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Chocolat44
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mardi 13 janvier 2009
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3 septembre 2022
335
15 nov. 2009 à 15:42
15 nov. 2009 à 15:42
Bonjour,
Un mari ne doit pas frapper son épouse. quel exemple pour votre fils qui a eu le bon reflexe d'appeler la police.
Le pardon est une chose, mais vous devez laisser faire ce procés. Cela doit lui servir de leçon.
Que de souvenirs !
Ne baissez pas la tête. Votre fils a besoin de vous deux, mais en tant qu'exemple de comportement.
Vous avez eu raison de porter plainte. Courage à vous et votre enfant.
Bien cordialement.
Un mari ne doit pas frapper son épouse. quel exemple pour votre fils qui a eu le bon reflexe d'appeler la police.
Le pardon est une chose, mais vous devez laisser faire ce procés. Cela doit lui servir de leçon.
Que de souvenirs !
Ne baissez pas la tête. Votre fils a besoin de vous deux, mais en tant qu'exemple de comportement.
Vous avez eu raison de porter plainte. Courage à vous et votre enfant.
Bien cordialement.
dethca
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samedi 14 novembre 2009
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18 novembre 2009
7
15 nov. 2009 à 15:53
15 nov. 2009 à 15:53
Bonjour Naima,
quoi que vous pensiez, je veux vous dire que vous avez eu raison de porter plainte. Et beaucoup de courage aussi.
Cependant, je m'abstiens de jugement et vous apporte un copier/coller de ce que j'ai trouvé sur internet.
"Il est par exemple très fréquent qu’une femme victime de violences conjugales après avoir déposé plainte préfère ne pas aller plus loin, soit en indiquant aux services de Police qu’elle retire sa plainte, soit en ne se présentant pas à l’audience de jugement sauf pour soutenir son mari.
Mais cela n’empêche en rien que le Procureur de faire citer le mari violent devant le Tribunal correctionnel s’il estime que les faits initialement dénoncés constituaient bien une infraction.
Autrement dit, une procédure pénale dès lors qu’elle est engagée peut aller à son terme quand bien même la victime ne le souhaiterait pas.
La position de la victime n’est qu’un élément parmi d’autres dont le Procureur peut tenir compte lorsqu’il doit décider de l’orientation d’un dossier."
Autrement dit, vous ne pouvez rien faire pour interrompre la procédure.
quoi que vous pensiez, je veux vous dire que vous avez eu raison de porter plainte. Et beaucoup de courage aussi.
Cependant, je m'abstiens de jugement et vous apporte un copier/coller de ce que j'ai trouvé sur internet.
"Il est par exemple très fréquent qu’une femme victime de violences conjugales après avoir déposé plainte préfère ne pas aller plus loin, soit en indiquant aux services de Police qu’elle retire sa plainte, soit en ne se présentant pas à l’audience de jugement sauf pour soutenir son mari.
Mais cela n’empêche en rien que le Procureur de faire citer le mari violent devant le Tribunal correctionnel s’il estime que les faits initialement dénoncés constituaient bien une infraction.
Autrement dit, une procédure pénale dès lors qu’elle est engagée peut aller à son terme quand bien même la victime ne le souhaiterait pas.
La position de la victime n’est qu’un élément parmi d’autres dont le Procureur peut tenir compte lorsqu’il doit décider de l’orientation d’un dossier."
Autrement dit, vous ne pouvez rien faire pour interrompre la procédure.
La seule chose que vous pouvez faire c'est de témoigner pour votre mari (si vous le souhaitez) en indiquant que vous lui avez pardonné et que souhaiteriez que votre mari soit condamné avec une mise à l'épreuve longue et non à de la prison ou à une amende ferme...
Il risque de se prendre un peine avec sursis et une mise à l'épreuve de plusieurs mois... s'il recommence cela sera direct la prison avec une "peine plancher"... Si votre pardon est sincère et qu'il regrette réellement, cela peut être un nouveau départ... sinon ...
Il risque de se prendre un peine avec sursis et une mise à l'épreuve de plusieurs mois... s'il recommence cela sera direct la prison avec une "peine plancher"... Si votre pardon est sincère et qu'il regrette réellement, cela peut être un nouveau départ... sinon ...
merci pour vos reponses le terme approche et j'angoisse vraiment, nous avons 5 enfants de 2 a 16 ans et ma crainte est que de colere il emmene les enfants et ne me les ramenent pas mais dois je pour cela tout arreter et continuer a vivre avec la peur au ventre j'ai si peur pour ce lundi
tout d'abord merci pour vos reponses et pour votre soutient. alors ce proces en correctionnelle a eu lieu malgrés ma lettre au procureur celui ci a decidé de maintenir les poursuites mon ex mari a été reconnu coupable des faits reproché bien qu'il ait tout nié (bien evidement) le ministere public avait requis 3 a 5 mois de prison avec sursis et 1000 euros de domages et interets il a en finale écopé de 2 mois avec sursis et 500 euros de domages en plus de 200 euros au ministere public et 154 euros a la cpam pour mes soins j'espere que ca lui servira de lecon il a eu du mal a avaler la pillule mais au moins j'ai eue la satisfaction d'avoir ete reconnue victime suite au prochain jugement qui sera celui du divorce et je vous tiendrait au courant
La législation juridique et financière évolue en permanence...