Litige assurance décès

heavenly Messages postés 2 Date d'inscription lundi 5 mai 2008 Statut Membre Dernière intervention 7 mai 2008 - 6 mai 2008 à 13:55
steph06127 Messages postés 3 Date d'inscription mercredi 3 septembre 2008 Statut Membre Dernière intervention 3 septembre 2008 - 3 sept. 2008 à 08:44
Bonjour,
Mon père a contracté un cancer de la prostate en juillet 2003. En 2004, alors qu'il suivait un traitement d'injection trimestriel, il a souscrit conjointement avec ma mère un prêt Money Bank ne comportant pas de questionnaire médical (il était alors âgé de 74 ans). En 2005, un traitement chimiothérapique a été éffectué. De 2006 a novembre 2007, il n'a pas suivi de traitement. La chimiothérapie et les rayons ont repris en février 2007. En juin 2007, mes parents ont souscrit un prêt CETELEM ne comportant également pas de questionnaire médical.
Pour ces 2 prêts mes parents ont pris une assurance décès.
Les conditions générales de ces 2 organismes de crédit engagent "... l'emprunteur à être en bonne santé...", alors qu'aucun questionnaire médical précis n'est a remplir avant obtention.
Mon père est décédé le 14 avril 2008 des suites de ce cancer qui a évolué en métastases osseuses.
Money Bank et CETELEM refusent de faire fonctionner l'assurance décès, arguant que mon père était malade à la souscription. Bien évidement, mes parents n'auraient pas empruté si ils avaient su à que le cancer allaiit emporté mon père aussi rapidement.
Existe t'il un moyen de contester le refus de la prise en charge de l'assurance décès, quelles sont les démarches à suivre, quelqu'un parmi vous peut-il nous éclairer ?
Merci de bien vouloir nous apporter votre aide.
Cordialement,

3 réponses

Bonjour,
Je dois vous dire que je ne suis pas très optimiste sur l'issue de votre affaire. Les conditions générales, même sans questionnaire médical, sont claires : en quelque sorte elles subordonnent l'ADI au bon état de santé de l'emprunteur.
Désolé d'être brutal dans les temps difficiles que vous vivez mais, quelque part vous avez menti, au moins par omission.
Et ça, les assureurs n'aiment pas du tout.
Cordialement.
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