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Bonjour,
Voici ce que j'ai trouvé sur un site (même si je soupçonne que cette réponse arrive tard)
Intéressement et participation versés après le départ
Après avoir quitté son entreprise, un salarié épargnant peut rester bénéficiaire de l’intéressement ou de la participation au titre de l’année de départ. Tout va dépendre de la durée minimale de présence exigée sur l'année par l'accord d'entreprise. Ainsi, un salarié ayant quitté son poste courant 2015, et répondant positivement à ces conditions, va recevoir un bulletin d’option cinq mois après la clôture de l'exercice comptable (par exemple, la fin mai pour des comptes clos le 31 décembre), s'il y a déclenchement des accords de participation ou d'intéressement. « Soit il touche le cash, sans exonération fiscale, soit il place les sommes sur son plan », explique Xavier Collot, d’Amundi. « Malgré les frais, l’épargne salariale reste un support intéressant, avec une palette diversifiée de fonds disponibles et une fiscalité réduite [uniquement les prélèvements sociaux, à 15,5% sur les plus-values, NDLR] », plaide-t-il, pour convaincre les salariés de ne pas débloquer leurs avoirs.
Si le salarié a quitté son entreprise pour en rejoindre une autre, il peut aussi demander un transfert. Pour cela, il faut évidemment que le nouvel employeur donne lui aussi accès à un PEE ou un Perco (2). Pour demander ce transfert, il suffit d’en faire la demande par écrit auprès du teneur de compte du nouvel employeur. Le coût ? « 20 à 50 euros, selon les conditions négociées par l’entreprise », selon Xavier Collot, d’Amundi. Une fois le transfert effectué, les frais de tenue de compte seront pris en charge par le nouvel employeur.
En savoir plus : https://www.moneyvox.fr/actu/57744/interessement-et-participation-que-change-votre-depart-de-entreprise
Voici ce que j'ai trouvé sur un site (même si je soupçonne que cette réponse arrive tard)
Intéressement et participation versés après le départ
Après avoir quitté son entreprise, un salarié épargnant peut rester bénéficiaire de l’intéressement ou de la participation au titre de l’année de départ. Tout va dépendre de la durée minimale de présence exigée sur l'année par l'accord d'entreprise. Ainsi, un salarié ayant quitté son poste courant 2015, et répondant positivement à ces conditions, va recevoir un bulletin d’option cinq mois après la clôture de l'exercice comptable (par exemple, la fin mai pour des comptes clos le 31 décembre), s'il y a déclenchement des accords de participation ou d'intéressement. « Soit il touche le cash, sans exonération fiscale, soit il place les sommes sur son plan », explique Xavier Collot, d’Amundi. « Malgré les frais, l’épargne salariale reste un support intéressant, avec une palette diversifiée de fonds disponibles et une fiscalité réduite [uniquement les prélèvements sociaux, à 15,5% sur les plus-values, NDLR] », plaide-t-il, pour convaincre les salariés de ne pas débloquer leurs avoirs.
Si le salarié a quitté son entreprise pour en rejoindre une autre, il peut aussi demander un transfert. Pour cela, il faut évidemment que le nouvel employeur donne lui aussi accès à un PEE ou un Perco (2). Pour demander ce transfert, il suffit d’en faire la demande par écrit auprès du teneur de compte du nouvel employeur. Le coût ? « 20 à 50 euros, selon les conditions négociées par l’entreprise », selon Xavier Collot, d’Amundi. Une fois le transfert effectué, les frais de tenue de compte seront pris en charge par le nouvel employeur.
En savoir plus : https://www.moneyvox.fr/actu/57744/interessement-et-participation-que-change-votre-depart-de-entreprise