La femme facille
bikers
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6 mai 2009 à 22:45
tarasouris Messages postés 4141 Date d'inscription lundi 4 août 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 21 janvier 2011 - 7 mai 2009 à 10:33
tarasouris Messages postés 4141 Date d'inscription lundi 4 août 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 21 janvier 2011 - 7 mai 2009 à 10:33
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tarasouris
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6 mai 2009 à 23:49
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Bonsoir ,
Voilà qui fait au moins se rejoindre hommes et femmes : dès lors qu'ils sont parents, seuls responsables d'un ou plusieurs enfants: ils ont un tel emploi du temps, tellement de problèmes financiers et autres qu'ils sont "centrés" sur les enfants, obligatoirement ! Donc, on ne sort plus pour soi-même, on ne trouve pas une heure pour " souffler ", il y a tant à faire et penser ... qu'on s'oublie forcément soi-même, à force de n'avoir plus ni le temps, ni les mêmes obligations, ni les mêmes finances !
C'est épuisant, physiquement, sans doute, mais moralement, c'est sûr ! Savoir prendre un peu de son temps, quand cela est possible, passer un moment à discuter avec quelqu'un devant un café, confier les enfants une fois à l'occasion pour aller à une " fête, concert, repas, soirée seul(e)pour lire tranquille ", prendre une respiration personnelle, chacun à sa façon, cela fait partie de notre équilibre, dont nous avons besoin ! Et nos enfants en tirent tout bénéfice, il est plus agréable d'avoir un papa ou une maman gais, reposés, en tout cas personnellement en "bon état" qu'un parent excédé, crevant de solitude, malheureux, énervé et épuisé ...
Il n'y a aucune culpabilité à ressentir à savoir, de temps en temps, respirer et se ressourcer, chacun à sa manière, c'est tout bénéfice pour tout le monde ... Bien sûr, il s'agit de se retrouver soi-même, se ressourcer, un instant et d'en profiter, pour que parent et enfants en profitent ensuite, pas d'abandonner et de démissionner !
----------------------------------------------------------------------------
.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Voilà qui fait au moins se rejoindre hommes et femmes : dès lors qu'ils sont parents, seuls responsables d'un ou plusieurs enfants: ils ont un tel emploi du temps, tellement de problèmes financiers et autres qu'ils sont "centrés" sur les enfants, obligatoirement ! Donc, on ne sort plus pour soi-même, on ne trouve pas une heure pour " souffler ", il y a tant à faire et penser ... qu'on s'oublie forcément soi-même, à force de n'avoir plus ni le temps, ni les mêmes obligations, ni les mêmes finances !
C'est épuisant, physiquement, sans doute, mais moralement, c'est sûr ! Savoir prendre un peu de son temps, quand cela est possible, passer un moment à discuter avec quelqu'un devant un café, confier les enfants une fois à l'occasion pour aller à une " fête, concert, repas, soirée seul(e)pour lire tranquille ", prendre une respiration personnelle, chacun à sa façon, cela fait partie de notre équilibre, dont nous avons besoin ! Et nos enfants en tirent tout bénéfice, il est plus agréable d'avoir un papa ou une maman gais, reposés, en tout cas personnellement en "bon état" qu'un parent excédé, crevant de solitude, malheureux, énervé et épuisé ...
Il n'y a aucune culpabilité à ressentir à savoir, de temps en temps, respirer et se ressourcer, chacun à sa manière, c'est tout bénéfice pour tout le monde ... Bien sûr, il s'agit de se retrouver soi-même, se ressourcer, un instant et d'en profiter, pour que parent et enfants en profitent ensuite, pas d'abandonner et de démissionner !
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§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Théo89
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9 août 2009
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7 mai 2009 à 01:22
7 mai 2009 à 01:22
moi aussi j'ai regrdé l'émission et je me suis dit il va y avoir des réactions sur le forum, me suis pas trompée.A moins que j'ai vraiment mal vu, je n'ai pas eu l'impression que ces femmes avaient tout ce qu'il faut, entre recherche d'emploi difficile, creches a trouver et à payer et courses alimentaires au plus bas du porte monnaie!...Non vraiment les femmes seules se plaignent et a juste titre parfois, mais les hommes qi élèvent seuls leurs enfants ne sont effectivement pas mieux lotis
Bonjour Théo 89 et les autres
POURQUOI des généralités , sont-elles toujours utilisées ? : les Français / les hommes / les femmes /
Chaque être humain est unique , chacun mène sa vie comme il croit le vouloir , ou plutôt comme il le peut .
