wined
-
26 oct. 2008 à 00:28
delyurek93
Messages postés288Date d'inscriptionlundi 9 juin 2008StatutMembreDernière intervention19 novembre 2008
-
26 oct. 2008 à 23:04
Bonjour,
Muté au 1er septembre en province depuis la région parisienne, mon ex-conjointe (depuis peu) pour qui j'ai choisi le lieu de ma mutation car elle y avait une ancienne amie, a décidé de mettre un terme après deux mois de cohabitation sur place et après 3 ans de vie communes. Elle a pourtant choisi de me suivre avec ses deux enfants d'un premier mariage et notre fils qui vient d'avoir 1 an.
Depuis notre arrivée, je me suis occupé chaque week-end d'installer les meubles de tout à chacun (sachant que je travaille en semaine et que madame est au chômage) et Madame durant la quasi totalité des week-ends partait rejoindre avec ses enfants (et parfois notre fils) sa fameuse amie. Il y a environ 3 semaines, elle m'a prévenu souhaiter mettre un terme à notre histoire, me reprochant "d'agresser ses enfants" lorsque je leurs demandais d'éteindre les lumières des pièces vacantes ou de ne pas abîmer l'appartement, ce sur un ton normal (depuis notre arrivée, je paie électricité 115€/internet 40€/assurance habitation 60€ et au minimum moitié du loyer qui est de 900€ - ce mois-ci l'intégralité du loyer, le bail de l'appartement, appartement trouvé dans le cadre de ma mutation, étant aux deux noms).
Pour informaion, je paie l'abonnement internet et la téléphonie illimitée que mon abonnement déssert "gratuitement sur son PC. Notre connexion ayant pas mal de soucis, elle m'a accusé un soir d'avoir fait en sorte de couper le téléphone pour qu'elle ne puisse pas suivre son cours d'Anglais (3000€ pour 1 an et demi quand même, sans compter ses cours de salsa du mardi soir et sachant que je privilégie le fait de voir un minimum mon fils, elle profite de la situation en me laissant ses deux enfants en garde...Je serais curieux de savoir ce que pourrait penser le père des deux enfants sachant que si je les "agresse" comme elle le dit qu'elle soit capable de me les laisser !
Comme elle refusait de discuter lorsque j'essayais d'en parler avec elle, un soir j'ai provoqué la discussion car elle disait souhaiter partir mais me faisait dormir dans le salon sur un matelas pneumatique, ma couette "jetée" dans une caisse tel un chien (ce qui est tjs le cas actuellement), en lui demandant de partir avant les 3 mois qu'elle m'annonçait à ce propos. Me prétextant que je ne pourrais assumer seul ce loyer, elle m'a dit, "trouve toi un appart moins cher et je garderais l'appartement ici " (elle perçoit 2400€ d'assedics). De fait, elle s'est emportée téléphonant à sa famille à Paris, disant que je la mettais dehors avec ses enfants, l'un de ses frères me menaçant visiblement au téléphone. Je n'ai jamais souhaité la chose mais il est bien évident que vivre dans cette situation est à la fois dégradante et je n'imaginais guère la triste trajectoire que prendrait notre histoire. A ce jour, nous sommes sous le même toit, j'ai convenu avec elle de trouver un autre appartement et elle me donne une date butoir au 15/11/2008 pour partir. I l ne m'est pas simple sachant qu'il y a peu de biens disponibles au vu de mes revenus, tout en travaillant de faire les démarches. Précision importante, je ne suis guère véhiculé puisqu'elle se refuse à me prêter sa voiture ne serait-ce que pour travailler en démarche commerciale, ce qui me met en défaut professionnellement, et je dois utiliser le taxi dans l'immédiat.
L'appartement concerné est aux deux noms, le 1% patronal cotisé par l'entreprise dont je suis salarié, ayant pris en charge les frais d'agence, par contre, pour ce qui est de la caution, à ce jour, n'ayant pas reçu le dossier de l'organisme, l'agence de location nous réclame ce dépôt de garantie. Le problème c'est que si j'utilise ce droit (il s'agit d'un prêt remboursable mensuellement à raison par exemple de 30e par mois pour les 815€ concernés) auprès de l'organisme aujourd'hui, je me retrouve coincé pour utiliser ce droit sur l'appartement que je recherche actuellement.
