Répartiteurs de frais de chauffage
julien
-
PauvreLocataire -
PauvreLocataire -
Bonjour,
Je suis en école d’ingénieur en génie climatique et je prépare un dossier sur les répartiteurs de frais de chauffage en immeuble.
Je recherche d’autres expériences et données fiables, concrètes, mesurables.
A ce jour … il existe 2 types de compteurs – par évaporation ou électroniques. Certains sont NF.
Les dossiers de l’ademe ou des associations sont vagues et n’apportent pas la preuve du bénéfice réel : mieux vaut consacrer les dépenses à l’amélioration du rendement de la chaudière et aux brûleurs, à améliorer l’isolation du bâtiment plutôt que de chercher qui à le plus chaud ou le plus froid.
Les résultats sont contestables. Sur des exemples précis les réponses des profs, des pro. intervenant ou en stage restent contradictoires, évasives ou peu convaincantes.
Certains bailleurs et copropriétés ont fait poser à grands frais ces dispositifs pour les abandonner rapidement par manque de fiabilité et bqc de contestations et de frais non rentables.
Comment dans un immeuble appliquer de soi disant cœfficients – les experts , profs, pro, sont très critiques- pour distinguer les appartements avec simple, double et maintenant triple vitrage ? Les appartements plein sud, chauffés naturellement et ceux plein nord ou en RDC ? Les radiateurs exposés au soleil, ceux encastrés ? Les robinets thermostatiques changent-ils vraiment les choses en habitat collectif ? Les appartements ‘’secs’’ facilitant à tors l’évaporation des compteurs des appartements humides ? Les appartements chauffés car entourés par des voisins et ceux en pignon ? Les allergies des gens qui ne veulent plus aérer par peur de payer ?
Les frais d’installation sont très flottants. Les fabricants ne manquent pas d’arguments. Pour les relevés et l’entretien il faut impérativement laisser les clefs du logement. Le bénéfice serait éventuellement de quelques euro par an.
Donc, à ce jour, même si des textes de loi existent, mieux vaut consacrer les dépenses à l’amélioration du rendement de la chaudière et aux brûleurs, à améliorer l’isolation du bâtiment, voir aux énergies solaires plutôt que de chercher qui à le plus chaud ou le plus froid dans l’immeuble.
Julien
Je suis en école d’ingénieur en génie climatique et je prépare un dossier sur les répartiteurs de frais de chauffage en immeuble.
Je recherche d’autres expériences et données fiables, concrètes, mesurables.
A ce jour … il existe 2 types de compteurs – par évaporation ou électroniques. Certains sont NF.
Les dossiers de l’ademe ou des associations sont vagues et n’apportent pas la preuve du bénéfice réel : mieux vaut consacrer les dépenses à l’amélioration du rendement de la chaudière et aux brûleurs, à améliorer l’isolation du bâtiment plutôt que de chercher qui à le plus chaud ou le plus froid.
Les résultats sont contestables. Sur des exemples précis les réponses des profs, des pro. intervenant ou en stage restent contradictoires, évasives ou peu convaincantes.
Certains bailleurs et copropriétés ont fait poser à grands frais ces dispositifs pour les abandonner rapidement par manque de fiabilité et bqc de contestations et de frais non rentables.
Comment dans un immeuble appliquer de soi disant cœfficients – les experts , profs, pro, sont très critiques- pour distinguer les appartements avec simple, double et maintenant triple vitrage ? Les appartements plein sud, chauffés naturellement et ceux plein nord ou en RDC ? Les radiateurs exposés au soleil, ceux encastrés ? Les robinets thermostatiques changent-ils vraiment les choses en habitat collectif ? Les appartements ‘’secs’’ facilitant à tors l’évaporation des compteurs des appartements humides ? Les appartements chauffés car entourés par des voisins et ceux en pignon ? Les allergies des gens qui ne veulent plus aérer par peur de payer ?
Les frais d’installation sont très flottants. Les fabricants ne manquent pas d’arguments. Pour les relevés et l’entretien il faut impérativement laisser les clefs du logement. Le bénéfice serait éventuellement de quelques euro par an.
Donc, à ce jour, même si des textes de loi existent, mieux vaut consacrer les dépenses à l’amélioration du rendement de la chaudière et aux brûleurs, à améliorer l’isolation du bâtiment, voir aux énergies solaires plutôt que de chercher qui à le plus chaud ou le plus froid dans l’immeuble.
Julien
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3 réponses
Bonsoir,
Nous avons mis en place en septembre des répatiteurs de chauffage dans notre résidence: 30 logements,165 répartiteurs.
Le premier résultat est une bais de 15% de notre consomation de gaz sur l'hiver 2008/2009.
Nous avons eu les relevés des compteurs et nous contatons un grande disparité.
Si vous avez des questions, je suis au conseil syndical de la Résidence et je connais parfaitement bien le dossier.
Pour votre info nous sommes à Lille
Cordialement
Jack
Nous avons mis en place en septembre des répatiteurs de chauffage dans notre résidence: 30 logements,165 répartiteurs.
Le premier résultat est une bais de 15% de notre consomation de gaz sur l'hiver 2008/2009.
Nous avons eu les relevés des compteurs et nous contatons un grande disparité.
Si vous avez des questions, je suis au conseil syndical de la Résidence et je connais parfaitement bien le dossier.
Pour votre info nous sommes à Lille
Cordialement
Jack
Bonjour Carnot59,
Je ne sais pas où vous en êtes dans vos études mais voici un lien vers une association qui pose le pour et le contre concernant les répartiteurs avec chiffres à l'appui.
Personnellement, c'est une belle connerie car mon immeuble n'est pas isolé, le système de chauffage collectif défectueux, la société qui a posé les répartiteurs se fait un max de fric sur le dos des locataires, le propriétaire est sourd, et le procès c'est bientôt.
http://www.unarc.asso.fr/site/actions/actiomoi/juin07/repartiteurs.htm
PauvreLocataire
Je ne sais pas où vous en êtes dans vos études mais voici un lien vers une association qui pose le pour et le contre concernant les répartiteurs avec chiffres à l'appui.
Personnellement, c'est une belle connerie car mon immeuble n'est pas isolé, le système de chauffage collectif défectueux, la société qui a posé les répartiteurs se fait un max de fric sur le dos des locataires, le propriétaire est sourd, et le procès c'est bientôt.
http://www.unarc.asso.fr/site/actions/actiomoi/juin07/repartiteurs.htm
PauvreLocataire