Les médias ont définitevement établi des règles sans rapport avec la réalité des vrais gens , par exemple , actuellement leurs " lubies " sont de faire des émissions et reportages sur " l ' insouciance des années yéyé " , en oubliant qu ' à l ' époque , les jeunes allaient se faire zigouiller en Algérie ; ces jours-ci , ce sont les années 70/80 , avec les " poches pleines de fric " " la liberté sexuelle " " le travail à gogo " ce qui est archi-faux , puisque l ' exploitation des travailleurs en CDD a commencé à bien s ' installer à partir de 1970 . Les ouvriers hébètés de fatigue qui déambulaient , avec leur sac contenant leur gamelle du repas , déboulant par flots humains , aux entrées et sorties d ' usines pour faire les 3x8 .
Bien entendu les médias , sont hors circuit , avec leurs oeillères qui ne leur permettent de ne voir que leur microcosme de " people " qui se sont autoproclamés donneurs de leçons et d ' exemples .
En conclusion , gardez le moral et l ' espoir , il y a encore , mais ils sont discrèts , des HOMMES ET DES FEMMES FORMIDABLES .
Agrippinegorgonne
POURQUOI des généralités , sont-elles toujours utilisées ? : les Français / les hommes / les femmes /
Chaque être humain est unique , chacun mène sa vie comme il croit le vouloir , ou plutôt comme il le peut .
Les médias ont définitevement établi des règles sans rapport avec la réalité des vrais gens , par exemple , actuellement leurs " lubies " sont de faire des émissions et reportages sur " l ' insouciance des années yéyé " , en oubliant qu ' à l ' époque , les jeunes allaient se faire zigouiller en Algérie ; ces jours-ci , ce sont les années 70/80 , avec les " poches pleines de fric " " la liberté sexuelle " " le travail à gogo " ce qui est archi-faux , puisque l ' exploitation des travailleurs en CDD a commencé à bien s ' installer à partir de 1970 . Les ouvriers hébètés de fatigue qui déambulaient , avec leur sac contenant leur gamelle du repas , déboulant par flots humains , aux entrées et sorties d ' usines pour faire les 3x8 .
Bien entendu les médias , sont hors circuit , avec leurs oeillères qui ne leur permettent de ne voir que leur microcosme de " people " qui se sont autoproclamés donneurs de leçons et d ' exemples .
En conclusion , gardez le moral et l ' espoir , il y a encore , mais ils sont discrèts , des HOMMES ET DES FEMMES FORMIDABLES .
Agrippinegorgonne
Théo89
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9 août 2009
819
7 mai 2009 à 08:50
7 mai 2009 à 08:50
Bien sur, toutes les femmes seules et les hommes seuls ne se plaignent pas, certains le sont depuis si longtemps qu'ils ont fini par s'y faire, du moins a continuer a avancer malgré tout.Etre seule avec enfant n'est pas une maladie non plus.Certes ce n'ai pas facile tous les jours mais a quoi bon le ressasser, tout le monde s'en fout, les gens , les proches, la société Que faire d'autre que de garder la tete haute, avec courage et tenacité , avec espoir aussi.On subit tous quelque chose un jour ou l'autre, de l'injustice il y en a partout, mais il suffit de regarder autour de soi pour voir qu'il y a pire ailleurs et il n'y a pas besoin de regarder bien loin.Personnellement, je me dit souvent que je ne suis pas a plaindre, a élever mes deux enfants seule depuis toujours, lourdée enceinte, travaillant selon mes possibilités etc car combien d'autres n'ont pas le peu que j'ai? Que ce soit en France ou ailleurs, certains n'ont pas de toit a donner a leurs gosses,pas de quoi les nourrir convenablement, certains ne peuvent pas en avoir, d'autres en ont perdu...Il suffit que je me dise cela pour que finalement je puisse me considerer heureuse
tarasouris
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21 janvier 2011
1 078
7 mai 2009 à 10:33
7 mai 2009 à 10:33
Bonjour ,
Bon, je viens de me regarder cette partie de l'émission, manière de suivre !