Elle a eu l'occasion en relevant le courrier de me chaparder des relevés de comptes en me disant s'être trompée avec son courrier, relevés qu'elle m'a ensuite rendus (je n'en croyais pas un mot). Depuis le début de notre conflit, j'essaie de discuter de la garde de notre enfant commun et elle se refuse à m'accorder la garde alternée prétextant que les pédo-psychiatres trouvent que cela perturbe l'enfant, envisageant plutôt de son côté, une garde élargie (1 week-end sur 2 et 1 jour par semaine, sachant que je travaille du lundi au vendredi inclus).
Il y a quelques jours, j'avais besoin du livret de famille de mon fils. Je le lui ai demandé et elle me l'a remis en me disant " tu me le rendras rapidement puisque je pars avec les 3 enfants sur Paris durant 4 jours du 25/10 au 28/10 au soir, je ne voudrais pas être accusée d'avoir volé notre fils vu qu'il est plutôt blanc et moi antillaise."
Trouvant cela plutôt curieux, j'ai retardé l'échéance vis à vis de ce livret et aujourd'hui samedi, en me faisant conseiller par ailleurs, je lui ai remis des photocopies et elle s'est emportée. Me disant qu'elle en avait besoin pour demander des extraits d'actes de naissance pour inscrire rapidement notre fils en crêche (il est né en région parisienne et elle s'y rend jusqu'au 28/10) de façon à retrouver un emploi. j'avais enfin la vrai raison...Je n'ai absolument rien contre cela mais pour autant me refuser la garde alternée en me disant "Je suis à la maison pour le moment et ça le perturbera moins, tu le verras 1 week-end sur deux et 1 à deux jours dans la semaine", je ne suis pas sûr que ballader mon fils 3 fois dans la semaine soit un gage de stabilité alors que, s'il est en crêche et que ses parents viennent le récupérer 1 semaine sur 2 à tour de rôle, cela me paraît moins déstabilisant. Qui plus est celle-ci en s'emportant m'a dit "tu veux l'inscrire en crêche? Tu ne pourras pas car il te faut mon dernier avertissement fiscal et je ne l'ai pas reçu ou bien tu me l'as piqué !" Sachant que je travaille et que je suis bien le dernier à pouvoir aller au courrier et puis je n'ai pas du tout l'intention de me mettre en défaut vis à vis ne serait-ce que de notre fils et sa future garde. Du coup, si elle souhaitait inscrire notre fils en crêche, je lui ai dit que si elle faisait cette démarche c'est qu'elle avait des papiers à moi en sa possession, elle a bien sûr nier mais le doute m'est plus que permis quant à sa réponse. Du coup, et je ne m'attendais pas à moins, je ne sais si mon fils est bien arrivé, je pense que je n'en aurais pas de nouvelles jusqu'à ce qu'elle revienne, si c'est le cas et j'ai quelques questions à vous soumettre :
1/ L'agence de location de l'appartement que j'ai prévenue de notre séparation, réclame à ce jour la caution sous huitaine...Si mon ex-conjointe venait à la payer, peut elle s'opposer à ma présence en tant que co-locataire dans l'appartement tant que je n'ai pas trouvé une solution (malgré tout le 1% patronal me dit que fin novembre à décembre prochain, cela devrait se décaner car je suis sur certaines listes d'appartement qui seront disponible à ce moment là)
2/Ai-je un recours si je n'ai pas de nouvelles de mon fils durant ces 4 jours ? Que dois-je faire si elle ne rentrait pas le 28/10 au soir ? Que dois-je faire si elle rentrait mais sans mon fils au 28/10 au soir ?
3/ Le livret de famille étant un document conjoint, je sais que l'on peut en demander le duplicata, sans mon aval, mon ex-conjointe peut-elle inscrire notre fils en crêche malgré tout avec certains de mes papiers qu'elle aurait détournés ?
Merci de votre aide rapidement, je souffre de cette situation et de ce harcèlement permanent mais c'est surtout vis à vis de mon fils que je m'inquiète terriblement.
delyurek93
Messages postés288Date d'inscriptionlundi 9 juin 2008StatutMembreDernière intervention19 novembre 2008176 26 oct. 2008 à 23:04
Beaucoups d'interrogations, le mieux pour toi c'est de contacter un juriste afin qu'il t'explique quel sont tes droit vis à vis de l'enfant et de ton appartement.
Renseigne toi rapidement en mairie c'est gratuit.
Ce que je peux te dire, c'est qu'elle peut en aucun cas de mettre dehors car le bail est à vos deux nom.