Crédit automobile réclamé 25 ans après !

Bonsoir à tous et à toutes et merci d’avance à ceux et celles qui s’intéresseront à mon problème, relativement similaire à ce qui précède. Voilà, mon père a reçu Jeudi 25 septembre, une lettre télégramme avec une référence comme suit : « URGENT. Veuillez me contacter de toute urgence au … de telles heures à telles heures pour affaire vous concernant. Dans l’attente, recevez l’expression de mes salutations distinguées. URGENT. » de la société précitée, à savoir FINANCIÈRE SUFFREN. J’ai donc appelé de suite à 12h30 et là surprise : mon père devrait la modique somme de 16 000 € pour un crédit contracté auprès de la société CRÉDIPAR, il y a de cela, 25 ans, soit en 1983. J’ai demandé s’il était possible d’avoir des documents car depuis le temps, mon père n’a plus souvenir de quoi que ce soit, mais la réponse a été vague. Je devais rappeler en début d’après-midi pour savoir s’il pouvait y avoir une réduction des intérêts car nous avions estimé que se manifester 25 ans après était trop facile (à savoir qu’il y a à peu près 11 00 € d’intérêts). Et là, on me dit que ça peut passer à 9 000 €. Mon père refuse de payer cette somme et de plus, il n’en a pas les moyens. La dame que j’ai eu l’après-midi m’a dit que c’était une chance que ça se règle encore « à l’amiable » car mon père avait été jugé pour cela et il y a eu l’intervention des huissiers. Le souci, c’est que mon père ne souvient de rien et n’a malheureusement plus aucun papier. Car quand bien, la dette restante serait, d’après leurs dires, de 5 000 €, mon père n’y croit pas : ça fait un peu beaucoup pour une voiture d’occas y a 25 ans. J’ai fini mon entretien avec cette dame en lui disant que j’en parlerais avec mon père et que je la rappellerais cette semaine. Mon souci, c’est de savoir si je peux lui demander ce fameux « titre exécutoire » ou ce serait une boulette, et s’ils ne l’ont pas, peuvent-ils le demander et combien de temps cela peut prendre. Apparemment, la première personne m’a dit que mon père était poursuivable, jusqu’en 2013, ce qui ferait bien les 30 ans de prescription. À moins que ça ne soit 10 d’après ce qu’il y écrit précédemment ? Est-ce que quelqu’un peut m’aider s’il vous plaît ? Je vous remercie par avance et souhaite bon courage à tous ceux et celles qui sont dans la même situation car quand bien même ils ont des droits, celui de poursuivre après tant d’années, c’est injuste. À bientôt.