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djivi38
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29 juil. 2020 à 03:02
29 juil. 2020 à 03:02
bonjour,
cette personne n'a pas de famille ?
Personne ne vient le voir que vous pourriez aborder et parler de tous es problèmes ?
S'il ne prend pas son traitement c'est donc qu'il en a un : essayez de savoir qui est son médecin, son infirmier(ère)....
Les schizophrènes sont en principe suivis quotidiennement chez eux par un infirmier(ère) qui leur donne leur traitement oral, et il arrive souvent, en plus, qu'ils se rendent dans un centre pour une injection musculaire mensuelle.
Voir aussi l'assistante sociale du quartier.
En parler aussi à votre médecin traitant qui pourrait vous aider dans des démarches...
cdt.
cette personne n'a pas de famille ?
Personne ne vient le voir que vous pourriez aborder et parler de tous es problèmes ?
S'il ne prend pas son traitement c'est donc qu'il en a un : essayez de savoir qui est son médecin, son infirmier(ère)....
Les schizophrènes sont en principe suivis quotidiennement chez eux par un infirmier(ère) qui leur donne leur traitement oral, et il arrive souvent, en plus, qu'ils se rendent dans un centre pour une injection musculaire mensuelle.
Voir aussi l'assistante sociale du quartier.
En parler aussi à votre médecin traitant qui pourrait vous aider dans des démarches...
cdt.
Bsr
Je vous plains.. il devrait sans doute être hospitalisé mais il va ressortir..
C'est très compliqué.
Il faut quand même continuer à alerter la police, le propriétaire, une assistante sociale et la famille, le tuteur , dire qu'il n'est pas suivi, qu'il ne prend pas le traitement , et que le traitement n'est pas le bon...
Si rien n'est fait, il faudrait vous préserver et partir et ne pas l'affronter surtout.
On a un schizo dans la famille révélé à ses 18 ans, il en a 35, actuellement on ne le dirait pas, car le traitement le calme en fait.
il vit seul en appartement et ne crée pas de soucis pour le moment, il a eu un appartement, un travail puis cela ne durait pas, et allait de pire en pire.
Il est donc revenu chez ses parents, mais la vie avec la famille devenait impossible pour lui et elle, Il devenait dangereux , pas de troubles sexuels mais des voix, des réactions de défense et de violence, persuadé qu'on va lui faire du mal, le tuer, entrecoupé d'abattement total, de périodes de dessin gribouillis noirs incompréhensibles.. les médocs plus la maladie.
Maintenant la famille n'est pas loin et surveille appelle, y va, il a déjà fugué à l'étranger parce qu'on en voulait à sa vie ... ils l'ont retrouvé par ses dépenses..
il est sous tutelle, compliquée à mettre en place, il l'a mal vécu comme de ne plus pouvoir faire des choses, avoir une amie, des amies, un travail car il en est conscient.
il a un traitement avec infirmière sinon il ne prend pas régulièrement son traitement (plus une piqure par mois),
une femme de ménage vient ranger car il ne peut pas faire grand chose de suivi,
il est soigné côté hygiène heureusement, mais il se lève tard (les médocs) fait quelques courses, un peu de repas.
Sa nourriture est bien spécifique, il est devenu végan, bio, pour ne pas avoir de maladies, ne pas être empoisonné.Difficile de l'inviter.
Mais il ne faut pas lui en demander plus, ni linge, ni vaisselle, ni rangement, ni nettoyage, il se noie s'il faut un rythme et un suivi c'est fini, il est devenu lent avec les medocs.
Il a des séances de psy, hôpital de jour un jour par semaine avec des activités et du sport genre yoga une fois par semaine avec le même trajet.
Cela le conditionne et l'occupe, il lit aussi.
Mais il y eu des périodes très très très difficiles et a même fait plusieurs dont un long séjour à l’hôpital, plus d'un an sans vouloir voir personne, les autres malades étaient parfois pires.