Le sujet est :" la femme et mère seule, comment rebondir ", après une autre vie, en fait ... Cela aurait pu être " le parent seul, comment faire face ", de cette façon les papas seuls y auraient eu une place aussi, avec leurs problèmes spécifiques ! S'il est ardu de trouver un emploi quand, ayant des enfants, un employeur a toujours la crainte des maladies, horaires perturbés, etc, il y a, en plus, pour les papas, le "regard" encore perplexe envers l'homme chargé d'enfant ...
Je n'y ai pas trouvé non plus des femmes démissionnaires, mais au contraire battantes, partantes, démarcheuses, qui tentent par tous les moyens d' avancer, qui n'ont pas baissé les bras . Les difficultés rencontrées, finalement, ne sont guère éloignées ( selon l'orientation du reportage, bien sûr ... ) de toute personne, seule ou pas, qui cherche un emploi, une hypothétique place en crèche, qui regarde à la moindre dépense !
Mais les exemples choisis ont de quoi, naturellement, faire réagir des personnes qui n'ont même pas les "moyens" de rebondir : propriétaires de leur logement, famille proche disponible et aide des parents, électroménager et informatique, cuisines équipées, tout cela ne pouvait bien sûr que "choquer" les personnes en grave précarité, car, à aucun moment, on n'entend parler de dettes, huissiers, frigo vide, EDF coupé, logement en litige, j'en passe ... un quotidien épuisant et sans solution apparente, dans lequel il faut pourtant continuer à se battre .
Et, bien sûr, ce reportage était orienté sur " vous voyez, on peut y arriver, on peut s'en sortir " : assez d'assistanat, autrement dit ! ... Ce qui est vrai, on peut et on doit rebondir, mais tous n'y arriveront pas, n'ayant aucune condition ni entourage favorables pour !
Il n'en reste pas moins vrai que ces femmes, jeunes ou moins, ont, en tout cas, dans leur parcours pour remonter la pente, compris qu'il leur fallait garder un espace personnel : l'une, artiste, a sans nul doute une riche vie intérieure pour créer et se retrouver, l'autre sort dîner avec des amis, l'autre s'inscrit à des cours de théâtre ... de quoi rester "vivante", plus forte, pour avancer !
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Bon, je viens de me regarder cette partie de l'émission, manière de suivre !
Le sujet est :" la femme et mère seule, comment rebondir ", après une autre vie, en fait ... Cela aurait pu être " le parent seul, comment faire face ", de cette façon les papas seuls y auraient eu une place aussi, avec leurs problèmes spécifiques ! S'il est ardu de trouver un emploi quand, ayant des enfants, un employeur a toujours la crainte des maladies, horaires perturbés, etc, il y a, en plus, pour les papas, le "regard" encore perplexe envers l'homme chargé d'enfant ...
Je n'y ai pas trouvé non plus des femmes démissionnaires, mais au contraire battantes, partantes, démarcheuses, qui tentent par tous les moyens d' avancer, qui n'ont pas baissé les bras . Les difficultés rencontrées, finalement, ne sont guère éloignées ( selon l'orientation du reportage, bien sûr ... ) de toute personne, seule ou pas, qui cherche un emploi, une hypothétique place en crèche, qui regarde à la moindre dépense !
Mais les exemples choisis ont de quoi, naturellement, faire réagir des personnes qui n'ont même pas les "moyens" de rebondir : propriétaires de leur logement, famille proche disponible et aide des parents, électroménager et informatique, cuisines équipées, tout cela ne pouvait bien sûr que "choquer" les personnes en grave précarité, car, à aucun moment, on n'entend parler de dettes, huissiers, frigo vide, EDF coupé, logement en litige, j'en passe ... un quotidien épuisant et sans solution apparente, dans lequel il faut pourtant continuer à se battre .
Et, bien sûr, ce reportage était orienté sur " vous voyez, on peut y arriver, on peut s'en sortir " : assez d'assistanat, autrement dit ! ... Ce qui est vrai, on peut et on doit rebondir, mais tous n'y arriveront pas, n'ayant aucune condition ni entourage favorables pour !
Il n'en reste pas moins vrai que ces femmes, jeunes ou moins, ont, en tout cas, dans leur parcours pour remonter la pente, compris qu'il leur fallait garder un espace personnel : l'une, artiste, a sans nul doute une riche vie intérieure pour créer et se retrouver, l'autre sort dîner avec des amis, l'autre s'inscrit à des cours de théâtre ... de quoi rester "vivante", plus forte, pour avancer !
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§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §