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4 réponses
bonjour,
Tout d'abord, il y a deux classements :
G E S : gaz à effet de serre
Classe énergie.
La classe énergie va de A à G;
le A et le B sont rares, ils correspondent à des logements très récents avec théoriquement une très bonne isolation.
C et D sont plus courants, et il y a une marge pour chaque lettre.
D, c'est, on va dire "pas trop mal".
Ceci dit, ces diagnostics ne sont pas vraiment fiables, et on peut avoir des surprises, dans un sens comme dans l'autre : ça peut être mieux ou moins bien.
De plus, ce qui est annoncé, c'est l'énergie primaire. Pour prendre l'exemple de l'électricité, c'est 2,58 fois plus que le nombre de kw consommé sur place, car on compte l'énergie nécessaire à la sortie de la centrale nucléaire, et le coefficient est de 2,58, en raison du fort pourcentage de perte dû, entr'autres à l'acheminement.
Pour un logement, il vaut mieux qu'il soit habité dessous et dessus, qu'il ne soit pas dans un angle de bâtiment de façon à avoir le moins de surface de mur en contact avec l'extérieur. L'exposition compte aussi, et surtout l'ensoleillement qui peut, parfois être coupé l'hiver par un immeuble en face.
Donc, votre observation est aussi importante que le DPE. Informez vous de l'isolation des murs qui donne sur l'extérieur, de la qualité des doubles vitrages, des combles si le logement est sous les toits ou si c'est une maison, et de l'isolation éventuelle du sol si c'est en rez-de-chaussée.
Les factures d'énergies sont plus parlantes, même si on peut tomber sur un "économe" ou un "gaspilleur", ce qui peut faire varier le coût.
Tout d'abord, il y a deux classements :
G E S : gaz à effet de serre
Classe énergie.
La classe énergie va de A à G;
le A et le B sont rares, ils correspondent à des logements très récents avec théoriquement une très bonne isolation.
C et D sont plus courants, et il y a une marge pour chaque lettre.
D, c'est, on va dire "pas trop mal".
Ceci dit, ces diagnostics ne sont pas vraiment fiables, et on peut avoir des surprises, dans un sens comme dans l'autre : ça peut être mieux ou moins bien.
De plus, ce qui est annoncé, c'est l'énergie primaire. Pour prendre l'exemple de l'électricité, c'est 2,58 fois plus que le nombre de kw consommé sur place, car on compte l'énergie nécessaire à la sortie de la centrale nucléaire, et le coefficient est de 2,58, en raison du fort pourcentage de perte dû, entr'autres à l'acheminement.
Pour un logement, il vaut mieux qu'il soit habité dessous et dessus, qu'il ne soit pas dans un angle de bâtiment de façon à avoir le moins de surface de mur en contact avec l'extérieur. L'exposition compte aussi, et surtout l'ensoleillement qui peut, parfois être coupé l'hiver par un immeuble en face.
Donc, votre observation est aussi importante que le DPE. Informez vous de l'isolation des murs qui donne sur l'extérieur, de la qualité des doubles vitrages, des combles si le logement est sous les toits ou si c'est une maison, et de l'isolation éventuelle du sol si c'est en rez-de-chaussée.
Les factures d'énergies sont plus parlantes, même si on peut tomber sur un "économe" ou un "gaspilleur", ce qui peut faire varier le coût.
BmV
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2 juil. 2012 à 19:53
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"De plus, ce qui est annoncé, c'est l'énergie primaire. Pour prendre l'exemple de l'électricité, c'est 2,58 fois plus que le nombre de kw consommé sur place, car on compte l'énergie nécessaire à la sortie de la centrale nucléaire, et le coefficient est de 2,58, en raison du fort pourcentage de perte dû, entr'autres à l'acheminement." : quel rapport entre la consommation électrique d'un logement et l'énergie produite à la sortie de la centrale (qui n'est d'ailleurs pas forcément nucléaire) pour le consommateur ?
Ce qu'il paie, c'est ce qui fait tourner son compteur, pas les déperditions, certes inévitables, mais qui, comme leur nom l'indique, sont perdues !
Pour tout le monde.
"De plus, ce qui est annoncé, c'est l'énergie primaire" : ne serait-ce pas plutôt l'énergie finale ?
L'énergie primaire est en effet celle qui sort des centrales.
Pour être complet, il eût été pertinent de citer la source juridique officielle de ce coefficient inutile, soit l'arrêté du 24 mai 2006 ==> https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000427149/#JORFARTI000002048879 , article 35.
Accessoirement, quel besoin d'étaler des notions -d'ailleurs partiellement erronées- qui ne sont pas utiles à la résolution de la question ?
"il y a deux classements : G E S : gaz à effet de serre" : avec quelle échelle, ceux-là ?
On est tous impatient.
Quant à tout le reste .... c'est totalement hors sujet.
Ce qu'il paie, c'est ce qui fait tourner son compteur, pas les déperditions, certes inévitables, mais qui, comme leur nom l'indique, sont perdues !
Pour tout le monde.
"De plus, ce qui est annoncé, c'est l'énergie primaire" : ne serait-ce pas plutôt l'énergie finale ?
L'énergie primaire est en effet celle qui sort des centrales.
Pour être complet, il eût été pertinent de citer la source juridique officielle de ce coefficient inutile, soit l'arrêté du 24 mai 2006 ==> https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000427149/#JORFARTI000002048879 , article 35.
Accessoirement, quel besoin d'étaler des notions -d'ailleurs partiellement erronées- qui ne sont pas utiles à la résolution de la question ?
"il y a deux classements : G E S : gaz à effet de serre" : avec quelle échelle, ceux-là ?
On est tous impatient.
Quant à tout le reste .... c'est totalement hors sujet.
Bonsoir, cécé,
Les réponses précédemment apportées sont excellentes au point de vu juridique et c'est ce qu'on attend de ce site.
J'aimerais y ajouter un peu de vécu.
Les diagnostiqueurs n'ont pas autorité de voir ce qui se passe derrière les murs et les planfonds. Tout comme en élec, ils ne démontent rien !
Leur jugement tient plus du flair que d'une réelle analyse. On va dire que ça donne une idée.
Les réponses précédemment apportées sont excellentes au point de vu juridique et c'est ce qu'on attend de ce site.
J'aimerais y ajouter un peu de vécu.
Les diagnostiqueurs n'ont pas autorité de voir ce qui se passe derrière les murs et les planfonds. Tout comme en élec, ils ne démontent rien !
Leur jugement tient plus du flair que d'une réelle analyse. On va dire que ça donne une idée.
La législation juridique et financière évolue en permanence...