Il ne peut plus travailler c'est mentalement et physiquement impossible pour lui, il a l'aah,
Plusieurs traitements, plusieurs années avant de trouver le supportable et le bon psy aussi.
Mais si personne ne prenait soin de lui , ne contrôlait, il resterait livré à lui-même sans que quiconque n'aille voir ou prévienne la famille. S'il ne va pas à l’Hôpital, la famille ne le sait pas, si elle ne demande pas, ne le suit, elle ne sait pas s'il change de psy non plus, chose qui peut le contrarier.
On ne sait pas si cela va durer, ni ce qui va se passer quand les parents vont mourir.. il n'y a pas franchement de structures et les moyens pour ces personnes en France ..
Bon courage
Je vous plains.. il devrait sans doute être hospitalisé mais il va ressortir..
C'est très compliqué.
Il faut quand même continuer à alerter la police, le propriétaire, une assistante sociale et la famille, le tuteur , dire qu'il n'est pas suivi, qu'il ne prend pas le traitement , et que le traitement n'est pas le bon...
Si rien n'est fait, il faudrait vous préserver et partir et ne pas l'affronter surtout.
On a un schizo dans la famille révélé à ses 18 ans, il en a 35, actuellement on ne le dirait pas, car le traitement le calme en fait.
il vit seul en appartement et ne crée pas de soucis pour le moment, il a eu un appartement, un travail puis cela ne durait pas, et allait de pire en pire.
Il est donc revenu chez ses parents, mais la vie avec la famille devenait impossible pour lui et elle, Il devenait dangereux , pas de troubles sexuels mais des voix, des réactions de défense et de violence, persuadé qu'on va lui faire du mal, le tuer, entrecoupé d'abattement total, de périodes de dessin gribouillis noirs incompréhensibles.. les médocs plus la maladie.
Maintenant la famille n'est pas loin et surveille appelle, y va, il a déjà fugué à l'étranger parce qu'on en voulait à sa vie ... ils l'ont retrouvé par ses dépenses..
il est sous tutelle, compliquée à mettre en place, il l'a mal vécu comme de ne plus pouvoir faire des choses, avoir une amie, des amies, un travail car il en est conscient.
il a un traitement avec infirmière sinon il ne prend pas régulièrement son traitement (plus une piqure par mois),
une femme de ménage vient ranger car il ne peut pas faire grand chose de suivi,
il est soigné côté hygiène heureusement, mais il se lève tard (les médocs) fait quelques courses, un peu de repas.
Sa nourriture est bien spécifique, il est devenu végan, bio, pour ne pas avoir de maladies, ne pas être empoisonné.Difficile de l'inviter.
Mais il ne faut pas lui en demander plus, ni linge, ni vaisselle, ni rangement, ni nettoyage, il se noie s'il faut un rythme et un suivi c'est fini, il est devenu lent avec les medocs.
Il a des séances de psy, hôpital de jour un jour par semaine avec des activités et du sport genre yoga une fois par semaine avec le même trajet.
Cela le conditionne et l'occupe, il lit aussi.
Mais il y eu des périodes très très très difficiles et a même fait plusieurs dont un long séjour à l’hôpital, plus d'un an sans vouloir voir personne, les autres malades étaient parfois pires.
Il ne peut plus travailler c'est mentalement et physiquement impossible pour lui, il a l'aah,
Plusieurs traitements, plusieurs années avant de trouver le supportable et le bon psy aussi.
Mais si personne ne prenait soin de lui , ne contrôlait, il resterait livré à lui-même sans que quiconque n'aille voir ou prévienne la famille. S'il ne va pas à l’Hôpital, la famille ne le sait pas, si elle ne demande pas, ne le suit, elle ne sait pas s'il change de psy non plus, chose qui peut le contrarier.
On ne sait pas si cela va durer, ni ce qui va se passer quand les parents vont mourir.. il n'y a pas franchement de structures et les moyens pour ces personnes en France ..
Bon courage