultable par un lien dans cet article. Que cela ne vous empêche pas de nous faire part de vos réactions dès maintenant !!!
http://senlis-ufc-quechoisir.viabloga.com/news/credirec
----> DESOLE GERARD SI VOTRE CREDIBILITE ENVERS CREDIREC EN PREND UN COUP, MAIS IL N'Y A PAS QUE LES HUISSIERS DE JUSTICE QUI SONT DES BRIGANDS -
A vouloir déshonorer les huissiers, vous travaillez où ? Et pour raconter le produit de vos fantasmes ( les fausses saisies attribution menaçantes exécutées par un collègue de celui qui poursuit - quel scénario) quelles sont vos références académiques ??
Après une procédure civile devant le juge des référés, la société CREDIREC s'est attaquée à la personne du Président de l'association. Elle a déposé une plainte demandant sa condamnation pénale pour des propos qu'elle jugeait diffamatoires et d'autres injurieux. Et en conséquence, ce professionnel demandait le paiement de 10.000€ de dommages et intérêts et 3.000€ pour ses frais de procédure (avocat). Le 18 novembre, le tribunal correctionnel de Senlis donnait tort à CREDIREC en relaxant le Président de l'UFC QUE CHOISIR SENLIS. La société n'a pas fait appel de cette décision qui est donc devenue définitive et consacre le sérieux de notre défense des consommateurs. Quelques explications détaillées.
Les termes de la plainte pénale de CREDIREC étaient les mêmes que ceux utilisés devant le juge des référés. Cette société considérait comme diffamatoires les passages suivants de notre article concernant son activité sur notre site blog :
-Des créances non prouvées
-Une société de recouvrement semble s'être fait une spécialité de ressusciter des créances défuntes. Défendez-vous contre cette adepte de miracles. Illustration avec une petite histoire parmi tant d'autres.
-le ton monte en menaces...Fatigué de ce harcèlement, M. V...nous saisit de son problème...
Et comme injurieux les mots suivants : pompe à fric, magouille, arnaque...
Notre défense était basée sur notre offre d'apporter la preuve des faits diffamatoires par la production de dossiers établissant que le comportement de CREDIREC était bien celui que nous dénoncions avec une vigoureuse ironie.
Quant aux "injures" elles ne pouvaient être ainsi qualifiées car ces propos étaient indivisibles du comportement dénoncé. Ils devaient donc être considérés comme diffamatoires et la preuve de leur vérité devenait ainsi possible, ce que nous avons proposé de faire.
Le tribunal a repris tous nos arguments, disant que les "injures" n'en étaient pas et que le Président de l'UFC QUE CHOISIR SENLIS avait apporté la preuve de la vérité des faits diffamatoires.
Quant à la décision de référé nous faisant supprimer ces termes de notre article (rubrique SANS NOM), elle s'applique toujours. Rappelons simplement qu'une décision de référé n'a pas l'autorité de la chose jugée, ne fait pas jurisprudence. Ce n'est pas le cas de celle du tribunal correctionnel de Senlis. Vous pourrez donc continuer à remplir les "blancs" de notre article avec les mots repris ici ou ceux qui vous semblent convenir le mieux pour décrire les méthodes de CREDIREC.
Evidemment, le service juridique de notre Fédération attend avec impatience le texte écrit de ce jugement pour le diffuser largement dans notre mouvement. Il consacre en effet le sérieux de notre travail de dénonciation de certains procédés. Mais les délais d'écriture des jugements peuvent atteindre plusieurs semaines. Dès que nous l'aurons, il sera consultable par un lien dans cet article. Que cela ne vous empêche pas de nous faire part de vos réactions dès maintenant !!!
http://senlis-ufc-quechoisir.viabloga.com/news/credirec
----> DESOLE GERARD SI VOTRE CREDIBILITE ENVERS CREDIREC EN PREND UN COUP, MAIS IL N'Y A PAS QUE LES HUISSIERS DE JUSTICE QUI SONT DES BRIGANDS -
A vouloir déshonorer les huissiers, vous travaillez où ? Et pour raconter le produit de vos fantasmes ( les fausses saisies attribution menaçantes exécutées par un collègue de celui qui poursuit - quel scénario) quelles sont vos références académiques ??
Si vous connaissiez les rapports que j'ai avec ce genre de boîtes !
La nuance entre nous réside dans le fait que je traite de un ou deux dossiers par semaine avec ce type d'entreprise et que je sais fort bien que nos interlocuteurs ne sont pas en mesure de se positionner en tant que demandeur devant le TI.
Quant à la position du défendeur opposant à une ordonnance je n'en parle même pas.
Mais lorsqu'il aura tout lu ce que vous avez envoyé, notre interlocteur décidera de la conduite à tenir.
Mais je doute que cela puisse l'éclarer utilement alors qu'il vient de casser sa forclusion.
La nuance entre nous réside dans le fait que je traite de un ou deux dossiers par semaine avec ce type d'entreprise et que je sais fort bien que nos interlocuteurs ne sont pas en mesure de se positionner en tant que demandeur devant le TI.
Quant à la position du défendeur opposant à une ordonnance je n'en parle même pas.
Mais lorsqu'il aura tout lu ce que vous avez envoyé, notre interlocteur décidera de la conduite à tenir.
Mais je doute que cela puisse l'éclarer utilement alors qu'il vient de casser sa forclusion.
Je ne sais pas au nom de quoi vous traitez les dossiers de dettes de "vos clients" . Vous n'avez jamais précisé cela.
Que vous ayez eu problème avec des huissiers, j'en suis persuadé. Que cela vous ne l'acceptez pas, vos assertions en sont la preuve.
Vous prêtez facilement un pouvoir de recouvrement aux officines privées de recouvrement alors que nous en contestons l'autoritarisme avec fausses menaces.
"Quant à la position du défendeur opposant à une ordonnance je n'en parle même pas."
---> Auriez-vous la prétention de vous opposer aux textes du législateur ? Pour cela faut-il que vous soyez élu pour en modifier le contenu..
L'ordonnance, dans le cas qui nous intéresse : l'injonction de payer, n'est pas un jugement mais une décision juridiciaire en fonction de faits constitués constatés :
Un contrat ( code civil), un créancier et un débiteur, une dette, un défaut de paiement...
Je ne vois pas en quoi cette procédure est contradictoire si ce n'est qu'un désaccord sur le montant de la dette.
Je ne crois pas que vous puissiez intervenir au niveau du tribunal d'instance en fonction de quelle autorité qui vous serait officiellement reconnue et quels conseils que vous pourriez donné dans le style défense à "votre client". Il me semble que vous confondez aisément la fonction du juge d'instance, magistrature assise avec la procuration, magistrature debout.
Vous prêtez trop de pouvoirs aux officines privées, rachat de créances : modification du contrat originel; celui-ci ne peut se faire sans l'accord et que soit averti le débiteur. Peut-il ignorer que le créancier a changé ? Aucune des officines privées ne pratique cette procédure car c'est un investissement incertain. Qui aurait la possibilité de perdre de l'argent ??
L'affacturage que cela s'appelle est parfaitement normalisé et encadré, une possibilité offerte aux organismes sérieux : banques, investisseurs etc.
Vos conseils parfois justes, sont en réalité fallacieux. Je vous crois manipulateur et vous essayez de régler à travers des tiers vos comptes avec des huissiers. Et si mes souvenirs sont exacts, vous avez déja essayé par le passé.
En conséquence je vous conseille bien modestement de créer une association, lobby, pour la défense des débiteurs face aux procédures des huissiers de justice et au système judiciaire s'y afférent.
Permettez-moi de clore cette polémique.
Sauf erreur de ma part. J'attends qu'on me la prouve.
Je vous précise qu' UFC QUE CHOISIR accepte de traiter les dossiers que de leurs adhérents ou s'ils adhèrent. Je fais partie de la première catégorie.
Que vous ayez eu problème avec des huissiers, j'en suis persuadé. Que cela vous ne l'acceptez pas, vos assertions en sont la preuve.
Vous prêtez facilement un pouvoir de recouvrement aux officines privées de recouvrement alors que nous en contestons l'autoritarisme avec fausses menaces.
"Quant à la position du défendeur opposant à une ordonnance je n'en parle même pas."
---> Auriez-vous la prétention de vous opposer aux textes du législateur ? Pour cela faut-il que vous soyez élu pour en modifier le contenu..
L'ordonnance, dans le cas qui nous intéresse : l'injonction de payer, n'est pas un jugement mais une décision juridiciaire en fonction de faits constitués constatés :
Un contrat ( code civil), un créancier et un débiteur, une dette, un défaut de paiement...
Je ne vois pas en quoi cette procédure est contradictoire si ce n'est qu'un désaccord sur le montant de la dette.
Je ne crois pas que vous puissiez intervenir au niveau du tribunal d'instance en fonction de quelle autorité qui vous serait officiellement reconnue et quels conseils que vous pourriez donné dans le style défense à "votre client". Il me semble que vous confondez aisément la fonction du juge d'instance, magistrature assise avec la procuration, magistrature debout.
Vous prêtez trop de pouvoirs aux officines privées, rachat de créances : modification du contrat originel; celui-ci ne peut se faire sans l'accord et que soit averti le débiteur. Peut-il ignorer que le créancier a changé ? Aucune des officines privées ne pratique cette procédure car c'est un investissement incertain. Qui aurait la possibilité de perdre de l'argent ??
L'affacturage que cela s'appelle est parfaitement normalisé et encadré, une possibilité offerte aux organismes sérieux : banques, investisseurs etc.
Vos conseils parfois justes, sont en réalité fallacieux. Je vous crois manipulateur et vous essayez de régler à travers des tiers vos comptes avec des huissiers. Et si mes souvenirs sont exacts, vous avez déja essayé par le passé.
En conséquence je vous conseille bien modestement de créer une association, lobby, pour la défense des débiteurs face aux procédures des huissiers de justice et au système judiciaire s'y afférent.
Permettez-moi de clore cette polémique.
Sauf erreur de ma part. J'attends qu'on me la prouve.
Je vous précise qu' UFC QUE CHOISIR accepte de traiter les dossiers que de leurs adhérents ou s'ils adhèrent. Je fais partie de la première catégorie.
Attention à l'ARNAQUE CREDIREC
J'ai été victime de CREDIREC qui me reclame 9000€. J'ai demandé conseil à un avocat, Me MOGRABI à Paris 17, qui a fait des recherches sur cette société et ses méthodes illicites. Il m'a conseillé de leur faire une citation directe auprès du Tribunal Correctionnel de Paris ou auprès du Tribunal de Police
Depuis que j'ai menacé CREDIREC de mon intention de saisir la juridiction compétente, je n'ai plus entendu parler d'eux
Je vous invite à contacter un avocat pour faire le nécessaire
Sissi
J'ai été victime de CREDIREC qui me reclame 9000€. J'ai demandé conseil à un avocat, Me MOGRABI à Paris 17, qui a fait des recherches sur cette société et ses méthodes illicites. Il m'a conseillé de leur faire une citation directe auprès du Tribunal Correctionnel de Paris ou auprès du Tribunal de Police
Depuis que j'ai menacé CREDIREC de mon intention de saisir la juridiction compétente, je n'ai plus entendu parler d'eux
Je vous invite à contacter un avocat pour faire le nécessaire
Sissi